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12/04/2020 17:45
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Nouvelle proposition à La consultation
Les études supérieures à la campagne
But : faire des économies, en développant les territoires ruraux Proposition : sachant que la plupart du temps, on se fait un réseau d'amis là où l'on fait ses études supérieures, et par conséquent beaucoup de personnes cherchent à rester là où ils ont fait leurs études, pourquoi ne pas implanter toutes les nouvelles offres de formation dans des villes intermédiaires (dans des villes de 10 000 à 50 000 habitants par exemple) ? Pourquoi par exemple devoir faire des études de vétérinaire à Paris pour pouvoir ensuite exercer en milieu rural ? Avantages : - les personnes qui veulent rester sur leur territoire auraient plus d'opportunités. - les espaces ruraux seraient un peu plus peuplés, ce qui permettrait de maintenir davantage de services publics. - l'implantation d'écoles en milieu plus rural coûterait moins cher à la collectivité car le foncier y est moins cher. - le coût des années d'études serait moins élevé pour les étudiants, car le coût de la vie est moins cher en milieu rural. - peut-être règlerait-on aussi le problème d'implantation des médecins si on organisait des études au milieu ou près de déserts médicaux. - les étudiants sont plus tentés de créer leurs entreprises, de postuler près de chez eux. Actuellement, de nombreuses offres d'emplois qualifiées ne sont pas pourvues dans les espaces ruraux. - davantage d'étudiants amène une offre culturelle plus fournie, effet vertueux qui développe l'attractivité d'un territoire - avec une déconcentration de l'offre d'éducation supérieure, les gens s'entasseraient moins dans les grandes métropoles, ce qui permettrait de réduire le prix exorbitant de l'immobilier. Conclusion : c'est une mesure qui permettrait de développer les territoires tout en faisant faire des économies. Concrètement : aujourd'hui, les familles implantées dans un territoire rural, avec un réseau de solidarité, et qui se sont adaptées à un territoire, sont souvent obligées d'envoyer leurs enfants faire des études supérieures dans des endroits hors de prix, avec une qualité de vie médiocre (pollution, bruit, coût de la vie...). Il est temps que ça change et que l'on développe l'offre supérieure d'éducation dans des départements avec de beaux cadres de vie, comme l'Orne, la Mayenne, la Vendée, la Corrèze, le Gers... plutôt que de concentrer tout le monde à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseilles ou Nantes... Pourquoi tout le monde devrait-il vivre dans des grandes métropoles, dans des appartements hors de prix s'il veut un bon travail ? A l'inverse, pour le même salaire, les gens auraient un bien meilleur pouvoir d'achat dans des territoires plus ruraux. A ceux qui pensent que c'est impossible : en Basse-Normandie, plus de 20 000 étudiants font leurs études à Caen (environ 200 000 habitants). Mais environ 2 000 étudiants font leurs études à Aleçon (environ 50 000 habitants avec les communes limitrophes) : DUT (génie mécanique...), école d'ingénieur en plasturgie, formations dans la santé (podologue, kiné...). Il faut encourager ce type d'initiatives !
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12/04/2020 17:15
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Nouvelle proposition à La consultation
Les études supérieures à la campagne
But : faire des économies, en développant les territoires ruraux Proposition : sachant que la plupart du temps, on se fait un réseau d'amis là où l'on fait ses études supérieures, et par conséquent beaucoup de personnes cherchent à rester là où ils ont fait leurs études, pourquoi ne pas implanter toutes les nouvelles offres de formation dans des villes intermédiaires (dans des villes de 10 000 à 50 000 habitants par exemple) ? Pourquoi par exemple devoir faire des études de vétérinaire à Paris pour pouvoir ensuite exercer en milieu rural ? Avantages : - les personnes qui veulent rester sur leur territoire auraient plus d'opportunités. - les espaces ruraux seraient un peu plus peuplés, ce qui permettrait de maintenir davantage de services publics. - l'implantation d'écoles en milieu plus rural coûterait moins cher à la collectivité car le foncier y est moins cher. - le coût des années d'études serait moins élevé pour les étudiants, car le coût de la vie est moins cher en milieu rural. - peut-être règlerait-on aussi le problème d'implantation des médecins si on organisait des études au milieu ou près de déserts médicaux. - les étudiants sont plus tentés de créer leurs entreprises, de postuler près de chez eux. Actuellement, de nombreuses offres d'emplois qualifiées ne sont pas pourvues dans les espaces ruraux. - davantage d'étudiants amène une offre culturelle plus fournie, effet vertueux qui développe l'attractivité d'un territoire - avec une déconcentration de l'offre d'éducation supérieure, les gens s'entasseraient moins dans les grandes métropoles, ce qui permettrait de réduire le prix exorbitant de l'immobilier. Conclusion : c'est une mesure qui permettrait de développer les territoires tout en faisant faire des économies. Concrètement : aujourd'hui, les familles implantées dans un territoire rural, avec un réseau de solidarité, et qui se sont adaptées à un territoire, sont souvent obligées d'envoyer leurs enfants faire des études supérieures dans des endroits hors de prix, avec une qualité de vie médiocre (pollution, bruit, coût de la vie...). Il est temps que ça change et que l'on développe l'offre supérieure d'éducation dans des départements avec de beaux cadres de vie, comme l'Orne, la Mayenne, la Vendée, la Corrèze, le Gers... plutôt que de concentrer tout le monde à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseilles ou Nantes... Pourquoi tout le monde devrait-il vivre dans des grandes métropoles, dans des appartements hors de prix s'il veut un bon travail ? A l'inverse, pour le même salaire, les gens auraient un bien meilleur pouvoir d'achat dans des territoires plus ruraux. A ceux qui pensent que c'est impossible : en Basse-Normandie, plus de 20 000 étudiants font leurs études à Caen (environ 200 000 habitants). Mais environ 2 000 étudiants font leurs études à Aleçon (environ 50 000 habitants avec les communes limitrophes) : DUT (génie mécanique...), école d'ingénieur en plasturgie, formations dans la santé (podologue, kiné...). Il faut encourager ce type d'initiatives !
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12/04/2020 17:09
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Nouvelle proposition à La consultation
Les études supérieures à la campagne
But : faire des économies, en développant les territoires ruraux Proposition : sachant que la plupart du temps, on se fait un réseau d'amis là où l'on fait ses études supérieures, et par conséquent beaucoup de personnes cherchent à rester là où ils ont fait leurs études, pourquoi ne pas implanter toutes les nouvelles offres de formation dans des villes intermédiaires (dans des villes de 10 000 à 50 000 habitants par exemple) ? Pourquoi par exemple devoir faire des études de vétérinaire à Paris pour pouvoir ensuite exercer en milieu rural ? Avantages : - les personnes qui veulent rester sur leur territoire auraient plus d'opportunités. - les espaces ruraux seraient un peu plus peuplés, ce qui permettrait de maintenir davantage de services publics. - l'implantation d'écoles en milieu plus rural coûterait moins cher à la collectivité car le foncier y est moins cher. - le coût des années d'études serait moins élevé pour les étudiants, car le coût de la vie est moins cher en milieu rural. - peut-être règlerait-on aussi le problème d'implantation des médecins si on organisait des études au milieu ou près de déserts médicaux. - les étudiants sont plus tentés de créer leurs entreprises, de postuler près de chez eux. Actuellement, de nombreuses offres d'emplois qualifiées ne sont pas pourvues dans les espaces ruraux. - davantage d'étudiants amène une offre culturelle plus fournie, effet vertueux qui développe l'attractivité d'un territoire - avec une déconcentration de l'offre d'éducation supérieure, les gens s'entasseraient moins dans les grandes métropoles, ce qui permettrait de réduire le prix exorbitant de l'immobilier. Conclusion : c'est une mesure qui permettrait de développer les territoires tout en faisant faire des économies. Concrètement : aujourd'hui, les familles implantées dans un territoire rural, avec un réseau de solidarité, et qui se sont adaptées à un territoire, sont souvent obligées d'envoyer leurs enfants faire des études supérieures dans des endroits hors de prix, avec une qualité de vie médiocre (pollution, bruit, coût de la vie...). Il est temps que ça change et que l'on développe l'offre supérieure d'éducation dans des départements avec de beaux cadres de vie, comme l'Orne, la Mayenne, la Vendée, la Corrèze, le Gers... plutôt que de concentrer tout le monde à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseilles ou Nantes... Pourquoi tout le monde devrait-il vivre dans des grandes métropoles, dans des appartements hors de prix s'il veut un bon travail ? A l'inverse, pour le même salaire, les gens auraient un bien meilleur pouvoir d'achat dans des territoires plus ruraux. A ceux qui pensent que c'est impossible : en Basse-Normandie, plus de 20 000 étudiants font leurs études à Caen (environ 200 000 habitants). Mais environ 2 000 étudiants font leurs études à Aleçon (environ 50 000 habitants avec les communes limitrophes) : DUT (génie mécanique...), école d'ingénieur en plasturgie, formations dans la santé (podologue, kiné...). Il faut encourager ce type d'initiatives !