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16/04/2020 23:48
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Nouvelle proposition à La consultation
Souveraineté alimentaire pour un état de santé optimal
Je suis enseignant chercheur en pratique culinaire et santé en école d'ingénieur. Je tente de conseiller les acteurs de la restauration de santé privée et publique (EHPAD, SSR, hôpitaux…). 1-Le paradigme idéal: "Nourrir c'est se soigner" par une prévention des maladies chroniques envers les personnes bien portantes (prév. primaire), par des conseils alimentaires aux personnes ayant des facteurs de risque (prév. secondaire) et par un accompagnement des personnes malades de pathologies chronique (prév. tertiaire). 2-Les enseignements du CODIV19: La maladie frappe préférentiellement et majoritairement des personnes présentant la même et unique fragilité au niveau de leur système immunitaire, dont le virus profite pour créer un orage inflammatoire : l'inflammation "bas grade" due liée à leur état nutritionnel: -la surcharge adipeuse chez les pers. obèses -la charge glycémique chez les pers. diabétiques -l'inflammation directement liée à la maladie cancéreuse et dénutrition -l'immobilité et des facteurs physiologiques de sénescence chez la pers. de plus de 70 ans 3-Malgré les tentatives d'actions du Programme National Nutrition Santé (PNNS) et du Programme National Alimentation (PNA) force est de constater la majeure partie de notre alimentation est ultra-transformée et constitue la source des maladies chroniques qui nous rendent plus fragile à des agressions aigué telles que le COVID19. La majeure partie des fruits et légumes sont importés. 4-Les pistes de solutions: -doter le budget de la santé et de l'éducation nationale d'une enveloppe suffisante pour mener une politique de prévention volontariste à tous les niveaux scolaires et sociétaux -faciliter les installations pour une agriculture propre et une distribution loco-régionale -inciter les industriels à formuler des produits sains -faire comprendre aux acteurs de la restauration de santé que leur outil de production n'est pas une variable d'ajustement du budget de l'établissement, mais que cuisiner s'inscrit dans une continuité de soin pour nos ainés fragiles et les personnes hospitalisées
pouillart
@pouiph000
Enseignant Chercheur, immunopharmacologie, pratique culinaire et restauration de santé
Travaille en école d'ingénieur en agriculture et alimentation santé
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Souveraineté alimentaire pour un état de santé optimal
Je suis enseignant chercheur en pratique culinaire et santé en école d'ingénieur. Je tente de conseiller les acteurs de la restauration de santé privée et publique (EHPAD, SSR, hôpitaux…). 1-Le paradigme idéal: "Nourrir c'est se soigner" par une prévention des maladies chroniques envers les personnes bien portantes (prév. primaire), par des conseils alimentaires aux personnes ayant des facteurs de risque (prév. secondaire) et par un accompagnement des personnes malades de pathologies chronique (prév. tertiaire). 2-Les enseignements du CODIV19: La maladie frappe préférentiellement et majoritairement des personnes présentant la même et unique fragilité au niveau de leur système immunitaire, dont le virus profite pour créer un orage inflammatoire : l'inflammation "bas grade" due liée à leur état nutritionnel: -la surcharge adipeuse chez les pers. obèses -la charge glycémique chez les pers. diabétiques -l'inflammation directement liée à la maladie cancéreuse et dénutrition -l'immobilité et des facteurs physiologiques de sénescence chez la pers. de plus de 70 ans 3-Malgré les tentatives d'actions du Programme National Nutrition Santé (PNNS) et du Programme National Alimentation (PNA) force est de constater la majeure partie de notre alimentation est ultra-transformée et constitue la source des maladies chroniques qui nous rendent plus fragile à des agressions aigué telles que le COVID19. La majeure partie des fruits et légumes sont importés. 4-Les pistes de solutions: -doter le budget de la santé et de l'éducation nationale d'une enveloppe suffisante pour mener une politique de prévention volontariste à tous les niveaux scolaires et sociétaux -faciliter les installations pour une agriculture propre et une distribution loco-régionale -inciter les industriels à formuler des produits sains -faire comprendre aux acteurs de la restauration de santé que leur outil de production n'est pas une variable d'ajustement du budget de l'établissement, mais que cuisiner s'inscrit dans une continuité de soin pour nos ainés fragiles et les personnes hospitalisées
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16/04/2020 23:42
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Souveraineté alimentaire pour un état de santé optimal
Je suis enseignant chercheur en pratique culinaire et santé en école d'ingénieur. Je tente de conseiller les acteurs de la restauration de santé privée et publique (EHPAD, SSR, hôpitaux…). 1-Le paradigme idéal: "Nourrir c'est se soigner" par une prévention des maladies chroniques envers les personnes bien portantes (prév. primaire), par des conseils alimentaires aux personnes ayant des facteurs de risque (prév. secondaire) et par un accompagnement des personnes malades de pathologies chronique (prév. tertiaire). 2-Les enseignements du CODIV19: La maladie frappe préférentiellement et majoritairement des personnes présentant la même et unique fragilité au niveau de leur système immunitaire, dont le virus profite pour créer un orage inflammatoire : l'inflammation "bas grade" due liée à leur état nutritionnel: -la surcharge adipeuse chez les pers. obèses -la charge glycémique chez les pers. diabétiques -l'inflammation directement liée à la maladie cancéreuse et dénutrition -l'immobilité et des facteurs physiologiques de sénescence chez la pers. de plus de 70 ans 3-Malgré les tentatives d'actions du Programme National Nutrition Santé (PNNS) et du Programme National Alimentation (PNA) force est de constater la majeure partie de notre alimentation est ultra-transformée et constitue la source des maladies chroniques qui nous rendent plus fragile à des agressions aigué telles que le COVID19. La majeure partie des fruits et légumes sont importés. 4-Les pistes de solutions: -doter le budget de la santé et de l'éducation nationale d'une enveloppe suffisante pour mener une politique de prévention volontariste à tous les niveaux scolaires et sociétaux -faciliter les installations pour une agriculture propre et une distribution loco-régionale -inciter les industriels à formuler des produits sains -faire comprendre aux acteurs de la restauration de santé que leur outil de production n'est pas une variable d'ajustement du budget de l'établissement, mais que cuisiner s'inscrit dans une continuité de soin pour nos ainés fragiles et les personnes hospitalisées
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