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07/04/2020 12:51
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Nouvelle proposition à La consultation
Pays en développement, rôle du politique
Penser à l'aide aux pays en dvpt. Si on les aide chez eux, ils viendront moins chez nous. Bénéfice pour tout le monde, car ils n'émigrent pas de gaîté de coeur. Environnement protégé et/ou réhabilité et justice sociale doivent nous permettre, espérons-le, de vivre ensemble sur une planète supportable... Et le rôle du politique est bien de commander à la finance et aux lobbies, quels qu'ils soient. Cela semble parfois oublié. Et il n'a pas à s'ériger en faiseur de bonheur des peuples à l'insu de leur plein gré, c'est-à-dire à vouloir égaliser à toute force les façons de vivre des gens depuis des siècles selon les territoires qu'ils habitent et les cultures qu'ils vivent.
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07/04/2020 12:51
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07/04/2020 12:43
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Nouvelle proposition à La consultation
Justice sociale d'abord
- plafonner hauts revenus, immoraux - baisser salaires hauts fonctionnaires - ajouter tranches d'impôt - remettre impôt sur la fortune - plus un sou d'argent public pour sport pro - dégonfler marché de l'art, très surfait, - id pour immobilier - loi du marché à remplacer par celle de justice sociale - plafonner % de profit pour actionnaires - sponsoring, mécénat, fondations ... ? Facile d'être généreux avec l'argent des autres - banques : séparer dépôt/ trading
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07/04/2020 11:25
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Nouvelle proposition à La consultation
Le bien commun le plus précieux, c'est la santé
Cf la situation actuelle, et ce qu'on se dit au Nouvel An ! Donc, ce qui nous maintient en bonne santé, c'est un environnement sain, ce qui implique une lutte vigoureuse contre le réchauffement climatique (épidémies, insectes, sécheresses, cataclysmes...); c'est ensuite une alimentation saine (produits de qualité supposant cultures le plus biologiques possibles); c'est enfin un système de santé qui se rapproche plus de celui de la France que de celui des USA ou du Royaume-Uni. Ensuite, la sécurité, à tous niveaux. Qu'on puisse circuler sans craindre une agression ou de rentrer chez soi pour constater un cambriolage. Il serait mieux de pouvoir se faire confiance mutuellement que de faire appel à la police, aux caméras... La fête des voisins en permanence et partout, puisque nous sommes tous habitants du même jardin... Donc, bienveillance, urbanité, justice sociale qui les fondent, apaisement, fin de la course à la rentabilité, fin de la précarité... Sécurité de 'emploi, ou d'un minimum de revenus (qui incite cependant à travailler). La marche vers le bonheur ? Personne ne le fera à notre place, et personne ne le fera tout seul. En conséquence, veiller sur "les communs", nature, culture, attention aux plus faibles, solidarité, esprit civique... , et d'abord de la part des élus et élites en tout genre, politiques, économiques, médiatiques, culturelles. L'exemple doit venir d'en haut. Ce n'est pas gagné (cf affaires Fillon, Balkany, Cahuzac, Placé et autres, toutes couleurs politiques confondues). les réflexes monarchiques sont toujours présents dans bien des têtes et des comportements.
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07/04/2020 10:50
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Nouvelle proposition à La consultation
Des territoires bassins de vie
Un territoire peut être défini de diverses façons : l'Agence de l'Eau a les siens (bassins versants), l'Education nationale a les académies, l'Etat a ses régions, départements..., l'Eglise a ses diocèses. Dans la pratique, même si un habitant peut, en principe, aller n'importe où, il passe quand même le plus clair de son temps à distance modérée de son lieu de résidence, et s'y réfère aux services et ressources y existant. Le problème, c'est que cet "espace vécu" ne correspond pas toujours à certaines limites officielles, qui s'imposent , pourtant. Il faut donc considérer la vie courante des habitants et de leurs besoins : alimentation, éducation, santé, services, administration... . Donc, comme il faut bien placer les limites quelque part, que ce soit fait avec l'adhésion d'une majorité d'entre eux. Ensuite que cela soit aménagé de façon cohérente : transports, services publics... Donc, des instances représentatives et efficaces sont nécessaires. La transparence doit y être de mise, les débats publics organisés et suivis. Les transports publics en commun locaux pourraient être gratuits (cf plus loin pour leur financement). La pertinence territoriale devrait s'adapter aux évolutions. Les experts en aménagement du territoire et en géographie devraient être plus consultés. Ne pas oublier les territoires ruraux. Réactiver un mouvement fort en faveur des villes-centres moyennes, qui animent ces territoires, et qui ont fort souffert (et souffrent encore) de la métropolisation (effet TGV notamment) et de la multiplication incontrôlée des grandes surfaces périphériques déstructurantes. Des bus gratuits pour ramener les clients en villes, plutôt que sur des hectares de bonnes terres agricoles macadamisées seraient une solution efficace et, sur le long terme, écologiquement et socialement bien meilleure. Ranimer de petites voies ferrées. Instaurer des participations/taxes sur pratiques inadaptées afin de financer ces transports. Renationaliser les autoroutes au profit de réseaux locaux.
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07/04/2020 10:28
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Nouvelle proposition à La consultation
Des citoyens responsables
D'abord rendre le vote obligatoire, sous peine d'amende puis de déchéance des droits civiques. Comptabiliser le vote blanc dans les exprimés. Invalider l'élection au-delà d'un certain % de votes blancs, manifestation d'un mécontentement citoyen et/ou de l'inadéquation des programmes électoraux proposés aux souhaits populaires. Introduire une dose de proportionnelle, mais qui ne permette pas de bloquer le fonctionnement institutionnel. Instaurer le référendum d'initiative citoyenne sur pétition d'un million de citoyens. Réduire le nombre d'élus. Interdire plus fermement les cumuls. Limiter le nombre de mandats consécutifs. Développer davantage l'éducation civique et citoyenne pour préparer mieux des générations d'élus. Alléger les réglementations administratives et les échelons hiérarchiques, qui découragent des porteurs de projets ou des initiatives. On attend toujours "le choc de simplification "(F. Hollande). Faire marcher le principe de subsidiarité à tous les niveaux : inutile de s'en référer à un échelon supérieur quand un échelon inférieur est à même de régler le problème. Peut-être plus de contrôles a posteriori et moins d'exigences a priori. Ne pas tout considérer seulement à l'aune des "réflexes comptables".
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07/04/2020 10:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Numérique au service de l'homme
Et pas le contraire. Superbes inventions, et encore n'en est-on qu'au début, sans doute, mais l'homme doit primer. Ne pas jouer aux apprentis sorciers. Dangers de l'intelligence artificielle, du transhumanisme, que l'homme ne devienne un objet source de profit. Capable du meilleur comme du pire, probablement. On ne peut plus se passer d'internet et du numérique, mais c'est un moyen, pas une fin. Fracture numérique risque encore de s'accentuer. Comment assurer à tous un niveau de compétences suffisant ? Et quel accès aux équipements ? Et au détriment du lien social direct ? (cf ce que la crise actuelle nous révèle sur les besoins en ce domaine).
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07/04/2020 10:03
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Nouvelle proposition à La consultation
Fondamentaux et réalités
Insister sur l'acquisition des fondamentaux : lecture, écriture, calcul, expression orale... dès le plus jeune âge. On sait combien ces bases conditionnent la suite. Etoffer l'encadrement et le suivi des petites classes, en allégeant peu à peu vers les grandes : l'élève doit s'autonomiser, "s'élever", au sens propre. Assurer les connaissances fondamentales qui donnent une culture générale à même de permettre des ré-orientations ou d'offrir plus de choix. Favoriser le travail en petits groupes. développer matières qui assurent le contact réel, physique avec des terrains variés : environnement, biologie, géographie, anthropologie... Pratiquer ces terrains réels et pas virtuels pour acquérir le sens des réalités (ce qui fait défaut à beaucoup d'administratifs et administrateurs, et de citoyens...). Cultiver l'esprit critique, ne pas se laisser manipuler, savoir défendre des "valeurs". Utiliser les NTIC pour approfondir et pour collaborer. Développer l'apprentissage des langues étrangères, au-delà de l'anglais (et à condition de bien maîtriser d'abord le français). Ces NTIC peuvent notamment pallier l'absence d'offre de langues rares pour des établissements isolés : on ne peut pas créer un poste de swahili ou de tchétchène dans un lycée, mais rien n'empêche qu'un poste soit créé via internet pour l'ensemble des lycées d'une région (modalités à étudier, par exemple). J'insiste sur les langues, au-delà de l'anglais, d'abord parce que c'est une ouverture sur le monde, que plus il y a d'ouvertures, mieux ça vaut, et parce que les langues reflètent des visions du monde, et que la biodiversité linguistique vaut donc bien la biodiversité tout court. Et on a besoin d'interprètes, de "passeurs" entre cultures. Le business se conçoit peut-être en anglais (et encore...), sûrement pas le monde (d'ailleurs, la conception du business fait partie de la conception du monde. Souvent pas reluisant...). Associer les familles, qui doivent assumer leur rôle éducatif sans s'en remettre trop facilement à l'école.
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07/04/2020 09:45
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Nouvelle proposition à La consultation
Solidarité = fraternité
Mise en oeuvre d'une vertu républicaine. Lutter contre égoïsmes individuels, corporatistes, catégoriels. Plafonner les rémunérations au profit d'une meilleure redistribution à la base. Plafonner les dividendes. Il ne s'agit pas d'être "contre les riches", mais de mieux répartir les fruits des gains entre tous les petits sans lesquels les riches ne pourraient pas être riches. Encadrer les loyers. Pénaliser encore plus lourdement les communes qui rechignent à développer des logements sociaux. Réquisitionner des logements vacants. Brider le secteur immobilier qui pousse à la hausse, y ayant tellement intérêt. Mieux soutenir les associations qui s'occupent d'aide aux plus pauvres (et dont l'existence, d'ailleurs, devrait nous interroger dans cette société d'abondance qui n'a jamais été si riche, et n'a jamais fait autant appel à la "charité"). Favoriser le bénévolat, et lui attribuer une valeur marchande, y compris le métier de "mère de famille sans profession" ! Sans le bénévolat, La France serait à l'arrêt, ou en révolution...
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07/04/2020 09:31
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Nouvelle proposition à La consultation
Sobriété, par pitié pour la planète
Sus au gaspillage. Sus au superflu (quoique des vacances, ce soit superflu : la majorité de la planète vit sans vacances... Quelle légitimité ? Moi-même j'espère bien en prendre encore !). Compenser le superflu par actions réparatrices, et au-delà. Réduire la publicité, trop coûteuse, et payée in fine par consommateurs. Taxer davantage tout ce qui est ostentatoire. Relocaliser pour favoriser achats de proximité : même si ça coûte un peu plus cher, la hausse des salaires devrait le compenser. Réinstaller plein de petits agriculteurs qui cultiveraient bio, en proximité, créeraient des emplois, décongestionneraient les villes. Stopper les grandes surfaces, ramener les petits commerces en ville (on voit bien cette nécessité en ce moment). Ne pas permettre au commerce en ligne de fausser la concurrence (cf actuellement, les achats en ligne qui écoulent ce que les boutiques fermées ne vendent plus, au prix de livraisons, d'emballages, de CO2 tout à fait anti-écologiques). Taxer produits importés qui ne subissent pas les mêmes contraintes environnementales, sanitaires, sociales...Réduire, recycler, réutiliser... (bien connu).
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07/04/2020 09:12
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Nouvelle proposition à La consultation
Un travail digne
Le travail contribue (devrait contribuer) à l'épanouissement personnel et à la bonne marche de la société. Certains métiers sont peu reconnus, quoiqu'indispensables. Compenser la pénibilité par reconnaissance, financière ou autre. Le travail doit cesser d'être la variable d'ajustement au profit d'actionnaires gloutons. Permettre à tous ceux qui le souhaitent des reconversions, formations, passerelles... Tout le monde est utile dans la société : si le balayeur de la cour de l'Elysée n'est pas opérationnel, la République perd la face pour un papier gras apporté par le vent ! Réduire les écarts de salaires/rémunérations honteux et immoraux. Que l'humain maîtrise la machine, et non l'inverse. Que chacun voie le "sens" de son travail, ce qui suppose qu'il y en ait un. Stop aux emplois précarisés de façon indigne et à l'ubérisation (à plus forte raison si elle échappe à l'impôt...).
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07/04/2020 09:06
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Nouvelle proposition à La consultation
Un travail digne
Le travail contribue (devrait contribuer) à l'épanouissement personnel et à la bonne marche de la société. Certains métiers sont peu reconnus, quoiqu'indispensables. Compenser la pénibilité par reconnaissance, financière ou autre. Le travail doit cesser d'être la variable d'ajustement au profit d'actionnaires gloutons. Permettre à tous ceux qui le souhaitent des reconversions, formations, passerelles... Tout le monde est utile dans la société : si le balayeur de la cour de l'Elysée n'est pas opérationnel, la République perd la face pour un papier gras apporté par le vent ! Réduire les écarts de salaires/rémunérations honteux et immoraux. Que l'humain maîtrise la machine, et non l'inverse. Que chacun voie le "sens" de son travail, ce qui suppose qu'il y en ait un. Stop aux emplois précarisés de façon indigne et à l'ubérisation (à plus forte raison si elle échappe à l'impôt...).
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07/04/2020 08:53
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Nouvelle proposition à La consultation
Droit à la santé
Les évènements montrent la panique devant le virus. Même les spéculateurs tremblent : "la bourse ou la vie !". Ils préfèrent la vie, en attendant de re-boursicoter à qui mieux mieux... Il faut donc bâtir un système de santé reposant sur un système de soins légitimes, avec des lits qui soient suffisants et pas considérés comme des machines à cash, avec du personnel pour s'en occuper qui ne soit pas réduit en servage pour un salaire de misère. Donc, recréer des lits (on voit où nous mène d'avoir supprimé 100000 lits en 20 ans), payer le personnel à un niveau digne (et pas l'obliger à préférer la Belgique ou la Suisse). Peut-être étudier un système de contribution des patients proportionnel à leur revenus. Lutter quand même contre abus. Responsabiliser : doit-on à toute force prendre en charge ceux qui persistent à n'en faire qu'à leur tête : alcool, tabac, drogues, sports extrêmes...? La société doit-elle tout à chacun, quel que soit son comportement ? La solidarité doit jouer dans les deux sens : la société me protège, mais je ne dois pas m'exposer inconsidérément (ce qui laisse une marge) aux frais de cette société, c'est-à-dire des autres.