La consultation
#LeJourdAprès consultation
Le numérique, terre de paradoxes
Le numérique est polluant :
Le numérique sue l’on vente comme durable par la possibilité de dématérialiser l’information, est le secteur dont les émissions de GES sont en plus forte croissance. Le Shift project indique que le numérique à déjà dépassé l’emprunte carbone de l’aviation, et que dans 10 ans il pourrait dépasser l’emprunte de l’automobile !
Le numérique est anti-social
Malgré l’apparent lien que permet de créer les réseaux sociaux, le World Happiness Report dénonce régulièrement les effets délétères du numérique sur notre sociabilité. Le temps passé physiquement avec nos semblable diminue avec l’augmentation du temps passé devant les écrans. Et même lorsque nous sommes ensemble, nous restons connectés en permanence
Le numérique, un frein à l’emploi
Le numérique qui partout venté comme la nouvelle révolution technologique, ne génère globalement ni croissance ni emploi. Ce faisant il massifie mais dégrade la qualité de service parce que nos indicateurs de performance n’incluent pas les relations humaines
Le numérique est désinformatisant
Face à la myriade d'informations disponibles, on ne sais plus quoi regarder, quoi lire, on perd régulièrement des secondes d'attention par cette sursollicitation. heureusement, les algorithmes ont trouvés la solution [ironie] : mettre en avant ce qui correspond à notre opinion, ces œillères nous enferme dans nos propres comportement, amenant individualisme et complotisme.
Le numérique et la dépendance
Internet et les smartphones qui devraient nous permettre de pouvoir nous débrouiller tout seul dans toutes les citations (GPS, traducteurs, encyclopédies qui répondent à tout…) nous rendent en réalité ultra dépendant. Nous perdons nos « savoirs faire » au fur a mesure que ceux-ci sont rendus obsolètes par l’utilisation des solution numériques. C’est une grande perte d’autonomie.
Sans pour autant jeter le bébé avec l’eau du bain, il faut limiter l’impact du numérique sur nos vies pour retrouver du lien social.
Cela commence par arrêter les projets de 5G ou de fibre qui ne feront qu’aggraver les paradoxes présentés plus haut. Arrêter également d’encourager l’utilisation du numérique en remplacement de solutions physiques. On voit bien que les relations a distances, ou le fameux télétravail, ne remplacent pas les interactions qu’il peut y avoir dans la « vrai vie ». Le numérique doit rester un outil complémentaire pour ne pas devenir totalitaire.
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