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02/05/2020 18:17
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02/05/2020 18:07
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Nouvelle proposition à La consultation
Apprendre à consommer
La société de consommation rend malade et tue par millions hommes et animaux . Les malades sont une manne pour le système privé, cliniques privées, entreprises pharmaceutiques et un gouffre pour le contribuable. Le cancer, obésité, l'hypertension sont directement liés au mode de consommation . Les plus pauvres sont les premiers impactés et les plus riches en bénéficient. Ce génocide et écocide doit impérativement prendre fin et cela doit passer par des mesure politiques concrètes de communication et d'éducation, pour réduire significativement le budget santé tout en améliorant les conditions de vie, prolongeant l'espérance de vie en bonne santé donc en autonomie. Un moyen simple, 5 estampillages des produits: trop salé, trop sucré, trop gras, trop d'additifs, trop emballé avec une interdiction de diffuser de la publicité pour les produits estampillés de l'un de ces logos. Cela a été mis en place au Chili et commence à porter ses fruits. Cela doit s'accompagner dès l'école primaire et maternelle de l'éducation à la consommation avec le repérage de ces étiquettes et la connaissance des conséquences sur la santé de la consommation de ces produits. Aucun corps sexuellement attirant ne devra être associé à ces produits mais comme cela est fait pour les cigarettes, des corps malades , reflétant la réalité lié à la consommation de ces produits que sont l'obésité morbide, les traitements quotidiens des diabétiques, les divers cancers associés à la malbouffe. Les injonctions contradictoires peuvent laisser la place à des messages publicitaires pour des entreprises produisant des produits bénéfiques au bien être humain, animal et écologique: les aliments produits dans le respect de la planète et des droits de l'homme (pas de travail des mineurs et des rémunération équitables pour les producteurs), pas de produits emballés dans du plastique, des produits alimentaires avec un vraie valeur nutritive (issues de graines paysannes)...en bref des produits ou l'intérêt marchand n'entre pas en conflit avec l'interêt du consommateur. Cette mesure simple permettrait d'énormes économies de santé publique et une bien meilleure qualité de vie, il permettait également de favoriser les entreprises respectueuses de l'humain et de la planète.
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02/05/2020 18:06
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Nouvelle proposition à La consultation
Enseigner autrement, des programmes communs des enseignants à la demande
Depuis la mise en place du jour de carence, en plus de notre conscience professionnelle s'ajoute la peur de perdre un jour de salaire, et vu le gel du pont d'indice qui nous fait perdre chaque année du pouvoir d'achat, on ne peut plus se permettre de prendre une journée pour se soigner. Avec des logiciels comme pronote ou les cours à distance, il serait pourtant possible de rendre le présentiel beaucoup plus flexible . Le présentiel n'est pas un gage de travail de qualité et le non présentiel ne doit pas non plus être une entrave au travail. Je pense à un système avec un mode d'examen commun et national, échelonnés sur tout le cursus scolaire et gérés nationalement avec un système de correction et de notation soit informatisé soit géré de façon autonome (type cned) et un enseignement mixte. Les professeurs auraient des classes sous leur responsabilité et devraient proposer ou accompagner des cours, mais sous la forme de soutient ou de remédiation auxquels les élèves pourraient faire appel en fonction de leurs besoins et de leurs résultats aux évaluations. les élèves présents seraient donc demandeurs, le reste du temps ils pourraient travailler en autonomie devant un ordinateur, chez eux ou dans l'enceinte du lycée dans des salles équipées sous la surveillance d'un adulte selon leur autonomie. Le corps enseignant pourra donc être utilisé pour la correction , pour l'animation, le soutien, l'accompagnement, l'écoute et pourra donc exercer à domicile si les circonstances personnelles l'y obligent sans avoir à renoncer à une journée de salaire ET une journée de travail. Les programmes seraient non plus des pages d'idées émanent d'autorités déconnectées mais des référents communs pensés par ces mêmes autorités qui en porteraient toute la responsabilité. L'argument des élèves: " on n'a pas fait le programme l'an dernier car le/la prof était toujours absent" serait invalidé car le programme serait à disposition de tous. Des matières supplémentaires seraient accessibles aux plus curieux et des aides personnalisées disponibles pour les plus en difficulté. Un peu sur le modèle du CNED que j'ai eu l'occasion d'expérimenter en tant que répétitrice et qui, je trouve fonctionne bien, mais avec un accompagnement humain à disposition et à la demande. L'école deviendrait un lieu convivial ou l'enfant serait en demande de savoir et non plus en obligation de présence, posture infructueuse et peu compatible avec celle de l'adolescence.
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02/05/2020 18:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Enseigner autrement, des programmes communs des enseignants à la demande
Depuis la mise en place du jour de carence, en plus de notre conscience professionnelle s'ajoute la peur de perdre un jour de salaire, et vu le gel du pont d'indice qui nous fait perdre chaque année du pouvoir d'achat, on ne peut plus se permettre de prendre une journée pour se soigner. Avec des logiciels comme pronote ou les cours à distance, il serait pourtant possible de rendre le présentiel beaucoup plus flexible . Le présentiel n'est pas un gage de travail de qualité et le non présentiel ne doit pas non plus être une entrave au travail. Je pense à un système avec un mode d'examen commun et national, échelonnés sur tout le cursus scolaire et gérés nationalement avec un système de correction et de notation soit informatisé soit géré de façon autonome (type cned) et un enseignement mixte. Les professeurs auraient des classes sous leur responsabilité et devraient proposer ou accompagner des cours, mais sous la forme de soutient ou de remédiation auxquels les élèves pourraient faire appel en fonction de leurs besoins et de leurs résultats aux évaluations. les élèves présents seraient donc demandeurs, le reste du temps ils pourraient travailler en autonomie devant un ordinateur, chez eux ou dans l'enceinte du lycée dans des salles équipées sous la surveillance d'un adulte selon leur autonomie. Le corps enseignant pourra donc être utilisé pour la correction , pour l'animation, le soutien, l'accompagnement, l'écoute et pourra donc exercer à domicile si les circonstances personnelles l'y obligent sans avoir à renoncer à une journée de salaire ET une journée de travail. Les programmes seraient non plus des pages d'idées émanent d'autorités déconnectées mais des référents communs pensés par ces mêmes autorités qui en porteraient toute la responsabilité. L'argument des élèves: " on n'a pas fait le programme l'an dernier car le/la prof était toujours absent" serait invalidé car le programme serait à disposition de tous. Des matières supplémentaires seraient accessibles aux plus curieux et des aides personnalisées disponibles pour les plus en difficulté. Un peu sur le modèle du CNED que j'ai eu l'occasion d'expérimenter en tant que répétitrice et qui, je trouve fonctionne bien, mais avec un accompagnement humain à disposition et à la demande. L'école deviendrait un lieu convivial ou l'enfant serait en demande de savoir et non plus en obligation de présence, posture infructueuse et peu compatible avec celle de l'adolescence.
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02/05/2020 18:01
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02/05/2020 17:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Apprendre à consommer
La société de consommation rend malade et tue par millions hommes et animaux . Les malades sont une manne pour le système privé, cliniques privées, entreprises pharmaceutiques et un gouffre pour le contribuable. Le cancer, obésité, l'hypertension sont directement liés au mode de consommation . Les plus pauvres sont les premiers impactés et les plus riches en bénéficient. Ce génocide et écocide doit impérativement prendre fin et cela doit passer par des mesure politiques concrètes de communication et d'éducation, pour réduire significativement le budget santé tout en améliorant les conditions de vie, prolongeant l'espérance de vie en bonne santé donc en autonomie. Un moyen simple, 5 estampillages des produits: trop salé, trop sucré, trop gras, trop d'additifs, trop emballé avec une interdiction de diffuser de la publicité pour les produits estampillés de l'un de ces logos. Cela a été mis en place au Chili et commence à porter ses fruits. Cela doit s'accompagner dès l'école primaire et maternelle de l'éducation à la consommation avec le repérage de ces étiquettes et la connaissance des conséquences sur la santé de la consommation de ces produits. Aucun corps sexuellement attirant ne devra être associé à ces produits mais comme cela est fait pour les cigarettes, des corps malades , reflétant la réalité lié à la consommation de ces produits que sont l'obésité morbide, les traitements quotidiens des diabétiques, les divers cancers associés à la malbouffe. Les injonctions contradictoires peuvent laisser la place à des messages publicitaires pour des entreprises produisant des produits bénéfiques au bien être humain, animal et écologique: les aliments produits dans le respect de la planète et des droits de l'homme (pas de travail des mineurs et des rémunération équitables pour les producteurs), pas de produits emballés dans du plastique, des produits alimentaires avec un vraie valeur nutritive (issues de graines paysannes)...en bref des produits ou l'intérêt marchand n'entre pas en conflit avec l'interêt du consommateur. Cette mesure simple permettrait d'énormes économies de santé publique et une bien meilleure qualité de vie, il permettait également de favoriser les entreprises respectueuses de l'humain et de la planète.
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02/05/2020 17:25
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Nouvelle proposition à La consultation
Autonomiser sur le présentiel dès le lycée
J'enseigne depuis très longtemps et je souffre du syndrome hérité de mon père: un bon prof n'est jamais absent et doit aller travailler même avec 40 de fièvre. Depuis la mise en place du jour de carence c'est encore pire, en plus de notre conscience professionnelle s'ajoute la peur de perdre un jour de salaire, et vu le gel du pont d'indice qui nous fait perdre chaque année du pouvoir d'achat, on ne peut plus se permettre de prendre une journée pour se soigner. En tant que maman solo, je me permets donc d'être absente uniquement quand mon fils a 40 de fièvre ou est hospitalisé. Avec des logiciels comme pronote ou les cours à distance, il serait pourtant possible de rendre le présentiel beaucoup plus flexible pour changer les mentalités françaises. Le présentiel n'est pas un gage de travail de qualité et le non présentiel ne doit pas non plus être une entrave au travail. Je pense à un système avec un mode d'examen commun et national, échelonnés sur tout le cursus scolaire et gérés nationalement avec un système de correction et de notation soit informatisé soit géré de façon autonome (type cned) et un enseignement mixte. Les professeurs auraient des classes sous leur responsabilité et devraient proposer ou accompagner des cours, mais sous la forme de soutient ou de remédiation auxquels les élèves pourraient faire appel en fonction de leurs besoins et de leurs résultats aux évaluations. les élèves présents seraient donc demandeurs, le reste du temps ils pourraient travailler en autonomie devant un ordinateur, chez eux ou dans l'enceinte du lycée dans des salles équipées sous la surveillance d'un adulte selon leur autonomie. Le corps enseignant pourra donc être utilisé pour la correction , pour l'animation, le soutien, l'accompagnement, l'écoute et pourra donc exercer à domicile si les circonstances personnelles l'y obligent sans avoir à renoncer à une journée de salaire ET une journée de travail. Les programmes seraient non plus des pages d'idées émanent d'autorités déconnectées mais des référents communs pensés par ces mêmes autorités qui en porteraient toute la responsabilité. L'argument des élèves: " on n'a pas fait le programme l'an dernier car le/la prof était toujours absent" serait invalidé car le programme serait à disposition de tous. Des matières supplémentaires seraient accessibles aux plus curieux et des aides personnalisées disponibles pour les plus en difficulté. Un peu sur le modèle du CNED que j'ai eu l'occasion d'expérimenter en tant que répétitrice et qui, je trouve fonctionne bien, mais avec un accompagnement humain à disposition et à la demande. L'école deviendrait un lieu convivial ou l'enfant serait en demande de savoir et non plus en obligation de présence, posture infructueuse et peu compatible avec celle de l'adolescence.
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02/05/2020 16:57
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Nouvelle proposition à La consultation
Revenir aux fondamentaux et apprendre à consommer à l'école
Les programmes scolaires sont de plus en plus ambitieux, pourtant le niveau général ne fait que baisser et les inégalités se creuser. J'ai enseigné de la maternelle au bac avec beaucoup d'enthousiasme, depuis plus de 20 ans. Chaque nouveau gouvernement fait de nouvelles réformes ayant pour effet de démobiliser et parfois décourager le corps enseignant. Le système français est très basé sur le contrôle , évaluations en fin de maternellen en CP, en ce1, en cm2, le brevet, le bac, des notes, pas de notes, des points verts, rouges, orange... on s'y perd et surtout on perd beaucoup de temps à évaluer, corriger, remplir les livrets, une posture de "controlfreak" pour un classement européen pas très reluisant. Je propose de revenir aux fondamentaux ( lire, écrire , compter). La lecture à haute vox n'est pas évaluée lors des évaluation nationales, elle ne fait donc que rarement partie des projets d'écoles et beaucoup d'enfants savent aller pêcher une information dans un texte sans savoir lire. Le travail des enseignants est trop basé sur les résultats et trop peu sur la formation d'être pensants. Les programmes doivent être allégés, mieux programmés sur le primaire: l'essentiel est appris de la grande section au CE2 pour répété jusqu'en 4eme avec un décrochage des plus précoces mais aussi des plus en difficulté. En contrepartie doit rentrer dans les programmes l'éducation à la consommation et à la vie domestique pour les filles et les garçons: l'hygiène alimentaire, la cuisine, la consommation éclairée des produits de qualité, la couture, le travaux manuels électricité, plomberie, menuiserie, la participation à travers la vie associative à la vie citoyenne. Avant de théoriser à travers l'éducation civique, matière souvent oubliée car peu motivante, l'école pourrait être le premier lieu de l'engagement et de la participation citoyenne. Tout cela permettait un vraie pédagogie par projet mais sans le cadre asphyxiant et anxiogène administratif à la française. Une vraie école de la confiance ou chacun pourrait exprimer des compétences de vie autant que de savoir.
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02/05/2020 16:26
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02/05/2020 16:24
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Nouvelle proposition à La consultation
Une meilleure alimentation Pour une meilleure santé
Les malades sont une manne pour le système privé, cliniques privées, entreprises pharmaceutiques et un coût terrible pour le contribuable. Les médicaments pour le cancer directement liés au mode de consommation sont vendus extrêmement cher, le public paie, le privé empoche. Ce sont les plus pauvres qui sont les premiers impactés et les plus riches qui en bénéficient. Ce génocide consentit doit impérativement prendre fin et cela doit passer par la communication et l'éducation, réduisant significativement le budget santé, améliorant les conditions de vie, prolongeant l'espérance de vie en bonne santé donc en autonomie. Un moyen simple, 4 estampillages des produits: trop salé, trop sucré, trop gras, trop d'additifs avec une interdiction de diffuser de la publicité pour les produits estampillés de l'un de ces logos. Cela a été mis en place au Chili et commence à porter ses fruits. Cela doit s'accompagner dès l'école primaire et maternelle de l'éducation à la consommation avec le repérage de ces étiquettes et la connaissance des conséquences sur la santé de la consommation de ces produits. Aucun corps sexuellement attirant ne devra être associé à ces produits mais comme cela est fait pour les cigarettes, des corps malades , reflétant la réalité lié à la consommation de ces produits que sont l'obésité morbide, les traitements quotidiens des diabétiques, les divers cancers associés à la malbouffe. Cette mesure simple permettrait d'énormes économies de santé publique et une bien meilleure qualité de vie.