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03/05/2020 22:04
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Nouvelle proposition à La consultation
Une autre grille de lecture des investissements / décisions
Pour rendre nos territoires plus humains, et les décisions qui les concernent plus cohérentes, tentons une grille de lecture nouvelle : Des PRIORITES, dans cet ordre : 1/ Se nourrir et nourrir sa famille (et donc avoir un salaire décent pour ce faire) 2/ Avoir un toit pour se loger et abriter sa famille (et donc avoir un salaire décent pour ce faire) 3/ Etre en bonne santé (et donc consommer des produits sains, sans pesticides, disposer d’un système de santé public) 4/ Avoir une éducation de qualité pour tous (et donc majoritairement publique) Une fois que sont remplies ces 3 ou 4 premières priorités, on peut considérer que les citoyens ne sont plus en « mode survie », et qu’ils peuvent alors s’investir dans la cité, pour tisser des liens, faire avancer les solidarités. Faute de ceci, ils resteront dans la précarité. C’est pour cela que les plus précaires n’étaient pas dans les manifestations des gilets jaunes : ils luttaient pour vivre au quotidien. Puis … 5 Avoir accès aux services publics 6/ Avoir accès au numérique, y être formé Des CRITERES D’EVALUATION des solutions qui respectent l’environnement et les individus : 1/ Faible émission carbone 2/ Pas ou peu polluante 3/ Risques d'utilisation faibles 4/ Pas de dégradation sociale 5/ La plus locale possible 6/ Ethique (une évidence !)
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03/05/2020 22:04
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03/05/2020 21:42
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Nouvelle proposition à La consultation
De l’eau dans nos territoires : conserver l’hydro électrique dans le giron d’EDF
La commission Européenne presse la France et EDF pour qu’EDF se sépare de la gestion de ses barrages hydrauliques. Or conserver au sein d’EDF, entreprise ou l’état est l’actionnaire majoritaire, la gestion de nos barrages est une priorité nationale. Car aujourd’hui, EN PLUS de produire de l’électricité, EDF assure, à travers ses barrages, de nombreuse missions de « service public », et ce, à la demande de l’Etat et/ou de partenaires locaux ou privés, pour des couts raisonnables. Supposons que demain, ce bien commun soit privatisé (déjà, privatiser l’eau, qui provient d’un existant naturel (pluie, rivières, eau des glaciers …) me parait aberrant, mais passons). Qui décidera de fournir l’eau nécessaire aux agriculteurs en période de sécheresse ? A quel cout ? Il y aura des « privilégiés » (les grandes exploitations qui pourront payer, au détriment des petites) Quid des lâchers actuels effectués par EDF, pour assurer des débits constants de certains cours d’eau, afin que s’organisent autour de ceux-ci les activités de nos territoires (activités sportives, élevage piscicole …)
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03/05/2020 21:31
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour de VRAIS plans de prévention des sites SEVESO – Établis et contrôlés
Pour que nos territoires soient vivables, il faut limiter les dangers liés aux sites de production qui s’y trouvent. Sur le site de la société LUBRIZOL, à Rouen, on trouve ceci : « Notre entreprise est certifiée Qualité, Environnement et Santé/Sécurité ». J’ai du relire cette phrase plusieurs fois pour me convaincre que ma vue ne me trahissait pas. Si un telle accident a pu se produire, c’est qu’à priori : Il n’existait pas de plan de prévention des risques, OU Que celui-ci était vide de sens (cad : de pure forme, pour satisfaire des obligations légales, pas opérationnel) et/ou Qu’il n’était pas connu des salariés, ni testé (pas de mise en situation des actions à mener en cas d’accident) Les hésitations des pouvoir publics étaient à la mesure de l’impréparation de l’entreprise : communication erratique, erronée, prises de décision décalée, manque d’informations … Il faut : D’une part ELOIGNER les sites dangereux et polluants (SEVESO ou non) des villes, D’autre part CONTREINDRE ces entreprises à construire, appliquer, tester, communiquer de VRAIS plans de préventions des risques, sans les réduire à des formalités administratives, Et enfin CONTROLER précisément l’existence, la pertinence de ces plans de prévention Une information circule sur le possible allègement des contraintes de mise en place des plans de prévention, dans un texte voté en 2018. A vérifier et corriger si ce texte peut avoir eu une incidence sur l’accident de LUBRIZOL
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03/05/2020 19:52
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Nouvelle proposition à La consultation
Réformer la Commission Européenne
Les prérogatives de la Commission Européenne paraissent exorbitantes, alors qu’elle est constituée de personnalités non élues, et que leurs décisions ne vont pas de soi. Par exemple, pourquoi avoir bloqué le projet de fusion ALSTOM – SIEMENS Au nom de qui, de quoi ? En l’état, en cas de désaccord entre le parlement Européen et la commission, il faudrait que le parlement – Elu – puisse s’opposer aux décisions de la commission. Et, à terme, réformer cette institution, et, tout comme dans nos parlements nationaux, encadrer les lobbies qui influent sur ses décisions. C’est à ce prix-là que l’Europe aura encore un sens pour nous, citoyens Européens. L’Europe des marchés, l’Europe des lobbies et des égoïsmes nationaux n’intéresse plus les peuples depuis longtemps , d’où la montée des nationalismes …
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03/05/2020 19:42
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Nouvelle proposition à La consultation
Le temps de la « Concurrence libre et non faussée » est révolu
Ce dogme de la commission Européenne a permis un certain nombre d’avancées (dans les télécom en particulier), mais a conduit à de nombreux désastres, comme les chemins de fer Britanniques, que l’état a du reprendre en mains pour éviter que continue la déliquescence de leur fonctionnement (déficits d’entretien causant des accidents, déficits d’investissements, etc …) La « Concurrence libre et non faussée » n’est pas un mal en soit, lorsque son application s’inscrit dans un projet VOULU et ENTERINE par les PEUPLE EUROPEENS. Et non par la commission Européenne, qui n’a pas de légitimité. Du moins pas celle de promouvoir cette doctrine. Alors, ou est le projet Européen qui justifie ce dogme ? Il n’y a en a pas. Où est la validation des peuples Européens ? Il n’y en a pas non plus. Supprimons ce dogme qui ne mène nulle part, si ce n’est à l’affaiblissement des services publics et à la désindustrialisation de l’Europe !
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03/05/2020 19:26
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Nouvelle proposition à La consultation
S’occuper de l’Afrique, c’est s’occuper de nous …
L’Afrique est l’un des continents qui souffre le plus actuellement (pauvretés, guerres …) et les perspectives ne sont pas bonnes. Or l’Afrique est l’un des continents que sera le plus touché par les changements climatiques. Ce sont de tels changements, qui, par le passé, ont provoqué des déplacements massifs de populations : pour aller vivre dans des lieux plus cléments. Si nous n’aidons pas l’Afrique aujourd’hui, ce sont des millions de migrants qui viendront demain, frapper à notre porte, sans communes mesures avec l’immigration que nous connaissons aujourd’hui. Et il n’y aura pas de bonnes solutions : on ne peut pas construire des murs tout autour de l’Europe, c’est irréaliste, ça ne fonctionne pas, ce n’est pas LA solution. Alors c’est aujourd’hui que l’Europe doit aider l’Afrique, en : S’occupant réellement de la crise climatique, en limitant nos consommations, optant pour des alternatives au tout pétrole, tout gaz : pour que les Africains puissent continuer à vivre sur leur continent, Installant, pour ceux qui veulent tenter l’aventure Européenne, des dépôts de dossiers sécurisés sur leur territoire, et, pour cela, il peut être utile de créer une « FINUL » Européenne, pour prendre en charge leurs demandes, sans que les candidats à l’Europe soient arrêtés, rançonnés, maltraités, emprisonnés par des groupes mafieux comme cela se passe aujourd’hui en Lybie.
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03/05/2020 19:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Rémunération par l’argent public = production en France
Aujourd’hui, de nombreux acteurs de la santé (laboratoires d’analyse, sociétés pharmaceutiques) bénéficient de revenus issus de remboursements de leurs prestations (analyses) ou médicaments (sociétés pharmaceutiques) par la sécurité sociale. Dans le même temps, nombre de ces acteurs PRODUISENT A l’EXTERIEUR DE France et ont délocalisé une partie de leurs SERVICES DE GESTION dans des pays «à bas couts ». Ils le font soit directement, soit par l’intermédiaire de prestataires Français qui eux-mêmes délocalisent pour réduire leurs couts. Ce sont ainsi des pans entiers de fonctions de ces entreprises qui sont gérés à l’extérieur de France. Des telles entreprises, dont une partie de l’activité est rémunérée par de l’argent public, doivent s’engager à conserver en France une part de leurs activités et de leurs fonctions de gestion, au moins proportionnelle à leur chiffre d’affaire sur le territoire.
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03/05/2020 18:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Modifier l’accord de libre échange CETA
Pas de sobriété avec le CETA, qui porte en son sein des aberrations, en particulier : Parce qu’augmenter les échanges internationaux en période ou l’on chercher à réduire les émissions carbone est tout simplement incompréhensible. Parce la possibilité, pour des entreprises privées, d'intenter des procès à des états pour pertes de revenus, via des tribunaux arbitraux ou d’autres mécanismes ne permet pas aux hommes et femmes politiques de conduire leur politique en toute indépendance. Modifier le CETA, et/ou ne pas l’appliquer, c’est la seule voie pour que nos politiques conservent leur indépendance et leur crédit. Et pour éviter que le climat ne se détériore encore plus.
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03/05/2020 18:36
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Nouvelle proposition à La consultation
Affirmer la primauté du politique sur l'économie
Redonner ses lettres de noblesse à la politique Française, rapprocher les citoyens de la politique, les intéresser au projet politique … C’est possible ! A condition que l’on sente qu’il y a un pilote dans l’avion, que celui-ci n’est pas en pilotage automatique ni en mode « marionnette » téléguidée par l’économie. Les acteurs économiques ne peuvent pas vouloir leur liberté d’action quand tout va bien, et demander aux politiques de les renflouer à coup de milliards lorsque leurs errances – ou une crise sanitaire comme celle que nous connaissons – les a conduits au bord du gouffre. Le politique doit discuter, évaluer avec les entreprises et leurs dirigeants. Mais au final, trancher, décider, en fonction des intérêts communs et non pas des intérêts particuliers : l’économie doit être à NOTRE SERVICE. Pas l’inverse.
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03/05/2020 18:28
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Nouvelle proposition à La consultation
Améliorer la formation de la police et redéfinir ses modes d’action
Améliorer la formation de la police et redéfinir ses modes d’action Il est totalement anormal que des tirs de LBD, de grenades (dont la dangerosité était telle qu’elles avaient été interdites par Valéry Giscard d’Estaing dans les années 70 !) puissent être utilisés avec une telle légèreté qu’elles provoquent des lésions gravissimes (perte d’un œil, de doigts, etc. …). Plus de 40 personnes concernées après les manifestations des gilets jaunes : c’est un véritable scandale. Il faut FORMER les policiers, redéfinir les doctrines d’intervention, et employer des moyens ADAPTES.
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03/05/2020 18:25
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Nouvelle proposition à La consultation
Limiter la portée de lois sur l’Etat d’urgence
Nombre de textes ont été mis en place pour permettre des actions ciblées contre les terroristes. Or, par définition, il est impossible de savoir quand le terrorisme va se terminer … Ces lois vont donc perdurer, avec le risque qu’elles font peser sur nos libertés, puisqu’aujourd’hui utilisées contre des acteurs pacifistes qui s’opposent aux projets gouvernementaux, sans être bien entendu, des terroristes. Il est absolument nécessaire de vérifier la portée de ces textes en dehors du contexte « d’urgence » ou ils ont été votés, et de limiter leur portée, afin que des mesures d’exception, prises dans des moments exceptionnels, ne deviennent pas notre quotidien.
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03/05/2020 18:21
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Nouvelle proposition à La consultation
Modifier la récente loi sur le secret des affaires
Des affaires récentes ont mis en évidence le manque de protections dont bénéficient les lanceurs d’alerte. Il faut que la loi sur le secret des affaires garantisse leur protection (juridique) et leur assure un revenu à vie, équivalent à leur revenu actuel, - ou un emploi opérationnel dans la fonction publique- s’ils ne retrouvent pas d’emploi dans le privé du fait de leur action pour le bien commun. Les lanceurs d’alerte de la fonction publique doivent pouvoir bénéficier des mêmes garanties.
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03/05/2020 18:12
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Nouvelle proposition à La consultation
Redonner leur place aux députés : encadrer les lobbies
A examiner nombre de textes de loi récemment votés, il est bien difficile d’imaginer qu’ils sont tous le fruit du travail de députés en commission. Les lobbies ont pris une telle importance qu’ils viennent beaucoup trop influencer la vie politique française. Et ceci, d’autant plus facilement que le projet gouvernemental est flou, inabouti, ou inexistant. Si l’on veut imaginer une autre manière de partager le pouvoir, il faut d’abord DIMINUER, voire supprimer- on peut rêver – LE POIDS DE CES GROUPES D’INFLUENCE qui ne représentent en rien les Français, et qui sont juste rémunérés pour faire valoir des intérêts particuliers, au prix d’une désinformation conséquente et d’une manipulation des élus. En régulant mieux leur influence, on peut aussi rendre service aux sociétés qui les emploient : les millions d’Euros consacrés annuellement à la rémunération des lobbyistes pourraient être réinvestis dans la recherche, l’augmentation des salaires … Ce qui sera profitable aux actionnaires et aux salariés.
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03/05/2020 17:57
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un projet CLAIR de société
Un projet de société n’est pas constitué d’un ensemble de mesures, de textes de lois, de directives, d’ordonnances. C’est d’ABORD un projet ENONCE, un CAP FIXE, un objectif auquel NOUS CONTRIBUONS ENSEMBLE. Voir un idéal, auquel soit on adhère, que l’on amende, soit que l'on rejette, mais en connaissance de cause. Diminuer les couts de fonctionnement (de l’hôpital, des services publics) constitue-t-il un projet sur lequel on peut mobiliser les Français ? Diminuer la dette, un projet d’avenir ? Nous avons d’excellents comptables et financiers. Qu’ils fassent leur travail. Mais que les gouvernants se saisissent du PROJET, de la direction, l’ENONCENT et fassent participer les Français (via leurs élus locaux, leurs représentants nationaux, via des plateformes telle que celle-ci) à l’élaboration du projet. Ou allons-nous aujourd’hui ? Quel est le projet du gouvernement ? Le « ni droite ni gauche » n’est pas un projet. Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va » : nous en sommes là, mais cela ne peut plus durer : VITE, un projet D’AVENIR !
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03/05/2020 17:45
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Nouvelle proposition à La consultation
« Le Jour d'Après » : pour une consultation annuelle !
Cette initiative est excellente, riche. Elle permet à tous ceux qui veulent s’exprimer de le faire, elle permet d’échanger des points de vue, des projets d’avenir. Pour cela, il ne faut pas qu’elle constitue un instant, mais qu’elle devienne un rendez-vous périodique, peut être annuel, un « réservoir d’idées », que nos représentants pourraient creuser, amender, et finalement, faire revenir « dans la société » ceux qui s’en éloignent à force de ne pas être entendus, ou de constater que les mesures votées vont systématiquement à l’encontre de leurs souhaits et /ou de leurs intérêts.
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03/05/2020 17:36
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Nouvelle proposition à La consultation
Considérer les citoyens comme des adultes et PARLER VRAI
La crise actuelle a mis en évidence le manque de transparence, et les mensonges de l’exécutif. Il y a peut-être derrière ces choix, le souhait de ne pas effrayer les Français. Mais l’effet est contraire : les citoyens se rendent compte de l’aberration des propos, et ne font plus confiance à leurs élus. Est-il si difficile de dire : « Le masque est utile, mais les gouvernements précédents (à priori) n’ont pas renouvelé les stocks. Nous n’avons pas de masques. Dès que nous en aurons, et ils sont en commande, il faudra en porter ». « Nous avons laissé une totale liberté à nos fabricants de tests, à nos laboratoires : nous ne sommes pas prêts, ni à commercialiser ces tests, ni à les réaliser. Cette épidémie était imprévisible. Nous travaillons pour remettre en état de marche ce système défaillant ». Chaque fois que j’entends la porte-parole du gouvernement s’exprimer, je me demande si je rêve ou si je suis éveillé. Si sa communication, relève de ses propres décisions ou si elle communique de cette manière désastreuse d’après des consignes gouvernementales. Un discours ADULTE, que chacun peu entendre et comprendre, est nécessaire pour que s’instaure un climat de confiance entre les Français et leurs représentants.
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03/05/2020 17:18
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Nouvelle proposition à La consultation
Réserver les prestations publiques à ceux dont les impôts sont payés en France
Aujourd’hui, nombreux sont les dirigeants (de sociétés de service, en particulier) qui ont immatriculé leur entreprise dans les « paradis fiscaux Européens » (Pays bas, Luxembourg …) mais dont les familles consomment les biens publics financés par l’argent des autres : leur famille est prise en charge par la sécurité sociale française, leurs enfants sont scolarisés dans les collèges et lycées publics … Il faut les inciter à faire un choix clair : soit vivre dans la société Française, y payer ses impôts et bénéficier des services, soi s’en détacher, et assumer les conséquences de ces choix (plus d’accès aux services publics de soin et d’enseignement)
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03/05/2020 17:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Détecter et sanctionner les fraudes aux aides publiques
Chaque nouvelle aide publique fait naitre des « effets d’aubaine », des détournements, de nouvelles fraudes qui n’ont pas été anticipées lors de la création de la mesure. C’est le cas récent du CICE (effet d’aubaine) Cela va être le cas pour le chômage partie lié au COVID 19 (certaines sociétés ont averti leurs salariés fin avril qu’ils étaient au chômage depuis le … 17 mars, entre temps, ces salariés ont continué à travailler) C’est le cas de nombre d’entreprises qui touchent des aides publiques, puis ferment l’entreprise et délocalisent. Sans rembourser. Pour détecter et sanctionner ces fraudes, il est nécessaire de recruter un nombre suffisant de fonctionnaires : leurs salaires devraient être largement couverts par les sommes récupérées. Proposons aussi que les entreprise ayant fraudé n’aient plus droit aux aides publique durant une période définie, et qu’au-delà de cette période, toute récidive entraine la suppressions définitive de toute aide publique à l’entreprise, et une sanction du (des) dirigeants.
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03/05/2020 16:47
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Nouvelle proposition à La consultation
Partager EQUITABLEMENT les richesses produites par l'entreprise entre ses actionnaires et ses salari...
La France est aujourd’hui un des pays qui est le plus « redistributif », c’est-à-dire corrige les inégalités à travers des subventions, primes, allocations, etc … (Le « Pognon de Dingue » évoqué par notre Président) Or si ces corrections sont nécessaires, c’est surtout … parce que rien n’a été fait pour s’attaquer AUX CAUSES des inégalités et des bas salaires, et que nombreux sont ceux dont les salaires sont bloqués depuis des années (à titre personnel, je n’ai pas eu la moindre augmentation DEPUIS 8 ANS (et je n’ai cependant pas quitté mon entreprise, car je suis à qq années de la retraite) Je propose d’individualiser l’impôt sur les sociétés, et d’associer le taux d’imposition à la politique sociale et salariale de l’entreprise. A l’entreprise respectueuse et généreuse, taux d’impositions faibles, à celles qui n’ont ni politique sociale ni politique salariale, taux d’imposition plus élevés. Un système gagnant/gagnant, qui peut s’appuyer sur les déclarations sociales des entreprises, à éventuellement enrichir d’indicateurs complémentaires.
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03/05/2020 16:31
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Nouvelle proposition à La consultation
Arrêter de réduire sans cesse les impôts !
Que l’on considère les impôts sur le revenu, ou les impôts sur les sociétés – les deux n’ont pas arrêté de baisser depuis 20 ans (septennat Chirac) (avec une brève mais désastreuse – car mal expliquée - hausse dans le septennat Hollande). Or ce sont avec nos impôts que l’on construit le BIEN COMMUN : les routes, les écoles, les hôpitaux ! Vouloir baisser à tous prix les impôts, c’est DELEGUER AU PRIVE tous ces biens précieux que nous partageons dans l’espace public, c’est affaiblir les services publics ! La baisse des impôts, c’est un leurre, l’un des moyens mis en œuvre par un capitalisme débridé et décadent pour transférer au privé les compétences des états, afin de mieux les accaparer. Exigeons plus de justice fiscale, mais gardons-nous des cadeaux empoisonnés (comme la suppression de la taxe d’habitation !)