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03/05/2020 12:36
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Nouvelle proposition à La consultation
Faire comme si une croissance avait réellement été générée
Suite à cette crise, "offrons" (création monétaire) l'argent qui aurait été généré par une croissance habituelle sur ces deux mois. Le monde entier ayant été impacté (les pays non touchés le seront un jour à moins que la découverte du vaccin n'aille très vite) nous pouvons faire financièrement comme s'il n'y avait jamais eu ce frein à l'économie et offrir à chacun ce qu'il aurait normalement touché. Non?
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03/05/2020 12:36
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03/05/2020 12:27
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17/04/2020 11:23
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12/04/2020 13:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Cesser de désigner simplement par "burn out" 4 phases bien distinctes de l'épuisement
Pour certains aujourd'hui, burn out veut dire coup de fatigue, pour d'autre dépression, d'autres en revanche connaissent la gravité de la maladie mais ignorent ses trois stades bien distincts. Les patients en état grave ont en conséquence du mal à être pris au sérieux, ce qui les met parfois en danger, or ils sont de plus en plus nombreux. Pour éviter ce type de situation, déjà ne peut-on choisir un terme français "syndrome d'épuisement surrénal" peut-être ou revenir à neurasthénie? Ensuite il faut établir une gradation entre les stades de la maladie. Lors d'un épuisement surrénal de phase un, le patient s'énerve pour un rien et est hyper-actif sans en être conscient, c'est le moment idéal pour la prévention, qui permet des économies énormes dans ce domaine. En phase deux, le patient ne peut plus fonctionner normalement, il oublie tout, ne tient plus debout que quelques heures par jour, ne sait même plus faire les tâches simples, il a peur de tout. En phase trois, le patient doit être hospitalisé et nourrit par intraveineuse, il est paralysé par l'épuisement, s'il ne s'est pas jeté d'un pont avant ou n'a pas sombré dans la folie. Les personnes en phases 2 et 3 sont mises en danger par tout stress, même minime, alors la population devrait être sensibilisée à ce risque pour éviter des drames.
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12/04/2020 12:51
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12/04/2020 12:08
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Nouvelle proposition à La consultation
L'acupuncture nécessaire pour les personnes les plus sujettes aux déséquilibres de fascias
La MTC continue à être traitée par le mépris par de nombreux médecins occidentaux. Cette attitude est d'autant plus dérangeante qu'elle s'apparente à du racisme dans la mesure où cette médecine a largement fait ses preuves en Asie (la Chine étant le seul pays au monde à avoir dû limiter sa population!). Le docteur Nadia Volf, formatrice de médecins acupuncteurs, a transcrit une partie du jargon imagé des anciens médecins chinois en explications rationnelles et scientifiques. Désormais tout médecin français peut donc, et devrait, être initié à une approche occidentalisée de cette médecine efficace. Chacun apprendrait ainsi que moins les patients sont musclés, plus leurs fascias se mal-positionnent facilement et plus leur schéma corporel est élaboré, plus leurs fascias sont innervés, ce qui induit de nombreuses douleurs et des déséquilibres fasciaux fréquents aux conséquences considérables. Les Chinois qui ont étudié les rapports des fascias entre eux offrent une médecine tout particulièrement adaptée pour ce type de patients, alors que la médecine occidentale ne sait pas les gérer. Les deux médecines sont donc complémentaires et ne s'adressent prioritairement pas au même type de personnes. Chaque médecin devrait au moins savoir quelle médecine sera la mieux adaptée à son patient. La France peut être fière d'avoir été un pays précurseur en matière d'acupuncture au XXe siècle. Elle pourrait le rester, et également faire de grandes économies, en continuant de réaliser ces ponts entre MTC et médecine occidentale. Cela sauverait aussi des vies. Exemple : si on lit la biographie de beaucoup d'écrivains et d'artistes occidentaux on découvre qu'ils sont nombreux à succomber à une dépression, à la mort ou à la folie vers 50 ans. Or la médecine chinoise sait expliquer cela et l'empêcher. Mettre une place une prévention de ce phénomène permettrait de grandes économies et également de préserver un capital intellectuel et créatif dont le pays a besoin...
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12/04/2020 12:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Rembourser le shiatsu
Les séances de shiatsu à 50 euros de l'heure sont moins chères que les visites à un psychiatre ou même que l'acupuncture, qui sont à 50 euros du quart d'heure, et devraient être remboursées au moins dans le cadre de certaines maladies ; le yoga ou le chi gong qui impactent eux-aussi les fascias rétractés devraient l'être également. Les praticiens de shiatsu expliquent généralement à leurs patients ce qui leur arrive et comment se prendre en charge au quotidien. Le patient devient alors co-responsable de sa guérison et souvent même en partie autonome. Il en va de même avec de bons formateurs de chi gong ou de yoga thérapeutique (viniyoga). La prise en charge n'est donc pas nécessairement longue. Financer dix séances de ces pratiques coûterait bien moins que l'accompagnement psychiatrique sur des années dans certains cas et alors que leur efficacité n'a JAMAIS été prouvée, ni mesurée...
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12/04/2020 11:54
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12/04/2020 11:47
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Nouvelle proposition à La consultation
Responsabilité des entreprises en matière de santé
L'entreprise peut quasiment exploiter les ressources des employés jusqu'à l'épuisement. Ce n'est pas normal et doit être dénoncé explicitement par le Ministère de la Santé. Pour tenter de décourager cela, les arrêts maladie devraient être publiés par secteur d'activité et interprétés comme autant de failles de management potentielles. Une participation au budget santé devrait être exigé des entreprises qui abusent. Dans l'éducation nationale il est parait-il impossible d'établir le taux d'absentéisme des enseignants. Cette opacité qui ne permet pas d'observer l'évolution d'un certain malaise devrait cesser.
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12/04/2020 11:34
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Nouvelle proposition à La consultation
Formation des médecins
Internat Les conditions dans lesquelles les jeunes médecins font leur internat s'apparentent à de l'exploitation et font honte. C'est miraculeux que beaucoup restent empathiques après avoir été traités ainsi. Le respect du nombre d'heures de travail par semaine doit s'appliquer à eux-aussi et ils doivent être payés. Programme La motivation pour être médecin a longtemps été le statut social or cela a attiré dans cette profession des personnes dont certaines ont un goût du pouvoir sur autrui démesuré. Celles-ci manipulent, ridiculisent, refusent de reconnaître des erreurs patentes ou de prendre en compte la réalité de l'état du patient s'il contredit les dogmes auxquels elles sont attachées. Comme les patients n'osent pas confronter des personnes qui ont autant de pouvoir, ces médecins continuent de se comporter ainsi, parfois au péril de la santé de leurs patients. Un filtrage psychique devrait être opéré en cours de formation. On devrait évaluer la capacité des étudiants en médecine à prendre en compte de nouvelles informations même si elles contredisent d'anciennes croyances : cela éviterait que l'on trouve encore des médecins pour prescrire d'arrêter le gras en cas de cholestérol alors qu'il a désormais été largement prouvé que c'est le sucre qui est à incriminer... La médecine ne peut rester scientifique que si les médecins ont un esprit réellement ouvert. L'Etat devrait sans doute en plus communiquer sur le fait que cette profession ne permet désormais plus de si bien gagner sa vie, de manière à attirer moins de personnes cupides et plus de vrais passionnés de la santé (des interventions dans quelques documentaires suffiraient sans doute à faire passer l'information). Les médecins devraient également être formés a minima à la médecine chinoise qui sait guérir efficacement (preuve en est que la Chine est le seul pays à avoir dû limiter sa population artificiellement!) et à la phytothérapie, si peu chère. La formation initiale devrait être raccourcie et allégée sur certains plans théoriques puisque avec internet au cabinet, il n'est plus si nécessaire d'apprendre par coeur le nom de la moindre parcelle anatomique, ni de chaque maladie rare. Encore faudrait-il pour cela que les syndicats d'anciens étudiants aient moins de pouvoir sur la détermination du cursus médical : actuellement, d'après l'ancienne directrice de l'école de médecine de ma ville, ce sont eux qui freinent toute évolution, qu'elle-même juge urgente! Formation continue Les médecins devraient être tenus de s'informer au fur et à mesure des découvertes et cette formation devrait être assumée par un programme gouvernemental et non par des publications ou pseudo-colloques organisés par des laboratoires.
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12/04/2020 11:22
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Nouvelle proposition à La consultation
Remboursement de la méthode Feldenkrais
Alors que Feldenkrais, un célèbre physicien, vivait en France, sa méthode est remboursée en Allemagne mais pas en France où elle est quasi-inconnue. Elle est pourtant bien plus efficace, notamment pour des rééducations, que les séances de kinésithérapie standard.
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12/04/2020 11:18
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Nouvelle proposition à La consultation
Avoir plus de rigueur quand on établit un lien entre les problèmes de santé et le psychisme
Les médecins considèrent actuellement que beaucoup de maladies (cancer, AVC...) n'ont aucune cause psychique et que d'autres ont des causes psychiques (tous les problèmes de santé qu'ils ne comprennent pas ou pour lesquels ils ne décèlent pas de marqueurs physiologiques). Cela ne semble pas rigoureux : soit le corps et l'esprit sont liés, soit ils ne le sont pas. On ne peut pas considérés qu'ils ne le sont que lorsque cela arrange de le penser. Quand, face à des troubles étranges, la majorité des médecins prétendent que le problème est dans la tête du patient, cela a juste pour effet de le culpabiliser, ce qui ne l'aide pas à guérir. Par ailleurs, dire à un patient que ses troubles sont psychologiques est bien trop vague pour être scientifiquement acceptable. Le médecin veut-il dire - que les surrénales sont atteintes sous l'effet du stress, - que la dopamine est en berne en raison d'une mauvaise nouvelle, - que la flore intestinale est déséquilibrée ce qui entraîne peut-être une agressivité inhabituelle ? On le sait à présent chaque état psychique se mesure biologiquement et le métier du médecin est une science : il devrait donc s'y tenir plutôt que tenter de s'improviser psychologue. Ou alors qu'il précise qu'il pense que l'origine du mal est émotionnelle, familiale, professionnelle, sociale, culturelle ou encore liée à un conflit éthique ou à une hyper-sensibilité, etc... Là on s'approcherait d'un diagnostic. Face à des troubles "bizarres", le généraliste démuni a aussi pris l'habitude de prescrire des antidépresseurs. Quand on sait que ceux-ci laissent une empreinte indélébile dans le cerveau et que les chercheurs ne comprennent pas leur mode d'action, cette attitude paraît irresponsable. Méfiants, beaucoup de patients vont dans ce cas plutôt chercher la solution à leur problème ailleurs. Le généraliste ne les revoyant pas en déduit, à tort, que les antidépresseurs étaient la solution, alors même qu'ils n'ont souvent pas été pris, et il continue à en prescrire à un coût considérable et inutile. Quand le patient découvre que la médecine chinoise ou les plantes guérissent ses troubles, l'image de la médecine conventionnelle en pâtit encore plus (elle est déjà détériorée notamment chez les artistes et les intellectuels, sommes-nous prêts à accepter cela sans réagir ? Les tentatives de discrédit des médecines écologiques se retournent contre "l'establishment" médical car elles sont contredites par l'expérimentation personnelle). Soyons rigoureux, scientifiques et efficaces.
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12/04/2020 11:06
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Nouvelle proposition à La consultation
Favoriser des échanges d'information fiables grâce à un site gouvernemental
Désormais les patients cherchent souvent un diagnostic ou des solutions sur internet, malheureusement de nombreux sites et forums sont peu fiables ou ne sont que des outils de promotion d'entreprises pharmaceutiques et les risques pour la santé sont grands. La création d'un site internet gouvernemental référençant les différentes maladies, leurs symptômes et leurs traitements éviterait ce risque. L'avis de médecins de traditions ancestrales comme l'acupuncture, dont les effets ont été largement documentés, serait systématiquement indiqué également. Le site aurait de nombreuses fonctions. Il permettrait de savoir quand il est vraiment nécessaire de voir un médecin et économiserait un certain nombre de consultations pour rien. Chaque description de maladie serait suivie d'une possibilité de donner son avis, soit en tant que médecin, soit en tant que patient, augmentant les connaissances de tous. Les forums entre patients et médecins autour d'une pathologie spécifique, groupes qui se multiplient actuellement, seraient aussi référencés sur ces pages pour faire avancer la connaissance tout en intégrant au maximum l'expérience de chacun. Les médecins qui décideraient d'alimenter ces sites pourraient toucher une rémunération. Cela permettrait de valoriser ce que chacun apprend au fil de sa pratique et les patients identifieraient aussi ainsi plus rapidement les médecins les plus pointus sur leurs troubles spécifiques. Cela éviterait que l'Etat perde beaucoup d'argent à financer des consultations inefficaces parce que le médecin consulté n'en sait pas assez sur la maladie du patient.
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12/04/2020 10:57
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Nouvelle proposition à La consultation
Retours sur l'effet réel des médicaments prescrits et des consultations
Si les patients remplissaient après chaque visite un formulaire en ligne indiquant si le traitement donné par leur médecin les a aidé ou non et s'ils ont constaté des effets indésirables, l'efficacité réelle des médicaments serait mieux documentée. Ces informations anonymisées sur les effets des médicaments remonteraient aussi vers les organismes d'agrémentation de médicaments et les laboratoires de recherche. Les laboratoires seraient donc informés, voire pénalisés, en cas d'inefficacité de leurs traitements. Des économies immenses seraient réalisées et celles-ci permettraient de financer une petite prime remise à chaque médecin participant à ce programme. Tout le monde serait donc gagnant. Chaque médecin aurait un accès nominatif aux dossiers de ses patients de manière à vérifier si son traitement a fait mouche ou pas. Il en tirerait soit de la fierté d'avoir été efficace (les médecins manquent de retours positifs) ou au contraire matière à se remettre en cause. (Toutes ces infos seraient stockées sur un site 100% français)
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12/04/2020 09:53
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12/04/2020 09:48
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12/04/2020 09:45
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12/04/2020 09:26
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12/04/2020 09:22
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10/04/2020 08:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Revenu de Survie contre Investissement Actif (RSIA)
Du temps de la préhistoire, les humains avaient un accès gratuit à des ressources qui leur permettaient de survivre s'ils chassaient ou cueillaient. Aujourd'hui encore, dès la naissance chacun devrait avoir les moyens matériels de survivre. Je préconise un revenu de survie autour de 700 euros, qui se substituerait à toute autre aide, ce qui permet de le financer assez facilement (j'ai fait les calculs) car une grande partie de l'aide octroyée actuellement coûte très cher sans pour autant résoudre le problème de la pauvreté car l'argent est gaspillé dans une myriade de structures au fonctionnement coûteux (allocations logement, famille, intermittents du spectacle, retraite, chômage, etc..). Remplacer toutes ces aides par une seule permet d'empêcher des cumuls qui font que parfois des gens qui ne travaillent pas touchent davantage que des gens qui travaillent, ce qui génère une violente animosité et favorise la progression de mouvements extrémistes. Remplacer la retraite, l'aide aux handicapés, l'indemnisation des intermittents du spectacle ou le chômage par un revenu de survie qui dans ces cas passerait à 1500 euros permettrait de faire baisser les inégalités entre hauts et bas salaires : est-il normal qu'un cadre ou chanteur au salaire mirobolant touche actuellement de quoi entretenir un train de vie fastueux aux frais de l'état quand il ne travaille pas ? Ceux qui voudraient bénéficier d'un maintien de salaire à l'identique seraient tenus d'avoir recours à des assurances retraites ou chômage complémentaires, privées. Ce revenu de survie ne serait pas sans contrepartie car il est dévalorisant de se voir donner de l'argent sans qu'on attende quoi que ce soit de soi en retour mais une grande tolérance sur la nature de la contrepartie serait de vigueur. Ce dont souffre le plus les "assistés" est de ne pas avoir le sentiment d'être utiles : chacun a besoin de donner du sens à sa vie et de se sentir en lien. En revanche, le service offert devrait être au choix de chacun : encadrer une équipe de foot benjamine, rendre visite à une personne âgée, fabriquer des oeuvres d'art, nettoyer la nature, comptabiliser les insectes, enseigner à réparer des objets, méditer (car on est plus paisible après), se former, jardiner, s'occuper d'enfants (y compris les siens), assumer un mandat politique, etc... Chacun serait tenu à 3h de cette activité choisie par semaine (ce que la plupart d'entre nous faisons déjà!) et de justifier de celle-ci en cas de contrôle éventuel (démonstration de ses talents, attestation d'une association, témoignages, etc...). L'aide serait supprimée en cas d'incivilité majeure (vol, agression, violence sur conjoint ou enfant, etc...). Le RSIA serait octroyé de manière systématique aux agriculteurs qui gèrent les terres durablement, les paysages esthétiquement et les animaux respectueusement. La mise en place du RSIA permettrait une meilleure répartition du travail entre tous alors qu'à l'heure actuelle, il y a de grandes disparités. Il encourage chacun à travailler au moins un peu pour avoir un salaire qui permet de vivre (et non plus de juste survivre). Le travail partiel serait autorisé de droit dans toute entreprise. Le chômage serait ainsi évité et la situation obligerait les entreprises à offrir des conditions de travail plus attractives (ambiance, cadence, etc...). En contrepartie on cesserait d'attendre d'elles la sécurité de l'emploi qui est en contradiction avec l'exigence de compétitivité à laquelle elles sont confrontées sur le plan mondial. Elles perdraient donc des salariés dociles d'un côté mais gagneraient en flexibilité. La somme de 700 euros correspond en gros à la location d'une chambre, une consommation d'aliments basiques, une tenue simple et un abonnement internet (devenu obligatoire de nos jours). Comme il est impossible de survivre avec cette somme dans les grandes villes, ce revenu encouragerait un redéploiement de la population sur tout le territoire,essentiel, on l'a vu avec cette épidémie. Les "riches" ayant également droit à ce RSIA, le sentiment d'insécurité qui génère l'attitude de prédateurs de certains, diminuerait. Les enfants toucheraient un revenu aussi mais plus bas et supprimé en cas de non-assiduité scolaire (le problème est grandissant) ou de grave incivilité, y compris à l'école.