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16/04/2020 16:53
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Nouvelle proposition à La consultation
Limitation du nombre de mandats, limite d'âge des élus, accès facilité pour de nouveaux jeunes élus
Constat Que ce soit au niveau national ou dans les collectivités territoriales il y a beaucoup trop d'élus âgés (plus de 65-70 ans) et qui cumulent ou ont effectué un grand nombre de mandats. Les assemblées ne sont pas représentatives de la population. La pandémie actuelle et le confinement qui devra s'appliquer plus longtemps pour les personnes âgées de plus de 65 ou 70 ans (on ne sait pas encore) montre que de nombreux élus seront absents lors des importantes délibérations à venir. L'innovation nécessaire ne peut être au rendez-vous dans les conditions actuelles, du fait d'une moyenne d'âge trop élevée. Proposition - Ne plus être autorisé à se présenter à une élection à partir d'un âge à définir, 65 ans par exemple. - Ne plus verser les indemnités d'élu au-delà d'un âge à définir, en relation avec le précédent, 67 ans par exemple. Cette seule mesure serait probablement suffisante à elle seule. - Encourager les personnes issues de tous les milieux socio-professionnels à se présenter aux élections pour que toutes les catégories soit représentées dans les assemblées (et non plus les catégories CSP+ comme actuellement). Pour cela, garantir un retour à l'emploi initial des élus après leur mandat et favoriser leur remplacement temporaire durant leur mandat pour qu'ils puissent l'exercer à temps plein. - Ne pas verser les indemnités d'élus en cas d'absences répétées (non justifiées) aux assemblées et délibérations. - Imposer des quotas de présence suffisante pour les votes en assemblée. - Limiter à 2 mandats quelque soit la fonction d'élu. Conclusion Encourager le renouvellement des élus pour permettre l'innovation nécessaire.
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16/04/2020 16:53
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15/04/2020 17:01
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Nouvelle proposition à La consultation
Définir et innover vers une nouvelle mobilité
Le constat : Aujourd'hui la plupart du trafic aérien est à l'arrêt à cause de la pandémie. C'est l'occasion unique de ne pas le faire repartir comme avant. Il est anormal que l'on puisse voyager en avion à travers l'Europe pour environ 50 Euros. La proposition Nous devons d'abord définir ce que sera la mobilité de demain. Bien sûr elle devra aller vers une réduction drastique des émissions de CO2. Pour que ce soit plus parlant, je prends l'exemple que la nouvelle mobilité est basée essentiellement sur des déplacements en train. Et pour faire simple je définis un prix de voyage en avion à 1 € du kilomètre, ce qui ferait un aller-retour Paris-Marseille à 1400 € (2x700 km). Sur ce prix au kilomètre on prélève 0,50 € pour financer la nouvelle mobilité (le train donc). Ce qui permet de rouvrir toutes les anciennes lignes délaissées, les gares fermées depuis longtemps et d'organiser cette mobilité pour que tout le monde puisse se déplacer sans problème y compris dans les zones rurales. Le voyage Paris-Marseille aller-retour est devenu beaucoup moins cher (de l'ordre de 50 €). Plus personne n'a l'idée de prendre l'avion. Idem pour se rendre à Berlin par exemple car c'est un choix européen et on a mis en place des liaisons rapides. Et même si cela reste un peu moins rapide que l'avion d'avant ce n'est pas grave car nous avons changé nos modes de déplacement, on peut maintenant prendre notre temps et profiter des bonnes conditions offertes par le train. Idem pour le transport en voiture individuelle qui ne doit plus être le premier choix. Il est remplacé par le train et tout travailleur/touriste … qui se rend sur son lieu de travail/vacance est récompensé par une aide de son employeur/état. Il est facile de se déplacer en train car tout a été fait pour le faciliter. A terme le transport aérien ne sert plus qu'à quelques exceptions mais n'est plus le choix prioritaire. Seules les personnes suffisamment aisées peuvent encore voyager en avion mais elles le paient au prix fort au bénéfice de la nouvelle mobilité. Il est donc inutile d'aider les compagnies aériennes à survivre après la pandémie : c'est de l'argent perdu et c'est trop polluant. Il faut au contraire financer la recherche pour un éventuel transport aérien non polluant et ainsi progressivement réduire le coût des billets selon le niveau de pollution émis. Au même titre le transport de marchandises doit être orienté en priorité vers le ferroutage selon le même principe de taxation du transport routier. Conclusion Il faut avoir le courage de ne pas faire repartir certains secteurs économiques trop polluants selon leur ancien modèle, voire à les taxer fortement si ils ne sont pas jugés stratégiques ou importants. Il faut par contre les encourager à innover pour qu'ils passent à un modèle non polluant dans un délai le plus court possible.