-
10/05/2020 10:42
-
10/05/2020 10:19
-
30/04/2020 18:30
-
30/04/2020 13:44
-
15/04/2020 13:43
-
15/04/2020 13:06
-
13/04/2020 13:53
-
Nouveau commentaire à Le préventif est une des clés de l'équilibre du système !
Je soutiens cette proposition
-
13/04/2020 13:34
-
12/04/2020 14:17
-
12/04/2020 05:07
-
11/04/2020 20:19
-
Nouvelle proposition à La consultation
C'est le moment de repenser la médecine sur la base de la santé alors qu'elle repose aujourd'hui sur...
La plupart du temps le mot "santé" remplace celui de "maladie" dans les discours médicaux, politiques ainsi que dans ceux des particuliers. Lorsque l'on évoque la santé publique on sous entend un système qui prévient, lutte contre les maladies et pallie ses handicaps. L'hygiène, les vaccinations, les traitements, les médecins, les hôpitaux, les techniques de pointe sont les moyens que gère notre ministère de la santé. La réalité est que ses dépenses, dites de santé, sont attribuées pour 99% à la maladie. Le 1% restant concerne la santé sous forme de préconisations du type : Mangez sainement et avec modération, faites de l'exercice... Ces conseils judicieux n'empêche pas la population d'être malade et les gouvernements successifs ne peuvent apporter de solution car ils sont conseillés par des thérapeutes spécialiste du traitement des maladies. La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais découle d'un processus biologique, inhérent à chaque être vivant, qui nous permet de se protéger et de se défendre contre la maladie. L'épidémie lié au covid 19 vient dramatiquement nous le rappeler. La mortalité concerne dans sa grande majorité des personnes en mauvaise santé liée à l'obésité, au diabète, à l'hypertension, aux insuffisances respiratoire et cardiaque, à l'immunodépression et aux polypathologies qui affectent les personnes âgées; même si ces dernières sont sous traitement médical pour compenser et ralentir l'évolution pathologique, qui oserait affirmer qu'elles sont en bonne santé. Si l'impact du coronavirus est faible chez les jeunes, c'est qu'ils jouissent pour l'heure d'une meilleure santé. Ce n'est pas un traitement préventif ou curatif qui s'oppose à la maladie mais l'entretien ou le retour de la santé. La vraie prévention n'est pas celle du dépistage mais celle qui donne la priorité à la santé. Notre ministère de la maladie - j'utilise le mot juste- ne prend en compte que la médecine, dite scientifique, particulièrement efficace, qui traite les symptômes et repousse les conséquences morbides; elle peut également pallier les insuffisances fonctionnelles pour maintenir un sujet, non pas en état de vie, mais de survie. C'est son rôle et aucune autre médecine ne peut la remplacer, à contrario elle est totalement inadaptée pour faire de la santé. Comment peut-on prétendre faire de la santé avec des médicaments, sachant qu'"utiles" durant la maladie ils détiennent tous un risque pour la santé. IL est également étonnant de constater que notre ministère refuse l'intégration dans son système de santé publique les médecines qui permettent d'entretenir et de renforcer la santé pour s'opposer naturellement à la maladie. Pourquoi certains pays ont misé sur le développement de la santé pour avoir moins de maladies à soigner et alléger considérablement les budgets qui lui sont consacrés? La naturopathie fait partie des médecines traditionnelles (MT) pour lesquelles l'OMS préconise leur introduction dans les dispositifs de santé publique des états. Les objectifs sont : - "Soutenir les états membres qui cherchent à mettre à profit la contribution de la médecine traditionnelle à la santé, au bien être et aux soins centrés sur la personne. - "Favoriser un usage sûr et efficace des MT en instituant une réglementation des produits, pratiques et praticiens. Ainsi un ministère de la santé, digne de ce nom, devrait intégrer la naturopathie en tant qu'hygiène et médecine naturelle qui entretient et renforce la santé et cesser de la mettre en concurrence avec l'allopathie dont le rôle est des soigner la maladie chez des sujets qui ne pourront jamais retrouver la santé. De même, le ministère doit donner à l'homéopathie sa juste place à la charnière de la santé et de la maladie. C'est un système de santé basé sur le bon sens qu'il nous faut et non un système où prime intérêt, égo, monopole, querelle alors que l'humanité est souffrance grave .