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17/04/2020 17:37
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Nouvelle proposition à La consultation
Une politique en faveur des Gens du Voyage
Il n'existe toujours pas de politique sérieuse vis-à-vis des « Gens du Voyage », malgré l'arrêt des mesures agressives opérées du temps où Manuel Valls était Premier Ministre. Certes, il existe les CASNAV (Centres académiques pour la scolarisation des nouveaux arrivants et des enfants du voyage), qui mélangent tous les enfants connaissant mal le français. Mais ces centres académiques se sont peu fait remarquer par leurs succès, malgré la bonne volonté des enseignants. L’une des causes des échecs des politiques d’intégration des Gens du Voyage est le manque de réflexion sur leurs spécificités culturelles. Or, la valorisation des diverses cultures des Gens du Voyage pourrait être fort positive. Certes, la musique de Django Reinhardt et le « jazz manouche » sont particulièrement populaires, mais il faudrait aller plus loin. Récemment, le « Cirque Romanès » a connu de multiples problèmes avec nos autorités : une persécution dont on ne comprend pas la justification. En dehors de l’industrie du spectacle, on peut faire porter des efforts dans d’autres domaines culturels. Les Gens du Voyage sont assez étrangers au monde de l’écrit, qui est fondamental dans notre modernité. Pour remédier à cela, il serait bon que leurs langues maternelles soient désormais écrites. Les Gitans de tout le sud de la France sont en majorité des locuteurs de catalan. Il serait possible que le système éducatif à destination de ces Gitans intègre le catalan. Cependant, à part à Perpignan, les autorités locales n’ont jamais envisagé ce genre d’action. Les Roms, récemment immigrés en France, parlent la langue «Rromani». De même que le catalan, le Rromani est reconnu comme langue minoritaire de France (par le ministère de la Culture). Il serait bon de créer une graphie pratique, qui n’utiliserait pas de caractères phonétiques spéciaux (ce qui est malheureusement le cas de la graphie pseudo-scientifique établie par le linguiste qui s’est emparé du sujet). Les Yéniches du nord de la France, qui sont à cheval sur la Suisse et l’Allemagne parlent souvent un dialecte germanique (notamment en Alsace). Dans le cadre d’une scolarité spécifique, il serait difficile d’enseigner le yéniche (qui a un caractère d’argot secret), mais il serait possible d’enseigner la langue allemande en plus du français. Cela contribuerait à la valorisation économique de la communauté. Maintenant, il faut souligner que les Gens du Voyage sont traditionnellement des artisans (notamment des forgerons) et pas seulement des musiciens. Il n’y a aucune raison qu’ils ne s’adaptent pas à la civilisation technique moderne. Il est évident que les Voyageurs souhaitent conserver une partie de leurs spécificités. Cela reste possible, tout en s’adaptant à notre cadre moderne. Par contre, il est vrai que l’attitude de certains Roms ne facilite pas la bienveillance à leur égard. L’on pense bien sûr à ces enfants entraînés à voler dans les lieux touristiques et à cette sorte d’organisation méthodique de la mendicité. Dans ces cas précis, il importe de séparer les acteurs directs (enfants ou personnes vulnérables) de leurs commanditaires (parents ou chefs de clans). Tout le monde sait très bien qui sont les responsables de cette situation. Vu les considérations précédentes, il est possible de concevoir une politique d’intégration des Gens du Voyage dans l’espace français, à différentes conditions: — Collaboration entre les autorités politiques françaises et les dirigeants des diverses associations représentatives des Gens du Voyage. — Réelle utilisation des budgets de l’Union Européenne, destinés aux Gens du Voyage. — Réserver une partie des allocations familiales pour financer des stages de formation techniques et des colonies de vacances pour les enfants et adolescents. — Ouvrir les CASNAV aux métiers traditionnels des Gens du Voyage, notamment ceux en rapport avec la métallurgie (ex. chaudronnerie) ou avec la réparation (bien sûr réparation de voitures, mais aussi réparation de chaises et autres meubles). — Encourager chez les Gens du Voyage l’utilisation de l’écrit dans leurs langues maternelles (catalan, Rromani, etc.). — Promouvoir chez les Yéniches d’Alsace et de Moselle un bilinguisme français-allemand. — Ecrire le Rromani avec un alphabet simple ne nécessitant pas de caractères phonétiques spéciaux et permettant l’interface avec les autres langues européennes. — En ce qui concerne les Roms d’Europe de l’Est, lorsque cela est nécessaire, séparer les enfants voleurs et les mendiants involontaires de leurs commanditaires (parents ou chefs de clans). Puis, expulser les commanditaires. Enfin, donner le choix aux jeunes victimes entre suivre des formations artisanales dans des centres adaptés, ou repartir dans le pays d’origine. Cela serait une politique bien plus humaniste que les destructions systématiques de campements sous prétexte d’insalubrité, à l’époque du gouvernement socialiste de Manuel Valls.
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17/04/2020 17:37
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16/04/2020 20:58
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16/04/2020 20:51
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16/04/2020 20:40
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Nouvelle proposition à La consultation
Mieux enseigner le français en distinguant "son" et "lettre"
Le problème de l'enseignement du français n'a rien à voir avec l'opposition entre deux méthodes : syllabique et globale. Le problème est uniquement la confusion constante de nos enseignants du primaire entre les notions de "son" et de "lettre". Demander à n'importe quel instite quelle est la liste des voyelles du français, il vous donnera la liste des "lettres vocaliques" (AEIOU) et non pas celle des "sons vocaliques" (avec [OU], [AN], [ON], etc.). De plus les instites n'ont pas l'habitude d'utiliser la notion de "consonne muette" (ex. le "t" à la fin de "petit"). Or, des pédagogues à la fois théoriciens et bien-intentionnés ont voulu remédier à cela en introduisant la notion de "phonème" à la place de la notion de "son". Cela impressionne beaucoup nos braves instites et les parents d'élèves. Mais ils n'ont toujours pas compris de quoi il s'agit. En fait, si la notion de phonème est utile dans certaines langues, elle est totalement inutile en français. Dans notre langue française, le "phonème" se confond pratiquement avec le "son". Aussi, si nous voulons faciliter l'enseignement du français écrit à nos enfants, il faut commencer à remplacer le mot "phonème" par "son", à expliquer que ce sont deux notions distinctes, et à les prononcer de façons différentes durant les cours. Exemple : la lettre C (sé) correspond à deux sons : [se] et [ke]
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16/04/2020 20:10
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16/04/2020 19:58
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Nouvelle proposition à La consultation
L'enseignement des langues dans le département de Mayotte
L'enseignement des langues dans le département de Mayotte est une caricature de ce que l'Education nationale française est capable d'offrir. A Mayotte, la langue française est enseignée à tous les niveaux de l'éducation, ce qui est parfaitement normal. Mais l'enseignement des autres langues signale un manque de réflexion, un peu affligeant. D'abord, la langue locale, le shimaoré (variété du comorien) est absente des différents niveaux d'enseignement. Pourtant, cette langue, en plus d'être le reflet de la culture locale, est une ouverture sur les autres îles des Comores, de même qu'une ouverture sur l'ensemble de l'Afrique orientale dont la langue véhiculaire – le swahili – est très proche du shimaoré. Dans le secondaire, trois "langues étrangères" sont proposées aux élèves : l'arabe, l'anglais et l'espagnol. Pour l'arabe et l'anglais, pas de problème : ces deux langues présentent effectivement des utilités diverses. Mais pourquoi l'espagnol ? Tout simplement à cause de la paresse intellectuelle de l'Education nationale qui se contente de dupliquer ce qui est pratiqué en métropole. Il est évident que la langue espagnole ne présente aucune utilité pour nos concitoyens des îles de l'Océan Indien. En revanche, le portugais aurait présenté un grand intérêt, vu que c'est la langue officielle de l'Etat africain le plus proche : le Mozambique ! Voilà donc mes propositions : — Dans le primaire, à côté de l'enseignement du français, enseignement généralisé du shimaoré avec un alphabet ne possédant aucun caractère phonétique spécial (sinon c'est l'échec assuré, comme on le constate ailleurs !). — Dans le secondaire, choix entre différentes langues étrangères, arabe, anglais et portugais. — Enfin, dans les villages où l'on utilise le kibushi (langue minoritaire, variété locale du malgache), enseignement du kibushi, et introduction du malgache officiel dans le secondaire. Ces différentes mesures contribueront à réintégrer l'ïle de Mayotte dans son environnement culturel et géopolitique. Mayotte deviendra ainsi un exemple pour tous les pays environnants : Madagascar, Comores, Mozambique, Tanzanie, etc. (NB : Il est évident que cette amélioration de l'enseignement dispensé à Mayotte pourrait contribuer à augmenter l’immigration venant des pays voisins. Il faudra donc une nouvelle politique d'autorisations provisoires de séjour — par ex. de 5 ans —, non transformables en droits d'installation définitive.)
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16/04/2020 17:24
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16/04/2020 17:08
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Nouvelle proposition à La consultation
Enseignement à l'école primaire, de l'arabe et du portugais, et d'autres "langues de proximité"
Depuis une quinzaine d'années, les langues étrangères font partie de l'enseignement primaire. Essentiellement des langues telles que l'anglais, l'allemand, l'espagnol et l'italien. Il faut dire que cet enseignement n'est pas très efficace. Pour remédier à cela, ce serait intéressant de se baser sur la notion de "langue de proximité". C'est-à-dire des langues avec lesquelles l'enfant possède des contacts divers : soit parce que c'est la langue régionale locale, soit parce que c'est la langue d'origine de l'un des parents (ou des deux), soit parce que c'est une langue qu'il rencontre durant ses vacances. Il serait donc bon qu'un plus grand choix soit offert aux enfants, et que d'autres langues soient proposées en plus de celles citées ci-dessus. D'abord, les langues régionales qui pourraient avoir un horaire identique aux langues étrangères dans l'enseignement primaire (exemples : breton, basque, etc.). Puis, certaines langues des populations immigrées en France. Or, en plus du français, les langues les plus parlées en France en tant que langues maternelles sont l'arabe et le portugais. Il est désastreux de voir que ces deux langues sont très rarement proposées par l'éducation nationale française. En ce qui concerne l'arabe, les enfants sont obligés d'aller l'étudier dans des mosquées où on leur fournit un enseignement plus religieux que linguistique. Il est donc indispensable que l'enseignement de l'arabe soit réintégrée dans l'éducation nationale française où on pourrait offrir un enseignement de l'arabe moderne des médias, au lieu de l'arabe coranique. En ce qui concerne le portugais, presque toujours absent des écoles, cet enseignement intéresserait non seulement les enfants d'origine portugaise, mais aussi ceux originaires des îles du Cap Vert, de Guinée Bissau et d'Angola, très nombreux en France, de même que les jeunes de Guyane (voisine du Brésil). Dans la mesure où les ELCO (enseignement des langues et cultures d'origine) viennent d'être supprimés, il est bon que l'enseignement des langues d'origine soit désormais proposé dans les écoles de la République.
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16/04/2020 01:33
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Nouvelle proposition à La consultation
Un droit au séjour temporaire pour tout réfugié politique ou migrant économique
Il est très difficile de séparer les réfugiés politiques des migrants économiques. Si quelqu'un quitte son pays, il a de multiples raisons pour cela. Une personne bien intégrée ne s'amusera pas à tenter l'aventure aléatoire de l'émigration. Les vrais réfugiés politiques sont limités à quelques pays tels que la Syrie ou la Somalie. Pour la majorité des autres, aucune distinction ne devrait être faite. Il est donc inutile de faire perdre leur temps à ces migrants avec des RV à l'OFPRA ou dans d'autres organismes. En revanche, il faut accorder à tous les demandeurs des permis temporaires de séjour de cinq ou six ans, leur donnant la possibilité de travailler ou d'étudier. Puis, après cette période, ils pourront rentrer chez eux (sauf cas de guerre civile comme en Syrie, en Afghanistan ou en Somalie). Ce qui correspond généralement à leurs souhaits, car peu de migrants désirent quitter définitivement leur pays d'origine. Il existe des cas où des migrants se disent réfugiés politiques pour avoir des papiers plus facilement. Si le permis de séjour temporaire leur est accordé automatiquement, ce problème ne se posera plus. De plus, cette mesure permettra de supprimer le travail clandestin qui est beaucoup trop important dans notre pays.
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16/04/2020 01:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Réorienter une partie des allocations familiales directement vers les enfants
Dans bien des familles les allocations familiales ne contribuent pas assez à l'épanouissement des enfants. En effet, cela repose uniquement sur la bonne volonté des parents. Aussi, il faudrait qu'une partie des allocations familiales aillent directement aux enfants par des aides matérielles directes : cantine gratuite, colonies de vacances gratuites, bourses de formation, inscription à des activités culturelles ou sportives, etc.
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16/04/2020 01:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Libérer l'Europe de l'emprise des USA, de la Chine et des monarchies pétrolières
Les Français voulaient honnêtement construire l'Europe. Mais ils ont été trompés par leurs dirigeants qui ont imposé la mondialisation avec ses conséquences dramatiques : délocalisation de nos industries dans des Etats ne respectant aucune législation sociale, destruction de notre propre législation sociale, chômage dans des régions qui ne le connaissait pas autrefois (ex. le Nord de la France). Par réaction, la France Insoumise et le RN proposent un repli sur notre petit hexagone. Mais cela est inenvisageable dans le contexte actuel. Il faut donc bâtir une véritable Europe autarcique et indépendante des puissances étrangères. Pour cela, il faut se retirer des traités internationaux tels que les traités de libre échange avec les diverses régions des Amériques. Et il faut se débarrasser de l'influence délétère de la Chine et des monarchies pétrolières. Ce qui veut dire, établir des frontières définitives à l'Union Européenne que nous voulons construire. L'Europe doit s'arrêter au fleuve Dniestr. Et il faut définitivement arrêter les projets d'élargissement à la Turquie et à l'Ukraine. Nous devons aussi faire la paix avec la Russie, et ne pas l'exciter en l'empêchant de posséder des ports sur la mer Noire. L'Ukraine doit avoir un statut neutre entre l'Europe et la Russie. Le problème n'est pas Poutine. Tout gouvernement russe réagira toujours violemment si l'Occident essaye de briser les relations millénaires entre la Russie et l'Ukraine.
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16/04/2020 00:32
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Nouvelle proposition à La consultation
Que l'informatique nous coûte moins cher
Nous dépensons des sommes considérables pour la gestion de nos ordinateurs. Et lorsque nous nous croyons au bon niveau, voilà que de nouveaux logiciels ou systèmes apparaissent. Et les anciens matériels deviennent inutilisables. Par exemple les nouvelles versions de Word (en .docx) ne peuvent pas être lues sur les anciens ordinateurs qui lisent uniquement les ".doc" (sans x à la fin). Il faudrait donc obliger les fabricants d'ordinateurs à rendre compatibles les nouveaux logiciels avec les anciens matériels.
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16/04/2020 00:19
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Nouvelle proposition à La consultation
Un découpage régional au service du monde rural
Chers Députés Comme on le sait, la base des «Gilets jaunes» se trouvait dans les périphéries urbaines et les zones rurales, c’est-à-dire des endroits où la voiture est une nécessité pour les habitants et où ceux-ci se disent abandonnés par le pouvoir central. Or, l’une des causes de cet abandon a été la politique régionale des gouvernements successifs qui a abouti à l’hyper-développement de grandes métropoles au détriment des petites villes et des campagnes. C’est ainsi que le gouvernement de François Hollande avait parachevé l’œuvre de ses prédécesseurs en créant des régions absurdes et déséquilibrées. Quant à Emmanuel Macron, il a entériné cette absurde réorganisation régionale. L'exemple extrême de cette politique a été l’incroyable région de «Nouvelle Aquitaine» qui s’étend du Poitou au Pays Basque, tout en englobant le Limousin. Il n’est pas étonnant que Bordeaux ait été la capitale régionale la plus impactée par la révolte des Gilets jaunes. Les manifestations violentes des Gilets jaunes à Bordeaux sont une conséquence de la création de cette malheureuse Nouvelle Aquitaine et une marque de rejet d'une capitale prétentieuse que le peuple ne souhaite plus respecter. Pour remédier à ces funestes destructions de nos territoires, il est important de prendre des mesures visant à : — réhabiliter les départements qui sont le meilleur cadre pour la défense de la paysannerie et la protection de l’environnement, ainsi que pour le maintien d’un tissu industriel local ; — recréer des régions à taille humaine, ayant une cohérence écologique, historique et culturelle, et correspondant aux désirs des populations. Je propose donc ci-joint une carte de réorganisation territoriale de la France, susceptible d’assurer un développement équilibré et écologique de notre pays. (Et je signale que dans ce projet, une région doit comporter un minimum de quatre départements, sauf la Corse où département et région sont confondus.) Ce projet est un compromis entre diverses exigences Quelques caractéristiques : — Revalorisation des départements, comme moyen de mieux équilibrer capitales régionales et zones rurales, et de préserver les intérêts de la paysannerie. — Chaque région possède un minimum de quatre départements — Réunification de la Bretagne dans ses frontières historiques. — La monstrueuse région «Nouvelle Aquitaine» est supprimée. — Le département de Vendée est unifié avec l'ancienne Région de Poitou-Charentes (recréée), ce qui correspond aux voeux des habitants.. — Les départements majoritairement gascons sont inclus dans l’ancienne région Aquitaine. — La région Champagne est rétablie (avec en plus les trois quarts de l’Aisne). En effet, son rattachement à l’Alsace et à la Lorraine ne possède aucune raison sérieuse et est rejetée par les populations. — Les anciennes régions Auvergne et Limousin sont rassemblées, à cause de leurs nombreux points communs (compte tenu aussi de ce que le développement économique doit s'y faire essentiellement à l'échelon départemental). — Le département de l’Oise est rattaché à l’Ile de France, vu qu’il est dans la mouvance de Paris et non pas de Lille. — Une région Val-de-Loire est créée, où l’accent sera mis sur le développement départemental. Il suffira que Orléans en reste la capitale administrative. Et rien n’empêche que la région garde des rapports privilégiés avec Nantes. — L’Alsace reste unie avec la Lorraine, ce qui ne lèsera en rien Strasbourg, qui sera à la fois chef-lieu départemental, capitale régionale et capitale européenne. — Un département Pays Basque est créé, ce qui est une revendication présente depuis plus de deux siècles ! — Un nouveau département du «Grand Vermandois» est créé, comprenant le Nord-Ouest du département de l’Aisne et le Sud-Est du département du Nord. Son chef-lieu sera Saint-Quentin. Cela permettra ainsi de régler des problèmes administratifs datant aussi de plus de deux siècles. — Le Centre et Sud du département de l’Aisne sont rattachés à la Champagne, ce qui correspond aux vœux de ses habitants. — Si leurs populations le désirent, quelques autres aménagements pourront être faits. Par exemple : La plus grande partie du Gard qui est maintenant dans une mouvance provençale devrait être rattachée à la région PACA. En revanche la sous-préfecture du Vigan (qui est plutôt dans la mouvance languedocienne) pourrait être intégrée dans un département de la région Languedoc-Pyrénées. Du reste, cela fut une demande du parti écologiste EELV. Vu que l’unanimité existe pour rejeter l’absurde découpage concocté sous la présidence de Hollande, cette carte pourrait vous inspirer dans vos propositions pour une politique nouvelle de développement local. (ci-joint, la carte que je propose, qui suppose connue la répartition actuelle que je ne reproduis pas ici)