-
13/04/2020 18:54
-
13/04/2020 18:46
-
13/04/2020 18:38
-
13/04/2020 18:27
-
13/04/2020 18:19
-
Nouveau commentaire à Pourquoi pas les scop?
Oui à l'autogestion par les salariés.... un management horizontal
-
13/04/2020 18:17
-
07/04/2020 17:43
-
Nouvelle proposition à La consultation
Qui contrôle les médias contrôle les esprits !
REGLE N°1 pour changer notre pays : Contrôler les médias 90% des médias appartiennent à 9 milliardaires en France ! Les médias façonnent nos pensées, nos opinions . Selon Noam Chomsky c'est la clé essentielle à la "fabrique du consentement" Les Français s'informent massivement via la TV (TF1- France 2....BFMTV....LCI ) et les journaux papiers ou numériques "mainstream". Les "Experts" en économie sont tjs les mêmes, les commentateurs aussi, c'est donc toujours une pensée unique qui nous abreuve. Aucune alternative n'est étudiée avec circonspection et sérieux car "THERE IS NO ALTERNATIVES" disait la chantre du néolibéralisme M. TATCHER. Tant que les médias seront aux mains des oligarques, les alternatives économiques, les idées nouvelles.... ne passeront pas. Exemple : Le RIC si on peut penser que ça donnera une meilleure démocratie, ne servira à rien si les médias nous désinforment...nous continuerons de nous faire manipuler. Il faut donc repenser le système d'information, pour que celui-ci soit pluraliste et équilibré. Les animateurs TV, Radio doivent être animés par une volonté d'éducation et d'information et non pas servir à la propagande d'une idéologie. Une ressource : le Film " les nouveaux chiens de garde"
-
07/04/2020 17:07
-
Nouvelle proposition à La consultation
Le salaire à vie proposé par le sociologue B. Friot
LE SALAIRE A VIE proposé par l’économiste et sociologue Bernard Friot entend renverser la logique classique qui relie emploi et salaire en proposant que les individus se voient conférer, à leur majorité, une qualification donnant droit à un salaire, et ce, quelle que soit leur activité. Le salaire à vie existe même déjà. B. FRIOT qualifie ainsi les fonctionnaires de dernier bastion du salaire à vie, puisque le salaire dans la fonction publique n’est pas rattaché à leur productivité mais bien à leur personne, leur statut. Les fonctionnaires sont donc rémunérés au nom de leur utilité pour la société et non selon une logique purement économique. Bernard Friot propose donc de généraliser ce modèle et d’offrir à l’ensemble des travailleurs, les droits et les protections dont bénéficient les fonctionnaires, à commencer par l’assurance d’avoir un travail. Car c’est bien l’un des questions fondamentales auxquelles le salaire à vie entend répondre : celle du chômage de masse et de longue durée, pris aujourd’hui comme une fatalité, dans un système économique qui le produit et le légitime. Explication: Ce dispositif s’appuie ainsi sur le constat que le travail est omniprésent dans nos sociétés, même s’il ne s’intègre pas nécessairement dans une logique d’emploi. Il ne s’agit donc plus seulement de répartir la richesse produite par le travail, mais bien de rémunérer l’activité. Pour financer ce système économique, Bernard Friot propose de placer l’intégralité de la valeur ajoutée produite par les travailleurs, dans une série de trois caisses, la première dédiée aux salaires, la deuxième à l’investissement, la troisième au financement de services publics gratuits. Ce ne seraient donc plus les entreprises qui paieraient les salaires, mais bien une caisse sociale, alimentée grâce à la richesse produite par l’ensemble de l’économie. Une rupture fondamentale puisqu’elle permet de remettre en cause les logiques de pouvoir, inhérentes au marché du travail. D’autant que, contrairement aux théories classiques, le marché du travail n’est pas le simple lieu de rencontre de l’offre et de la demande. Ce n’est pas un dispositif, neutre, de mise en relation des agents économiques. C’est avant tout une institution, avec ce qu’elle comporte de règles et de rapports de pouvoir.