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01/05/2020 11:52
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01/05/2020 11:41
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Nouvelle proposition à La consultation
Sobriété énergétique dans le résidentiel
Le parc immobilier est composé de nombreux bâtiments bien antérieurs aux règlementations thermiques et aux logements BBC. Ces règlementations ne disent d’ailleurs rien sur la surface habitable qui est en forte expansion. - Tarif progressif de l’énergie calculé selon le nombre d’habitants du logement: les premiers kWh pouvant être gratuits puis en augmentation progressive afin de pénaliser toute forme de surconsommation. - L’interdiction de louer des logements dont la performance énergétique est inférieur à C. En effet, les propriétaires de logements en location ont généralement les capacités financières de réaliser les travaux, mais ils ne sont pas encouragés a le faire puisque la consommation énergétique est facturée au locataire, qui subissent en plus l’inconfort lié à un logement mal isolé. - Un système d’ajustement robuste du réseau. Inspiré du pilotage des ballons d’eau chaude, Il est possible de décaler d’1h ou 2 le fonctionnement de certains équipements électriques qui le permettent (machine a laver, lave vaisselle, congélateur) selon l’équilibre du réseau. En effet, avec l’augmentation des énergies renouvelables dans le réseau, la problématique à gérer n’est pas uniquement celle de la quantité d’énergie consommée, mais celle de l’équilibre à tout moment entre production et consommation.
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01/05/2020 11:39
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Nouvelle proposition à La consultation
L'alimentation, c'est la santé
Nous sommes ce que nous mangeons. notre alimentation est aujourd'hui bourrée de pesticides et d'engrais chimiques pourtant l'université de Berkley à montré que l'écart de rendement entre agroécologie et système productiviste est compris entre 0 et 10% seulement. Il est possible de manger mieux tout en protégeant la bio-diversité. Les rendements de l'agriculture industrielle sont d'ailleurs en train de chuter depuis 10 ans du fait de la destruction des écosystèmes qui permettent aux cultures d'être en bonne santé. cela nécessite de revoir la PAC qui incite aujourd'hui à l'extension des exploitation et à l'utilisation de pratiques industrielles. la nouvelle aide doit être inversement proportionnelle a l'utilisation d'intrants chimiques, progressive pour aider les petites exploitation qui en ont le plus besoins, et tenir compte de la phase de transition des exploitations. l'illustration de l'agriculture durable est donnée par Solagro dans son scénario AFTERRE2050.
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01/05/2020 11:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Plan 0 voiture : préparer l’après pétrole
Quel sue soit notre avis sur l’écologie, on ne peut nier l’évidence : le pétrole est une ressource finie et nous en somme ultra-dépendant. Il faut nous en sevrer et le plus tot sera le mieux : Pour espérer maintenir le réchauffement climatique sous les 1,5° nous ne pouvons exploiter au maximum que 15 à 20%des réserves prouvées de combustibles fossiles. C’est moins que les réserves contenu dans les puits déjà en exploitation. Il faut donc dès maintenant enclencher un plan 0 voitures sur 10 ans. Cela ne veut pas dire pour autant réduire la mobilité des personnes. A noter que sans voitures : - il y aura + d’usagers dans les transports en communs, justifiant une intensification des lignes (bus, tram, train). - Les bus et tramway seront plus rapides car moins contraints par le trafic automobile - les déplacements à pieds et à vélo seront plus agréables et plus sécurisés. La voiture électrique ou même le BioGNV ne peuvent répondre à la consommation ectuelle, en revanche, il peuvent servir de variable d’ajustement dans un plan 0 voiture pour : - des véhicules de service (pompiers, ambulances…) - des véhicules en auto-partage pour répondre à des besoins de mobilité ne pouvant pas être couverts par d’autres moyens. Cela nécessite également de revoir notre urbanisme qui c’est inscrit dans une logique de tout voiture, et notre rapport au temps car certains déplacements mettront peut être plus de temps qu’aujourd’hui. (CF propositions de partage du travail) Chaque ville, EPCI et région doit donc écrire son plan 0 voiture à 10 ans avant fin 2021 en lien avec les opportunités et contraintes du territoire. Pour être accepté, ce plan doit s’inscrire dans une démarche de démocratie participative directe.
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01/05/2020 10:51
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01/05/2020 10:47
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Nouvelle proposition à La consultation
Le numérique, terre de paradoxes
Le numérique est polluant : Le numérique sue l’on vente comme durable par la possibilité de dématérialiser l’information, est le secteur dont les émissions de GES sont en plus forte croissance. Le Shift project indique que le numérique à déjà dépassé l’emprunte carbone de l’aviation, et que dans 10 ans il pourrait dépasser l’emprunte de l’automobile ! Le numérique est anti-social Malgré l’apparent lien que permet de créer les réseaux sociaux, le World Happiness Report dénonce régulièrement les effets délétères du numérique sur notre sociabilité. Le temps passé physiquement avec nos semblable diminue avec l’augmentation du temps passé devant les écrans. Et même lorsque nous sommes ensemble, nous restons connectés en permanence Le numérique, un frein à l’emploi Le numérique qui partout venté comme la nouvelle révolution technologique, ne génère globalement ni croissance ni emploi. Ce faisant il massifie mais dégrade la qualité de service parce que nos indicateurs de performance n’incluent pas les relations humaines Le numérique est désinformatisant Face à la myriade d'informations disponibles, on ne sais plus quoi regarder, quoi lire, on perd régulièrement des secondes d'attention par cette sursollicitation. heureusement, les algorithmes ont trouvés la solution [ironie] : mettre en avant ce qui correspond à notre opinion, ces œillères nous enferme dans nos propres comportement, amenant individualisme et complotisme. Le numérique et la dépendance Internet et les smartphones qui devraient nous permettre de pouvoir nous débrouiller tout seul dans toutes les citations (GPS, traducteurs, encyclopédies qui répondent à tout…) nous rendent en réalité ultra dépendant. Nous perdons nos « savoirs faire » au fur a mesure que ceux-ci sont rendus obsolètes par l’utilisation des solution numériques. C’est une grande perte d’autonomie. Sans pour autant jeter le bébé avec l’eau du bain, il faut limiter l’impact du numérique sur nos vies pour retrouver du lien social. Cela commence par arrêter les projets de 5G ou de fibre qui ne feront qu’aggraver les paradoxes présentés plus haut. Arrêter également d’encourager l’utilisation du numérique en remplacement de solutions physiques. On voit bien que les relations a distances, ou le fameux télétravail, ne remplacent pas les interactions qu’il peut y avoir dans la « vrai vie ». Le numérique doit rester un outil complémentaire pour ne pas devenir totalitaire.
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01/05/2020 10:14
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour changer d'indicateur, il faut changer l'entreprise!
Le PIB comporte d’énormes biais, c’est reconnu depuis longtemps, même Simon Kuznets, créateur du PNB, alertait sur ses potentielles dérives. Du reste, la seule croissance qui compte est « l’épanouissement de chacun ». Mais pour y parvenir, il ne suffit pas de changer d’indicateur. Comme le précise Jean Gadrey : « à quoi ça sert d’avoir de beaux indicateurs alternatifs, scientifiquement défendables, ayant du sens, si personne ne les utilise pour prendre de grandes ou de petites décisions ? N’est-il pas vrai que même l’IDH, l’un des plus connus et diffusés, n’a pas infléchi grand-chose dans le monde ? » Tant que les entreprises n’auront comme seul objectif que la croissance du profit, IDH, BNB et autres indicateurs resterons inefficace. Il n’existe pas 36 solutions : - S’émanciper du diktat des marchés. La seule rente du capital qui puisse être justifiée est celle générée par la valorisation de celui-ci grâce aux travailleurs. Le profit généré par les entreprises doit donc revenir à ses employés, de même qu’ils doivent en avoir la gouvernance. La gouvernance des coopératives amène en effet des prises de décisions beaucoup plus long terme et beaucoup plus centré sur l’utilité sociale de l’entreprise plutôt que sur la recherche de profits. Ceci doit s’accompagner de : - Un revenu maximum (3 à 4000/mois) permettant de juguler la recherche infini de profits et de réduire les inégalités. En effet, une société plus équitable permet d’accroitre la confiance entre les habitants et d’encourager le coopération. - Un partage du travail permettant de garantir à chacun de trouver un emploi malgré la demande de travail humain en baisse. En effet, depuis la fin des 30 glorieuses, la croissance est de plus en plus faible, et le numérique ne la fera pas remonter (justement par ce que le numérique ne coute presque rien) mais il réduit le besoin en travail humain. Selon les experts 40 à 50% des emplois sont menacés. Cette productivité accrue est synonyme de temps libéré pour plus de convivialité, pour s’investir dans la vie citoyenne... Mais pour cela le travail humain restant doit être partagé. - supprimer la pub qui ébêtise les populations. Alors nous pourrons réellement suivre des indicateurs plus humains, dans un cadre environnemental durable – c'est-à-dire répétable à l’infini.
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30/04/2020 20:32
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Nouvelle proposition à La consultation
La publicité, source de sur-consommation
La publicité nous encourage à consommer en nous donnant une image de la réussite sociale et du bonheur passant par l'accumulation de "richesses" matérielles. Or, bon nombre d'études montrent de la richesse ne fait pas le bonheur, a commencer par les études d'Easterlin. Au contraire, la publicité augment notre frustration face à ce que nous n'avons pas. de plus, les médias qui "vendent du temps de cerveau disponible" captent notre attention et notre temps nous laissant moins de temps à passer avec nos proches. - Interdiction totale de la publicité dans l'espace public, y compris dans les gares, stations de métro et aéroports. (seuls certains panneaux réservés à l'affichage des communes en lien avec la vie citoyenne pourront être conserver) - Interdiction de toute publicité portant sur des biens ou services polluants (voitures, voyages en avion, lobby de la viande...) - Encadrement et forte réduction de la publicité dans les médias : Papier, TV et numérique.
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30/04/2020 20:09
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30/04/2020 20:03
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Nouvelle proposition à La consultation
Associer chaque mandat à un temps de travail
Le cumule des mandats est un sujet qui revient régulièrement, ainsi que leurs rémunérations. On voit en effet à différentes échelles des élus accaparés par divers attributions et qui ne sont pas en mesure de mener à bien les missions pour lesquelles ils ont été élus, et pour lesquelles ils sont rémunérés. Un élément de base pour un débat serein est de définir le temps nécessaire a chaque fonction (maire, conseillé métropolitain, président de région, député…). Le cumule des mandats pourra alors être limité naturellement par le plafond indiqué dans le droit du travail, a savoir 44h par semaine. Ce temps devra bien sûr inclure également le temps de travail salarié le cas échéant. (Des exceptions peuvent être apportées pour des équipes municipales pour permettre aux élus de combiner leur activité professionnelle à leurs missions d’élus) Le débat sur le montant des rémunérations aura ainsi plus de poids, rapporté à un ETC. cette rémunération doit pouvoir être décidée de manière à éviter tous conflits d’intérêts.
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30/04/2020 20:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Démocratie participative et directe à chaque échelle
La démocratie « représentative » centralisée actuelle est loin de représenter les avis de l’ensemble de la population. De plus, elle éloigne les citoyens de la prise de décision les laissant dans un rôle de spectateur. A force de ne plus participer activement à la vie politique, nous finissons tous par oublier que nous sommes citoyen, nous nous préoccupons moins de la vie politique, nous avons de plus en plus une vision individualiste des décisions et l’abstention monte. Il faut retrouver notre citoyenneté à travers une démocratie participative (propositions et débats ouverts à tous les citoyens), direct (décision par l’ensemble des citoyens) à l’échelle municipale pour commencer, comme c’est déjà le cas de certaines villes en France. Les villes étant très proches des EPCI, la cohérence de la démarche impose que ceux-ci fonctionnent comme une fédération de communes. Les représentants des communes étant désignés pour représenter l’avis de la commune au sein de l’EPCI selon les sujets en cours. Cette évolution doit s’accompagner d’une décentralisation des compétences afin que les villes et EPCI soient autonomes sur les sujets qui les concernent. Pour les compétences qui doivent rester centralisées, la démocratie participative directe peut également être renforcée. Par exemple : - Redonner de l’espace aux propositions citoyennes dans l’établissement des lois, notamment avec l’accompagnement des parlementaires sur leurs territoires. - Clarifier le fonctionnement des démarches de consultation et vulgariser le contenu pour qu’il soit à la portée de tous - Augmenter l’usage du référendum. La représentativité des parlementaires doit également être améliorée. La majorité des sièges a l’assemblée est attribuée à un groupe ne représentant que 20% des votants, sur base de programmes ne couvrant pas la diversité des textes sur lesquels les députés doivent s’exprimer. Ci-dessous quelques aménagements permettant d’améliorer cette représentativité : - Répartition à la proportionnelle des sièges de manière régionalisée (pour garder un lien avec le territoire) - La pérennisation d’une assemblée citoyenne tirée au sort, en remplacement du sénat. - Le droit de véto attribué à des conseils d’experts, validés par leurs pairs pour augmenter la pertinence des lois. - Rendre nul tout vote parlementaire en présence de moins de 75% de parlementaires pour les textes de lois et de 50% pour les amendements.
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28/04/2020 18:54
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Nouvelle proposition à La consultation
Revenu de base & revenu maximum : Valoriser l'utilité sociale du travail
La rémunération du travail dépend aujourd’hui de sa valeur marchande ainsi que d’idéologies telles que la hiérarchisation de la répartition des revenus. Aujourd’hui le revenu moyen des 0,5 millions les plus aisés est 24 fois supérieur à celui des 50% les plus pauvres. Lequel de ces 500 000 privilégiés oserait prétendre qu’il est, par son seul travail, 24 fois plus méritant qu’une infirmière, une institutrice ou qu’un agriculteur ? Pour mettre en valeur l’utilité sociale du travail il faut déconnecter le travail de sa valeur marchande. Ce la passe par : - Un revenu de base (RB) - L’accès à des services publics gratuits (éducation, santé, transports en communs…) - Un revenu maximum autorisé (RMA) Le revenu de base est familiarisé en fonction de l’Unité de Consommation (UC, selon la définition de l’Insee) afin de répondre équitablement aux besoins de chaque foyer. Il donne la possibilité à chacun de choisir son travail selon son utilité sociale et selon les conditions de travail. Il permet également de faire une pose dans le travail salarié, pour monter son propre projet d’entreprise, pour se former ou encore prendre soin de ses proches (enfants, parents, conjoint malade…). Cette sortie de l’emploi temporaire et/ou partielle doit rester un choix et ne pas devenir une fatalité devenue vivable grâce au revenu de base. Des mécanismes de répartition du travail sont donc à créer (réduction généralisée du temps de travail, emploi garanti…) pour que l’accès à l’emploi reste un droit. Le revenu maximum concerne le revenu net disponible après impôts. Il permet d’éviter les abus et d’encadrer aisni la « compétition » tout en laissant une plus grande place à la coopération entre les individus et les entreprises. Il concerne TOUS les revenus, a commencer par les revenus du capital. Entre deux, pour les entreprises concernées, la loi du marché a toujours sa place pour évaluer la valeur des biens et des services. Dans les entreprises en revanche, la répartition des salaires est décoléré de la position hiérarchique. Pour se donner une idée, on peut imaginer un RB mensuel à 1000 € /UC (a peu près le seuil de pauvreté en France) un SMIC légèrement supérieur et un RMA entre 2 et 4 fois supérieur au RB. Une société plus équitable, c'est une société plus juste, qui encourage la confiance donc la coopération.
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28/04/2020 18:46
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Nouvelle proposition à La consultation
Autonomie des écoles sur les questions pédagogiques
Aujourd’hui, l’école impose aux enfants de rentrer dans un moule. Ils doivent suivre un programme, des méthodes et rythme imposé par le ministère, loin du terrain (malgré les régulières désapprobations des professeurs). Les évaluations ne sont là que pour mesurer le niveau des élèves, sans leur donner la possibilité de revenir sur ce qu’ils n’ont pas compris (si ce n’est en redoublant) Alors que tous les enfants sont différents : ils ont des intérêts cariés, des capacités de compréhension qui change selon les domaines abordés ou la manière dont les concepts sont expliqués. Pourtant des alternatives existent : Maria Montessori, Celine Alvarez… qui s’appuient sur la curiosité naturelle de l’enfant, qui permettent d’adapter les rythmes quitte à mixer les âges selon les matières, qui encouragent l’entraide et la coopération entre les élèves… Il faut répondre à la diversité des élèves par la diversité des pratiques en ouvrant la possibilité à chaque établissement de choisir de manière autonome les méthodes les plus adaptées aux élèves. Le « programme » combinerait alors des acquis indispensables pour pouvoir passer d’un « grand niveau » (école-collège, collège-lycée) à un autre, et des boites à outils dont l’utilisation ou non est laissé à la discrétion des établissements.
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28/04/2020 18:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Revenu de base & revenu maximum : Valoriser l'utilité sociale du travail
La rémunération du travail dépend aujourd’hui de sa valeur marchande ainsi que d’idéologies telles que la hiérarchisation de la répartition des revenus. Aujourd’hui le revenu moyen des 0,5 millions les plus aisés est 24 fois supérieur à celui des 50% les plus pauvres. Lequel de ces 500 000 privilégiés oserait prétendre qu’il est, par son seul travail, 24 fois plus méritant qu’une infirmière, une institutrice ou qu’un agriculteur ? Pour mettre en valeur l’utilité sociale du travail il faut déconnecter le travail de sa valeur marchande. Ce la passe par : - Un revenu de base (RB) - L’accès à des services publics gratuits (éducation, santé, transports en communs…) - Un revenu maximum autorisé (RMA) Le revenu de base est familiarisé en fonction de l’Unité de Consommation (UC, selon la définition de l’Insee) afin de répondre équitablement aux besoins de chaque foyer. Il donne la possibilité à chacun de choisir son travail selon son utilité sociale et selon les conditions de travail. Il permet également de faire une pose dans le travail salarié, pour monter son propre projet d’entreprise, pour se former ou encore prendre soin de ses proches (enfants, parents, conjoint malade…). Cette sortie de l’emploi temporaire et/ou partielle doit rester un choix et ne pas devenir une fatalité devenue vivable grâce au revenu de base. Des mécanismes de répartition du travail sont donc à créer (réduction généralisée du temps de travail, emploi garanti…) pour que l’accès à l’emploi reste un droit. Le revenu maximum concerne le revenu net disponible après impôts. Il permet d’éviter les abus et d’encadrer aisni la « compétition » tout en laissant une plus grande place à la coopération entre les individus et les entreprises. Il concerne TOUS les revenus, a commencer par les revenus du capital. Entre deux, pour les entreprises concernées, la loi du marché a toujours sa place pour évaluer la valeur des biens et des services. Dans les entreprises en revanche, la répartition des salaires est décoléré de la position hiérarchique. Pour se donner une idée, on peut imaginer un RB mensuel à 1000 € /UC (a peu près le seuil de pauvreté en France) un SMIC légèrement supérieur et un RMA entre 2 et 4 fois supérieur au RB. Une société plus équitable, c'est une société plus juste, qui encourage la confiance donc la coopération.