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10/04/2020 12:20
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Nouvelle proposition à La consultation
Maisons de la transition écologique et économique (en zones rurales)
De nombreuses propositions font part de la nécessité de dé-densifier les villes pour repeupler certaines zones rurales. Pour combattre l'étalement urbain, la densification de la population et la concentration de l'économie dans les métropoles, il est nécessaire de redonner du dynamisme à certaines zones rurales de France. Ces zones qui ont souffert de la désertification agricole (mécanisation) et qui sont parfois délaissées par les pouvoirs publics sont, paradoxalement de vraies creusets pour la transition écologique et économique. C'est dans ces zones qu'il est possible de réfléchir en amont à des modèles d'habitations, de consommation énergétique et de consommation vertueux et de faire infléchir l'économie 1.0. Eco-constructions ; solaire ; éolien (là où la population les accepte...) ; méthanisation ; agriculture bio ; permaculture ; éco tourisme... les solutions sont là, mais, en plus du parcours du combattant imposé par la réglementation actuelle, les natifs se montrent parfois réticents à la "nouveauté". Le syndrome "NIMBY" (not in my back yard) est assez répandu dans les zones rurales, malgré une vraie volonté des maires et des collectivités publiques. Eolien en premier, certains citoyens voient dans l'arrivée d'une nouvelle économie, aussi vertueuse soit elle une menace pour la préservation de l'environnement et de leurs habitudes de vie. Pourtant, ces mêmes citoyens font également leurs courses dans leur Intermarché local, comptent souvent sur un tourisme au modèle archaïque pour créer des emplois et des richesses et puisent leur électricité de la centrale nucléaire située à plusieurs centaines de km de chez eux... Pour démonter certains préjugés, il serait urgent de mettre en place des "maisons de la transition" dans les petites communes de France afin d'organiser des échanges et des débats, avec des professionnels de la transition (chef d'entreprise green et blue tech ; écologues; pouvoirs publics...). Il faut éliminer les doutes et les peurs et apporter les réponses à celles et ceux qui se pensent "laissés sur le bord de la route" (cf : gilets jaunes). Sans opposer la protection de l'environnement et la non artificialisation des terres, on peut, à la sortie de cette crise relancer une économie vertueuse, ralentir le changement climatique et créer des richesses dans une philosophie qui inclue un fort volet RSE dès le départ. Il faut que cela se fasse rapidement avec un fort soutien des pouvoirs publics, et particulièrement dans les zones rurales.
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10/04/2020 12:20
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10/04/2020 12:18
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Nouvelle proposition à La consultation
Maisons de la transition écologique et économique (dans les zones rurales)
De nombreuses propositions du "jour d'après" font part de la nécessité de dé-densifier les villes pour repeupler certaines zones rurales. Pour combattre l'étalement urbain, la densification de la population et la concentration de l'économie dans les métropoles, il est nécessaire de redonner du dynamisme à certaines zones rurales de France. Ces zones qui ont souffert de la désertification agricole (mécanisation) et qui sont parfois délaissées par les pouvoirs publics sont, paradoxalement de vraies creusets pour la transition écologique et économique. C'est dans ces zones qu'il est possible de réfléchir en amont à des modèles d'habitations, de consommation énergétique et de consommation vertueux et de faire infléchir l'économie 1.0. Eco-constructions ; solaire ; éolien (là où la population les accepte...) ; méthanisation ; agriculture bio ; permaculture ; éco tourisme... les solutions sont là, mais, en plus du parcours du combattant imposé par la réglementation actuelle, les natifs se montrent parfois réticents à la "nouveauté". Le syndrome "NIMBY" (not in my back yard) est assez répandu dans les zones rurales, malgré une vraie volonté des maires et des collectivités publiques. Eolien en premier, certains citoyens voient dans l'arrivée d'une nouvelle économie, aussi vertueuse soit elle une menace pour la préservation de l'environnement et de leurs habitudes de vie. Pourtant, ces mêmes citoyens font également leurs courses dans leur Intermarché local, comptent souvent sur un tourisme au modèle archaïque pour créer des emplois et des richesses et puisent leur électricité de la centrale nucléaire située à plusieurs centaines de km de chez eux... Pour démonter certains préjugés, il serait urgent de mettre en place des "maisons de la transition" dans les petites communes de France afin d'organiser des échanges et des débats, avec des professionnels de la transition (chef d'entreprise green et blue tech ; écologues; pouvoirs publics...). Il faut éliminer les doutes et les peurs et apporter les réponses à celles et ceux qui se pensent "laissés sur le bord de la route" (cf : gilets jaunes). Sans opposer la protection de l'environnement et la non artificialisation des terres, on peut, à la sortie de cette crise relancer une économie vertueuse, ralentir le changement climatique et créer des richesses dans une philosophie qui inclue un fort volet RSE dès le départ. Il faut que cela se fasse rapidement avec un fort soutien des pouvoirs publics, et particulièrement dans les zones rurales.
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10/04/2020 12:09
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Nouvelle proposition à La consultation
Maisons de la transition écologique et économique (dans les zones rurales)
De nombreuses propositions du "jour d'après" font part de la nécessité de dé-densifier les villes pour repeupler certaines zones rurales. Pour combattre l'étalement urbain, la densification de la population et la concentration de l'économie dans les métropoles, il est nécessaire de redonner du dynamisme à certaines zones rurales de France. Ces zones qui ont souffert de la désertification agricole (mécanisation) et qui sont parfois délaissées par les pouvoirs publics sont, paradoxalement de vraies creusets pour la transition écologique et économique. C'est dans ces zones qu'il est possible de réfléchir en amont à des modèles d'habitations, de consommation énergétique et de consommation vertueux et de faire infléchir l'économie 1.0. Eco-constructions ; solaire ; éolien (là où la population les accepte...) ; méthanisation ; agriculture bio ; permaculture ; éco tourisme... les solutions sont là, mais, en plus du parcours du combattant imposé par la réglementation actuelle, les natifs se montrent parfois réticents à la "nouveauté". Le syndrome "NIMBY" (not in my back yard) est assez répandu dans les zones rurales, malgré une vraie volonté des maires et des collectivités publiques. Eolien en premier, certains citoyens voient dans l'arrivée d'une nouvelle économie, aussi vertueuse soit elle une menace pour la préservation de l'environnement et de leurs habitudes de vie. Pourtant, ces mêmes citoyens font également leurs courses dans leur Intermarché local, comptent souvent sur un tourisme au modèle archaïque pour créer des emplois et des richesses et puisent leur électricité de la centrale nucléaire située à plusieurs centaines de km de chez eux... Pour démonter certains préjugés, il serait urgent de mettre en place des "maisons de la transition" dans les petites communes de France afin d'organiser des échanges et des débats, avec des professionnels de la transition (chef d'entreprise green et blue tech ; écologues; pouvoirs publics...). Il faut éliminer les doutes et les peurs et apporter les réponses à celles et ceux qui se pensent "laissés sur le bord de la route" (cf : gilets jaunes). Sans opposer la protection de l'environnement et la non artificialisation des terres, on peut, à la sortie de cette crise relancer une économie vertueuse, ralentir le changement climatique et créer des richesses dans une philosophie qui inclue un fort volet RSE dès le départ. Il faut que cela se fasse rapidement avec un fort soutien des pouvoirs publics, et particulièrement dans les zones rurales.
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10/04/2020 10:57
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10/04/2020 10:52
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09/04/2020 10:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Pollution sonore en ville, et ailleurs
Malgré la réglementation en cours, les niveaux sonores des véhicules thermiques, notamment et surtout ceux des deux roues dépassent allègrement ce que la loi et les citoyens autorisent et peuvent accepter. Logique puisque la majorité des concessionnaires et réparateurs de deux roues installent, illégalement les pots d'échappement les plus bruyants et polluants que leurs clients leur demandent (pour gagner 10km/h...ou un bruit plus "virile"). En tête, Harley Davidson, les maxi Scooters, les motos "vintage"... Nos enfants, notre santé, notre bien être ? Ces gens là s'en moquent. Pourvu qu'ils puissent, seuls au guidon de leurs engins ressentir le frisson de ressembler, quelques minutes par jour à James Dean ou Mickey Rourke. Une seule moto qui roule peut parfois réveiller et faire vibrer les vitres de tout un quartier avec un niveau de décibel égal à celui d'un petit avion ! Bien sur, il existe des patrouilles anti pollution qui, de temps à autre organisent des contrôles pollution dans les grandes villes. Plutot que de mobiliser des forces de police à cette action, pourquoi ne pas faire simplement appliquer la loi sur la pollution et la renforcer pour le bien de notre santé à toutes et à tous ?
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07/04/2020 12:32
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Nouvelle proposition à La consultation
Aménagement du territoire : EnR ; Tourisme Durable
Il n'est pas normal qu'il y ait autant de strates administratives, imposant parfois jusqu'à 5 ans de délais entre le pré projet et sa validation pour des entreprises d'EnR, d'agri-voltaïsme, de tourisme durable... Il n'est pas normal que la législation ne fasse pas de différences à l'instruction entre les projets touristiques de masse, énergivores et incompatibles avec la préservation de l'environnement et les projets de tourisme durable aux contraintes environnementales exigeantes (et on ne parle pas ici de greenwashing, mais de vraies philosophies RSE étudiées dès la gestation du projet). Les potentiels blocages et le parcours du combattant inévitables qui en découlent, impactent les projets vertueux au même titre que s'il s'agissait de projets non vertueux, décourageant de nombreux porteurs de projets, start-up et PME qui ne peuvent soutenir financièrement toutes ces années de délais d'instruction (et qui se développent souvent à l'étranger au détriment de la France). Et ce, au bénéfice des grosses entreprises monopolistiques de l'énergie ou de la promotion touristique qui sont finalement privilégiées par la réglementation actuelle. Ceci est un non sens car, souvent les administrations locales, pensant préserver leurs régions privilégient, de fait les projets non vertueux et les grosses entreprises qui ont les moyens de soutenir les délais d'instruction. Sans parler du fait que ces grosses entreprises dont la rentabilité est le seul maitre mot peuvent mettre dans la balance des dizaines de millions d'euros et des dizaines d'emplois ; ce qui pousse souvent les administrations (dont la DREAL) à réfléchir à deux fois avant de bloquer un projet, aussi passésite et peu vertueux soit il. Si on veut la transition économique et écologique, il est urgent de pousser l'économie vertueuse en allégeant les instructions (donner plus de pouvoirs d'aménagement aux Maires ?) et de pénaliser l'économie qui ne l'est pas.