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01/05/2020 10:19
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Nouvelle proposition à La consultation
Arrêter l'élevage intensif qui nous mène droit vers la prochaine pandémie
Si les arguments environnementaux et éthiques ne suffisent pas, on peut rajouter que les élevages intensifs sont des nids à virus du fait de la concentration d'animaux immunodéprimés, régulièrement placés sous traitement médicamenteux, au patrimoine génétique uniforme. Différents virus de la grippe, peste porcine ... les agents des prochaines pandémies y circulent déjà. Cf. article du Guardian : https://www.theguardian.com/commentisfree/2020/apr/20/factory-farms-pandemic-risk-covid-animal-human-health Traduit par Courrier international dans le "Réveil Courrier" du 1/5 Si on veut éviter d'enchaîner les épidémies comme celle du covid-19, il faut donc impérativement se limiter à manger de la viande d'animaux élevés en extensif, dans de petites exploitations respectant les animaux, l'environnement et les salariés agricoles. Quitte à en manger moins souvent, mais de meilleure qualité. C'est le moment d'agir.
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01/05/2020 10:19
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01/05/2020 10:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Arrêter l'élevage intensif qui nous mène droit vers la prochaine pandémie
Si les arguments environnementaux et éthiques ne suffisent pas, on peut rajouter que les élevages intensifs sont des nids à virus du fait de la concentration d'animaux immunodéprimés, régulièrement placés sous traitement médicamenteux, au patrimoine génétique uniforme. Différents virus de la grippe, peste porcine ... les agents des prochaines pandémies y circulent déjà. Cf. article du Guardian : https://www.theguardian.com/commentisfree/2020/apr/20/factory-farms-pandemic-risk-covid-animal-human-health Traduit par Courrier international dans le "Réveil Courrier" du 1/5 Si on veut éviter d'enchaîner les épidémies comme celle du covid-19, il faut donc impérativement se limiter à manger de la viande d'animaux élevés en extensif, dans de petites exploitations respectant les animaux, l'environnement et les salariés agricoles. Quitte à en manger moins souvent, mais de meilleure qualité. C'est le moment d'agir.
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30/04/2020 17:21
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Nouvelle proposition à La consultation
Valoriser la culture plutôt que les biens matériels
Se cultiver ou consommer, il faut souvent choisir, le temps comme l’argent disponibles permettant rarement de faire les deux. Et c’est généralement la consommation qui l’emporte, aidée par une publicité omniprésente et une pression sociale particulièrement forte chez les jeunes. Il s’agirait donc de promouvoir, enseigner (davantage), financer et développer la culture, qu’il s’agisse de littérature, de spectacle vivant, d’arts, ou même de cuisine… Et parallèlement de décourager par divers moyens (éducation, taxation, quotas…) l’achat des quantités de biens inutiles que nous consommons en permanence. Les avantages seront multiples et variés : - Sur le plan environnemental, la culture étant moins consommatrice de ressources et produisant moins de déchets que les biens matériels. - Sur le plan de l’emploi, beaucoup de produits culturels n’étant pas délocalisables alors que la majorité des biens manufacturés sont importés, et souvent de loin. Et pour le moment les machines et robots sont encore incapables de produire des biens culturels acceptables, même si les tentatives existent ! - Sur le plan social, la culture pouvant être accessible à tous, surtout si elle est protégée par l’exception culturelle, voire financée par la collectivité. De plus la culture permet à chacun de participer, à sa mesure, alors que les biens matériels favorisent l’exclusion et la passivité : il est plus facile de partager sa culture que ses achats. - Sur le plan mental, le sentiment de satisfaction étant bien plus fort et plus durable après avoir assisté (voire participé) à un bon spectacle qu’après avoir acheté le dernier téléphone à la mode. - Sur le plan démocratique enfin, une société cultivée étant plus ouverte à l’autre et moins tentée par les dérives totalitaires qu’une société d’incultes.
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30/04/2020 16:48
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30/04/2020 11:34
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26/04/2020 20:40
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26/04/2020 12:41
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Nouvelle proposition à La consultation
Rééquilibrer les territoires grâce à des emplois agricoles plus attractifs
Les villes moyennes, comme la campagne, ne deviendront attractives qu’à condition de pouvoir trouver à proximité des emplois eux aussi attractifs. L’agriculture a son rôle à jouer en matière d’emplois, mais pour cela il faut que la difficulté du travail soit reconnue en terme de rémunération. Pour reprendre une idée de Jean-Marc Jancovici, une option pour y parvenir serait d’établir des prix garantis dans l’agriculture, en échange d’un cahier des charges à respecter, notamment en matière de : - densité d’emplois à l’hectare - pratiques culturales respectueuses de l’environnement (bio, agroforesterie…) - limitation du recours aux intrants et des émissions de CO2 - restauration des écosystèmes (sols, haies, cours d’eau…) liste non limitative Un prix minimum des produits serait garanti : si le prix du marché est au-dessus, c’est tout bénéfice pour les producteurs ; s’il descend au-dessous du prix minimum, la collectivité compense. Un tel système rappelle ce qui se pratique pour certains produits AOP, dont le prix est garanti en échange du respect d’un cahier des charges. Si les règles européennes actuelles ne permettent pas ce genre de pratique, il faudrait dans un premier temps reconnaître une exception agricole sur le modèle de l’exception culturelle, comme le recommandait le philosophe Michel Serre. En attendant une vraie réforme des mesures agri-environnementales et de la politique agricole commune.
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16/04/2020 12:17
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16/04/2020 10:38
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Nouvelle proposition à La consultation
Consommer de la culture plutôt que des biens matériels
L’idée est de substituer la consommation de culture à la consommation de biens matériels pour assouvir notre irrépressible besoin de consommer, une fois satisfaits les besoins primaires de l’indécrottable consommateur que nous sommes. C’est à dire promouvoir, financer et développer la culture, qu’il s’agisse de littérature, de spectacle vivant, d’arts, ou même de cuisine… Et parallèlement décourager l’achat des quantités de biens inutiles que nous consommons en permanence, poussés par une publicité qui nous manipule pour nous faire acheter des produits inutiles ou neufs quand les anciens fonctionnent encore. Les avantages seront multiples et variés : - sur le plan environnemental, la culture étant moins consommatrice de ressources (espace, matières premières et énergie) et produisant moins de déchets que les biens matériels. - sur le plan de l’emploi, beaucoup de produits culturels n’étant pas délocalisables alors que la majorité des biens manufacturés sont importés, et souvent de loin. Et pour le moment les machines et robots sont encore incapables de produire des biens culturels acceptables, même si les tentatives existent ! - sur le plan social, la culture pouvant facilement être accessible à tous, surtout si elle est protégée par l’exception culturelle, voire financée par la collectivité. De plus la culture permet à chacun de participer, à sa mesure, quand les biens matériels favorisent l’exclusion et la passivité. Et il est plus facile de partager sa culture que ses objets. - sur le plan mental, le sentiment de satisfaction étant bien plus fort et plus durable après avoir assisté (voire participé) à un bon spectacle qu’après avoir acheté le dernier iPhone. - sur le plan démocratique enfin, une société cultivée étant plus ouverte à l’autre et moins tentée par les dérives autoritaires qu’une société d’incultes.
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10/04/2020 15:08
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Nouvelle proposition à La consultation
Développer les low-tech, premier pas vers la sobriété
Une "société de la sobriété" nécessite de disposer de produits plus sobres, sur l’ensemble de leur cycle de vie : - à la fabrication - à l’utilisation (comprenant l’entretien et la réparation) - au réemploi, au recyclage ou à l’élimination, qui doivent intervenir le plus tard possible. Ceci implique que les produits soient conçus dans ce sens, dès l’origine. Le développement des low-tech (voir notamment les écrits ou les conférences de Philippe Bihouix) va dans ce sens. Ma proposition est de développer les low-tech par la voie institutionnelle, par exemple : - en favorisant l’investissement dans les technologies low-tech (qui permettent aussi la création d’emplois, à condition de relocaliser) - en développant la recherche en matière de low-tech (les solutions les plus simples sont souvent les plus élégantes, mais pas forcement les plus faciles à trouver) - en les inscrivant dans les programmes scolaires, du collège jusqu’aux écoles d’ingénieurs les plus prestigieuses - en proposant de la formation continue accessible à tous, pour développer les initiatives locales de production et de réparation de produits low-tech - en contraignant les industriels à privilégier les low-tech, en particulier dans les secteurs stratégiques (énergie, transports, agriculture, bâtiment…) - en réservant les high-tech aux domaines où elles sont réellement indispensables comme le médical, les sciences de la terre (étude du climat notamment)… Enfin, un produit low-tech présente l’immense avantage comparé à un produit high-tech… d’être indémodable ! La demande existe : www.change.org/p/aux-constructeurs-automobiles-français-pour-une-voiture-low-tech-à-2-l-100km-de-consommation
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10/04/2020 15:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Développer les low-tech, premier pas vers la sobriété
Une "société de la sobriété" nécessite de disposer de produits plus sobres, sur l’ensemble de leur cycle de vie : - à la fabrication - à l’utilisation (comprenant l’entretien et la réparation) - au réemploi, au recyclage ou à l’élimination, qui doivent intervenir le plus tard possible. Ceci implique que les produits soient conçus dans ce sens, dès l’origine. Le développement des low-tech (voir notamment les écrits ou les conférences de Philippe Bihouix) va dans ce sens. Ma proposition est de développer les low-tech par la voie institutionnelle, par exemple : - en favorisant l’investissement dans les technologies low-tech (qui permettent aussi la création d’emplois, à condition de relocaliser) - en développant la recherche en matière de low-tech (les solutions les plus simples sont souvent les plus élégantes, mais pas forcement les plus faciles à trouver) - en les inscrivant dans les programmes scolaires, du collège jusqu’aux écoles d’ingénieurs les plus prestigieuses - en proposant de la formation continue accessible à tous, pour développer les initiatives locales de production et de réparation de produits low-tech - en contraignant les industriels à privilégier les low-tech, en particulier dans les secteurs stratégiques (énergie, transports, agriculture, bâtiment…) - en réservant les high-tech aux domaines où elles sont réellement indispensables comme le médical, les sciences de la terre (étude du climat notamment)… Enfin, un produit low-tech présente l’immense avantage comparé à un produit high-tech… d’être indémodable ! La demande existe : www.change.org/p/aux-constructeurs-automobiles-français-pour-une-voiture-low-tech-à-2-l-100km-de-consommation
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10/04/2020 11:25
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10/04/2020 11:20
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