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25/04/2020 11:14
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Nouvelle proposition à La consultation
Vers une société durable
Que faire pour évoluer vers une société plus durable ? Une action importante proposée depuis longtemps serait d’instaurer une taxe carbone sur l'ensemble des produits fonction des techniques de fabrication, des distances parcourues par les produits, des moyens de transports... Cela aurait pour conséquences : - Favoriser les produits peu consommateurs d’énergie pour leur production - Favoriser les produits locaux peu consommateurs d’énergie pour le transport et donc permettre une production européenne En matière d’énergie, économies d'énergie, transition énergétique vers les énergies renouvelables semblent être les solutions. Néanmoins l’impact environnemental des énergies renouvelables fait l’objet de vifs débats. On leur reproche tour à tour d’augmenter les émissions de gaz à effet de serre, de ne pas être recyclables ou encore d’occasionner l ‘exploitation de ressources stratégiques. Le nucléaire n’émettrait pas non plus de CO2 en production et très peu en tenant compte du son cycle de vie, de l’extraction de la matière première au stockage des déchets, mais le carbone n’est pas le seul impact environnemental. Si la production d’électricité par le nucléaire est peu émettrice de CO2, elle est par ailleurs productrice de déchets radioactifs, déchets qui restent radioactifs durant des millénaires. L'ensemble des dégagements d'une centrale sont radioactifs mais, en temps normal, du fait des contrôles et des précautions prises, les risques sont minimes et n'impliquent pas de dangers directs mais en cas d'accident dans une centrale nucléaire, les dégagements radioactifs deviennent très importants, bien au-dessus des seuils tolérés et particulièrement dangereux pour la santé. Il ne faudrait pas toujours penser que ça n’arrive que chez les autres… Le coût de production de l’électricité nucléaire est réputé le plus bas mais avec des coûts de démantèlement des centrales fortement minimisés. Les dernières estimations de la durée totale du démantèlement d'une centrale semblent de l’ordre de 30 ans. Alors il est vrai que certaines énergies renouvelables telles le solaire ou l’éolien sont des énergies variables, fluctuantes et pas forcément en phase avec les besoins. Les prévisions de la production fluctuante doivent permettre une planification de la production d’appoint et pas forcément issue de ressources fossiles ou fissiles : complémentarité de certaines énergies renouvelables, stockage de celles-ci ou transfert d’énergie par pompage-turbinage, production par électrolyse de méthane ou d’hydrogène … Par ailleurs les consommations peuvent être aussi recalées sur les productions (pour le nucléaire nous avons mis en place le tarif heures creuses et notamment la nuit, pour le photovoltaïque nous pouvons orienter certaines consommations durant la journée). Profitons de la crise actuelle pour reconsidérer nos modes de fonctionnement : relocalisons en Europe les productions de base, les produits essentiels : médicaments, matériels de santé, produits alimentaires… Si nous manquons de certaines matières premières bien sûr nous devons travailler avec d’autres pays mais essayons de le faire dans le cadre d’échanges équilibrés et pacifiques (pas de pillage, pas de ventes d’armes ou autres trafics de main d’œuvre mais plutôt aides sanitaires, aides économiques…).
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25/04/2020 11:14
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25/04/2020 11:14
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Nouvelle proposition à La consultation
Vers une société durable
Que faire pour évoluer vers une société plus durable ? Une action importante proposée depuis longtemps serait d’instaurer une taxe carbone sur l'ensemble des produits fonction des techniques de fabrication, des distances parcourues par les produits, des moyens de transports... Cela aurait pour conséquences : - Favoriser les produits peu consommateurs d’énergie pour leur production - Favoriser les produits locaux peu consommateurs d’énergie pour le transport et donc permettre une production européenne En matière d’énergie, économies d'énergie, transition énergétique vers les énergies renouvelables semblent être les solutions. Néanmoins l’impact environnemental des énergies renouvelables fait l’objet de vifs débats. On leur reproche tour à tour d’augmenter les émissions de gaz à effet de serre, de ne pas être recyclables ou encore d’occasionner l ‘exploitation de ressources stratégiques. Le nucléaire n’émettrait pas non plus de CO2 en production et très peu en tenant compte du son cycle de vie, de l’extraction de la matière première au stockage des déchets, mais le carbone n’est pas le seul impact environnemental. Si la production d’électricité par le nucléaire est peu émettrice de CO2, elle est par ailleurs productrice de déchets radioactifs, déchets qui restent radioactifs durant des millénaires. L'ensemble des dégagements d'une centrale sont radioactifs mais, en temps normal, du fait des contrôles et des précautions prises, les risques sont minimes et n'impliquent pas de dangers directs mais en cas d'accident dans une centrale nucléaire, les dégagements radioactifs deviennent très importants, bien au-dessus des seuils tolérés et particulièrement dangereux pour la santé. Il ne faudrait pas toujours penser que ça n’arrive que chez les autres… Le coût de production de l’électricité nucléaire est réputé le plus bas mais avec des coûts de démantèlement des centrales fortement minimisés. Les dernières estimations de la durée totale du démantèlement d'une centrale semblent de l’ordre de 30 ans. Alors il est vrai que certaines énergies renouvelables telles le solaire ou l’éolien sont des énergies variables, fluctuantes et pas forcément en phase avec les besoins. Les prévisions de la production fluctuante doivent permettre une planification de la production d’appoint et pas forcément issue de ressources fossiles ou fissiles : complémentarité de certaines énergies renouvelables, stockage de celles-ci ou transfert d’énergie par pompage-turbinage, production par électrolyse de méthane ou d’hydrogène … Par ailleurs les consommations peuvent être aussi recalées sur les productions (pour le nucléaire nous avons mis en place le tarif heures creuses et notamment la nuit, pour le photovoltaïque nous pouvons orienter certaines consommations durant la journée). Profitons de la crise actuelle pour reconsidérer nos modes de fonctionnement : relocalisons en Europe les productions de base, les produits essentiels : médicaments, matériels de santé, produits alimentaires… Si nous manquons de certaines matières premières bien sûr nous devons travailler avec d’autres pays mais essayons de le faire dans le cadre d’échanges équilibrés et pacifiques (pas de pillage, pas de ventes d’armes ou autres trafics de main d’œuvre mais plutôt aides sanitaires, aides économiques…).
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25/04/2020 11:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Vers une société durable
Que faire pour évoluer vers une société plus durable ? Une action importante proposée depuis longtemps serait d’instaurer une taxe carbone sur l'ensemble des produits fonction des techniques de fabrication, des distances parcourues par les produits, des moyens de transports... Cela aurait pour conséquences : - Favoriser les produits peu consommateurs d’énergie pour leur production - Favoriser les produits locaux peu consommateurs d’énergie pour le transport et donc permettre une production européenne En matière d’énergie, économies d'énergie, transition énergétique vers les énergies renouvelables semblent être les solutions. Néanmoins l’impact environnemental des énergies renouvelables fait l’objet de vifs débats. On leur reproche tour à tour d’augmenter les émissions de gaz à effet de serre, de ne pas être recyclables ou encore d’occasionner l ‘exploitation de ressources stratégiques. Le nucléaire n’émettrait pas non plus de CO2 en production et très peu en tenant compte du son cycle de vie, de l’extraction de la matière première au stockage des déchets, mais le carbone n’est pas le seul impact environnemental. Si la production d’électricité par le nucléaire est peu émettrice de CO2, elle est par ailleurs productrice de déchets radioactifs, déchets qui restent radioactifs durant des millénaires. L'ensemble des dégagements d'une centrale sont radioactifs mais, en temps normal, du fait des contrôles et des précautions prises, les risques sont minimes et n'impliquent pas de dangers directs mais en cas d'accident dans une centrale nucléaire, les dégagements radioactifs deviennent très importants, bien au-dessus des seuils tolérés et particulièrement dangereux pour la santé. Il ne faudrait pas toujours penser que ça n’arrive que chez les autres… Le coût de production de l’électricité nucléaire est réputé le plus bas mais avec des coûts de démantèlement des centrales fortement minimisés. Les dernières estimations de la durée totale du démantèlement d'une centrale semblent de l’ordre de 30 ans. Alors il est vrai que certaines énergies renouvelables telles le solaire ou l’éolien sont des énergies variables, fluctuantes et pas forcément en phase avec les besoins. Les prévisions de la production fluctuante doivent permettre une planification de la production d’appoint et pas forcément issue de ressources fossiles ou fissiles : complémentarité de certaines énergies renouvelables, stockage de celles-ci ou transfert d’énergie par pompage-turbinage, production par électrolyse de méthane ou d’hydrogène … Par ailleurs les consommations peuvent être aussi recalées sur les productions (pour le nucléaire nous avons mis en place le tarif heures creuses et notamment la nuit, pour le photovoltaïque nous pouvons orienter certaines consommations durant la journée). Profitons de la crise actuelle pour reconsidérer nos modes de fonctionnement : relocalisons en Europe les productions de base, les produits essentiels : médicaments, matériels de santé, produits alimentaires… Si nous manquons de certaines matières premières bien sûr nous devons travailler avec d’autres pays mais essayons de le faire dans le cadre d’échanges équilibrés et pacifiques (pas de pillage, pas de ventes d’armes ou autres trafics de main d’œuvre mais plutôt aides sanitaires, aides économiques…).
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20/04/2020 10:31
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16/04/2020 18:58
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Nouvelle proposition à La consultation
Qui pour payer nos retraites ?
On vit de plus en plus vieux, semble-t-il et il y a de moins en moins d’actifs par rapport aux retraités, d’où la nécessité d’allonger la durée de cotisations, de reporter l’âge de départ en retraite… Le progrès, le développement de nouvelles technologies entrainent la réduction voire la suppression d’emplois, d’où nécessité d’allonger la durée de cotisations, de reporter l’âge de départ en retraite… De moins en moins de travail, un chômage grandissant, les seniors qui ont du mal à être embauchés et la solution proposée est de rallonger la durée de travail….Cherchez l’erreur. On pourrait sans doute faire travailler les uns pour fabriquer des objets inutiles et d’autres pour les détruire le tout contribuant à l’augmentation du Produit Intérieur Brut. Cela est le discours depuis le machinisme, depuis l’informatique, depuis la robotique mais pourquoi vouloir à tout prix que seuls les travailleurs cotisent socialement pour la retraite, pour la santé… Ne peut-on pas demander aux machines, robots…qui conduisent au remplacement de salariés de cotiser également pour le social ? La cotisation pourrait être établie sur la base du chiffre d’affaires dégagé. Depuis toujours les progrès techniques devant améliorer les conditions de travail se traduisent en fait bien souvent par un surcroit de travail ; grâce aux tracteurs le paysan peut cultiver, labourer plus facilement et … travaille plus longtemps. Autrefois le soir, quand le cheval était fatigué le labour s’arrêtait, aujourd’hui le tracteur a des phares et le travail peut continuer…Les exploitations agricoles se sont agrandies, il faut produire de plus en plus pour pouvoir rembourser les emprunts… Imaginons la « société idéale » : machines, robots, intelligence artificielle permettent de produire tous les biens et services nécessaires, seule une poignée d’individus travaillent jusqu’à 100 ans…et 70 h par semaine. Il n’est donc plus nécessaire de travailler mais… sans travail plus de revenus … les humains meurent de faim car ils ne peuvent payer ce dont ils ont besoin et pourtant tout est disponible ! On voit bien l’absurdité de la situation. Ce serait donc bien aux machines et autres robots d’assurer la vie des habitants. A moins que … il n’y ait plus besoin d’argent, plus besoin de payer… « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins » comme aurait dit l’autre… Un robot peut bien rêver non ?
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16/04/2020 18:57
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une plus grande représentation des citoyens
On parle d’introduire la proportionnelle au Parlement. L’élection des parlementaires à l’Assemblée nationale devrait rester telle quelle car l’on sait bien qu’une désignation à la proportionnelle conduit à une instabilité chronique des gouvernements. Par contre on pourrait réformer le sénat : 1) Vote à la proportionnelle intégrale pour désigner les sénateurs pour 6 ans 2) Ceux-ci désignent après plusieurs tours les 2 candidats à l’élection présidentielle qui ne sont pas forcément des sénateurs 3) L’ensemble des électeurs votent en 1 tour pour désigner le président de la République au suffrage universel pour 6 ans. Cette réforme présenterait 2 avantages : - Une assemblée représentative de toutes les opinions - Eviter pour l’élection présidentielle le vote utile dès le 1er tour (syndrome Jospin)