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04/05/2020 17:37
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Nouvelle proposition à La consultation
La politique à l'épreuve de la démocratie
Rendons la démocratie PLUS participative (faire moins serait difficile). Les conditions actuelles pour déclencher un référendum d'initiative citoyenne ont été faites pour que l'on ne s'en serve pas. (Nombre de signatures élevé, notamment) Réformons ce dispositif pour que la démocratie vive, à partir des propositions du peuple. On nous dit que c'est déjà le cas avec le fonctionnement actuel. Alors je dis: Vérifions! On verra si les décisions émergeant du collectif correspondent à ce que font les gouvernements. Avec les RIP, confrontons les attentes des citoyens à la politique des gouvernants. Qu'on ne m'oppose pas la vieille antienne: "Et après on devra tout le temps aller voter, tu imagines" On va bien au supermarché ou au PMU chaque semaine. Et puis, les moyens numériques d'aujourd'hui permettent une mise en oeuvre facile.
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04/05/2020 17:37
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04/05/2020 17:16
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Nouvelle proposition à La consultation
Protéger les chômeurs lorsqu'ils traversent la rue.
Selon l'INSEE, les chômeurs meurent plus et plus tôt que les actifs. Mortalité multipliée par 3 après 5 ans de chômage. Etre chômeur, c'est être victime. 1- Victime du marché du travail: Les études les plus sérieuses (le rapport Bertrand Schwartz par ex) démontrent que le chômage, dans notre société, est structurel et non conjoncturel. Ça veut dire qu'il fait durablement partie du fonctionnement social. Il n'y a plus de travail pour tous. C'est mathématique. Il y a donc des surnuméraires. 2 - Victime des politiques publiques: Si nous admettons qu'il y aura toujours du chômage, il nous faut admettre qu'il y aura toujours des chômeurs. Sinon, c'est un paradoxe. Et les paradoxes sont des pièges tendus aux humains. J'observe depuis plusieurs décennies, que la lutte contre le chômage, ressemble de plus en plus à la lutte contre les chômeurs. Les arguments pour durcir les conditions de vie des chômeurs suivent toujours la même rhétorique: "Il y a des gens qui profitent du système". Foutaise! C'est par nature inquantifiable. Consolidons le système de prise en charge des demandeurs d'emploi. Traitons bien nos concitoyens, qui, en plus de souffrir de leur situation, n'ont pas à subir de double ou triple peine.
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04/05/2020 17:15
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Nouvelle proposition à La consultation
Protéger les chômeurs lorsqu'ils traversent la rue.
Selon l'INSEE, les chômeurs meurent plus et plus tôt que les actifs. Mortalité multipliée par 3 après 5 ans de chômage. Etre chômeur, c'est être victime. 1- Victime du marché du travail: Les études les plus sérieuses (le rapport Bertrand Schwartz par ex) démontrent que le chômage, dans notre société, est structurel et non conjoncturel. Ça veut dire qu'il fait durablement partie du fonctionnement social. Il n'y a plus de travail pour tous. C'est mathématique. Il y a donc des surnuméraires. 2 - Victime des politiques publiques: Si nous admettons qu'il y aura toujours du chômage, il nous faut admettre qu'il y aura toujours des chômeurs. Sinon, c'est un paradoxe. Et les paradoxes sont des pièges tendus aux humains. J'observe depuis plusieurs décennies, que la lutte contre le chômage, ressemble de plus en plus à la lutte contre les chômeurs. Les arguments pour durcir les conditions de vie des chômeurs suivent toujours la même rhétorique: "Il y a des gens qui profitent du système". Foutaise! C'est par nature inquantifiable. Consolidons le système de prise en charge des demandeurs d'emploi. Traitons bien nos concitoyens, qui, en plus de souffrir de leur situation, n'ont pas à subir de double ou triple peine.
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04/05/2020 16:15
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Nouvelle proposition à La consultation
Rémunérer la pénibilité
La pénibilité dans le travail est sous évaluée. Qu'elle tienne à des facteurs physiques, environnementaux, psychosociaux, de reconnaissance sociale..., elle n'est pas rémunérée à sa juste valeur. Des offres d'emploi restent vacantes ou connaissent un turnover important parce qu'elles ne sont pas assez rémunérées. Les politiques de l'emploi tendent à réduire la protection des chômeurs pour contraindre l'offre/demande afin que lesdits emplois finissent par être pourvus, malgré leur mauvaise rémunération (eu égard à leurs inconvénients). Stoppons cette dynamique négative, et laissons la belle théorie de l'autorégulation (si chère aux libéraux) s'appliquer au marché du travail.
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04/05/2020 16:03
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Nouvelle proposition à La consultation
Allocations familiales en fonction des revenus
Les allocations familiales sont aujourd'hui attribuées sans condition de ressources, contrairement à la plupart des autres aides sociales. Comme tout cela, coûte parait-il, "un pognon de dingue", je propose d'arrêter de verser des allocations familiales à des familles qui ont des revenus 5, 10, 100, 1000, 10000 fois supérieur au seuil de la sécu. Le vieil argumentaire de l'égalité et du droit de l'enfant ne tient pas. D'abord parce que l'argent n'est pas versé aux enfants, mais aux parents (qui en font ce qu'ils veulent) Ensuite parce que les enfants ne sont pas égaux selon que leurs parents ont des revenus faibles ou importants. Et enfin, parce que comme nous le savons, dans les familles aisées, l'argent des allocations est épargné (parce que pas nécessaire pour vivre). une épargne pour les riches aux frais des contribuables et au détriment d'un montant plus élevé d'allocation pour les familles qui en ont besoin.
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03/05/2020 18:48
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Nouvelle proposition à La consultation
Dividendes pour les travailleurs
Je propose d'indexer systématiquement les salaires et primes des ouvriers aux salaires des dirigeants et aux dividendes et primes des actionnaires. Chaque augmentation d'un seul de ses paramètres devra donner lieu à une augmentation générale. Effet escompté: Des salariés impliqués et une rentabilité augmentée. Je sais, vous allez me dire qu'en cas de difficulté de l'entreprise, les dividendes ne sont pas versés, et donc, qu'il n'y aurait rien pour les ouvriers. Mais c'est déjà le cas. Dès que ça sent le roussit, on licencie, on liquide, on ferme. Et puis, "les investisseurs n'investiront plus". faux. Il y aura des capitaux français qui resteront en France. Et l'état peut jouer un autre rôle.
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03/05/2020 18:34
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Nouvelle proposition à La consultation
Réformer le financement de la démocratie
Aujourd'hui, le financement de la démocratie est inégalitaire. Non seulement, quelqu'un de très riche peut financer le parti qui porte ses idées et/ou financer la campagne dudit candidat, mais en plus, l'état le dédommagera, sous forme de crédit d'impôt ou de prime.(Avec l'argent du contribuable) Autrement dit, si tu as de la caillasse à investir( disons 300000€) sur un candidat qui travaillera pour tes intérêts, ça ne te coute presque rien puisque le contribuable, même pauvre, te remboursera sous forme de crédit d'impôt. Si tu n'as que 120 € à investir dans un parti politique qui correspond à tes idées, l'état ne te donnera rien. Pour les propositions, voir Julia CAGE. "Le prix de la démocratie" chez Fayard.
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03/05/2020 18:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Les terribles "années collège"
Sans aucun doute, dans le parcours scolaire, les années collège sont les plus difficiles. A l'âge ou l'on déborde d'hormones, ou l'énergie afflue, ou les transformations s'opèrent, ou l'on veut devenir... On impose aux élèves de rester, 6 heures par jour, 5 jours par semaine, pendant 4 ans...ASSIS à écouter des adultes. Alors qu'ils devraient vivre des expériences, se confronter à des réalités, découvrir la vie, apprendre à se connaitre. Le concept d'adolescence, qui n'existait guère avant le 20eme siècle, prend de l'ampleur. Au fil des années, et des recherches en science humaines, il s'est étoffé. Et avec lui, la durée des troubles présumés. Faut-il rappeler que dans la plupart des civilisations, autrefois, on passait d'enfant à adulte en un soir ou deux, le temps d'un rituel. Voir les travaux de Marcel Mauss et d'autres sur l'ordalie. Les rituels ordaliques permettent de devenir adulte en surmontant une épreuve codifiée et encadrée, et d'entrer de plein droit dans le cercle des adultes. Ces travaux rappellent que l'action, l'engagement, l'expérience et l'épreuve sont les ingrédients nécessaires pour ce passage. Tout le contraire du collège. Pour certains sociologues, les conduites à risque chez les jeunes seraient une compensation. La société n'organisant plus les rituels collectivement, les individus (inconsciemment) les mettraient en oeuvre individuellement en adoptant des conduites à risque. Ma proposition: Déconstruire le collège. D'abord, 4 ans, c'est énorme comme cycle. Ensuite, il faut inventer un système qui permettra aux jeunes de vivre des expériences, et de les traiter ensuite pour les intégrer à leurs connaissances. Un système éducatif qui organisera ces situations à vivre (stage, emploi, voyage, bénévolat, service civique...) et des enseignants de collège formés à exploiter les retours d'expérience, à suivre les actions sur le terrain, à accompagner les jeunes dans un processus d'orientation. (Voir ADVP. Noiseux /pelletier/ Bujold). Les suites de parcours seraient larges (poursuite d'expérience, Ce qui nécessite également une transformation du lycée, des processus d'évaluation, de validation des acquis, d'intégration des cursus. La crise COVID nous démontre que les pouvoirs publics envisagent l'école comme une garderie géante au service d'un système qui oblige les familles à consacrer tout leur temps au travail. Une transformation ambitieuse du système éducatif/scolaire pourrait générer une autre société.
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03/05/2020 17:32
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Nouvelle proposition à La consultation
Une justice plus juste.
Le respect du justiciable, aujourd'hui en France, est parfaitement alléatoire. Sommes nous toujours des citoyens lorsque nous sommes cités à comparaitre? Quelques exemples observés: Cités à comparaitre qui attendent 8 heures dans le couloir du tribunal, sans pouvoir sortir, et sans qu'on leur propose à boire. Les jeunes, cités à comparaitre pour troubles sur la voie publique passent bien sûr en fin de journée. Procureur qui, en passant devant des mis en cause, souffle: "Je vous préviens, je suis de mauvais poil" Les sanctions prononcées par les tribunaux sont-elles toujours proportionnées? Si oui, pourquoi sont-elles plus lourdes pour les récidivistes qui ont par ailleurs purgé leur peine précédente, qui était (parait-il) proportionnée? Je propose un "droit à l'oubli", comme pour les affaires politiques. Quelqu'un qui a été condamné, même pour des faits mineurs, se voit pénalisé pendant des années lors d'un tas de situations: Contrôle de routine sur la route: 'Ah, je vois qu'on a déjà fait des bêtises. On fait le grand jeu alors. Descendez du véhicule" Présentation devant un tribunal, y compris en tant que plaignant. Quid de la réhabilitation? Demandez à Jean Valjean. Il faut former la police et les magistrats à la sociologie, leur permettre, pendant leur formation, de travailler sur leur représentation des publics auprès desquels ils vont intervenir, les former à la réflexion éthique et les soumettre, comme pour les thérapeutes, à une supervision continue et obligatoire.Les juges ne sont supervisés que par leur hiérarchiques. C'est un biais méthodologique. Ont sait que ça ne marche pas eu égard aux enjeux. Créons une fonction de superviseurs indépendants et de formation pluridisciplinaire.
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03/05/2020 17:31
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Nouvelle proposition à La consultation
Une justice plus juste.
Le respect du justiciable, aujourd'hui en France, est parfaitement alléatoire. Sommes nous toujours des citoyens lorsque nous sommes cités à comparaitre? Quelques exemples observés: Cités à comparaitre qui attendent 8 heures dans le couloir du tribunal, sans pouvoir sortir, et sans qu'on leur propose à boire. Les jeunes, cités à comparaitre pour troubles sur la voie publique passent bien sûr en fin de journée. Procureur qui, en passant devant des mis en cause, souffle: "Je vous préviens, je suis de mauvais poil" Les sanctions prononcées par les tribunaux sont-elles toujours proportionnées? Si oui, pourquoi sont-elles plus lourdes pour les récidivistes qui ont par ailleurs purgé leur peine précédente, qui était (parait-il) proportionnée? Je propose un "droit à l'oubli", comme pour les affaires politiques. Quelqu'un qui a été condamné, même pour des faits mineurs, se voit pénalisé pendant des années lors d'un tas de situations: Contrôle de routine sur la route: 'Ah, je vois qu'on a déjà fait des bêtises. On fait le grand jeu alors. Descendez du véhicule" Présentation devant un tribunal, y compris en tant que plaignant. Quid de la réhabilitation? Demandez à Jean Valjean. Il faut former la police et les magistrats à la sociologie, leur permettre, pendant leur formation, de travailler sur leur représentation des publics auprès desquels ils vont intervenir, les former à la réflexion éthique et les soumettre, comme pour les thérapeutes, à une supervision continue et obligatoire.Les juges ne sont supervisés que par leur hiérarchiques. C'est un biais méthodologique. Ont sait que ça ne marche pas eu égard aux enjeux. Créons une fonction de superviseurs indépendants et de formation pluridisciplinaire.
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03/05/2020 17:27
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Nouvelle proposition à La consultation
Une justice plus juste.
Le respect du justiciable, aujourd'hui en France, est parfaitement alléatoire. Sommes nous toujours des citoyens lorsque nous sommes cités à comparaitre? Quelques exemples observés: Cités à comparaitre qui attendent 8 heures dans le couloir du tribunal, sans pouvoir sortir, et sans qu'on leur propose à boire. Les jeunes, cités à comparaitre pour troubles sur la voie publique passent bien sûr en fin de journée. Procureur qui, en passant devant des mis en cause, souffle: "Je vous préviens, je suis de mauvais poil" Les sanctions prononcées par les tribunaux sont-elles toujours proportionnées? Si oui, pourquoi sont-elles plus lourdes pour les récidivistes qui ont par ailleurs purgé leur peine précédente, qui était (parait-il) proportionnée? Je propose un "droit à l'oubli", comme pour les affaires politiques. Quelqu'un qui a été condamné, même pour des faits mineurs, se voit pénalisé pendant des années lors d'un tas de situations: Contrôle de routine sur la route: 'Ah, je vois qu'on a déjà fait des bêtises. On fait le grand jeu alors. Descendez du véhicule" Présentation devant un tribunal, y compris en tant que plaignant. Quid de la réhabilitation? Demandez à Jean Valjean. Il faut former la police et les magistrats à la sociologie, leur permettre, pendant leur formation, de travailler sur leur représentation des publics auprès desquels ils vont intervenir, les former à la réflexion éthique et les soumettre, comme pour les thérapeutes, à une supervision continue et obligatoire.Les juges ne sont supervisés que par leur hiérarchiques. C'est un biais méthodologique. Ont sait que ça ne marche pas eu égard aux enjeux. Créons une fonction de superviseurs indépendants et de formation pluridisciplinaire.
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03/05/2020 17:09
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Nouvelle proposition à La consultation
Maintien de la dignité en prison.
Le milieu carcéral oublie que vous êtes un citoyen. On vous condamne à une peine de privation de liberté, et d'autre tortures (illégitimes) viennent s'y ajouter: Insécurité psychologique et physique, insalubrité, rupture du lien social... Le milieu carcéral français, oublié du grand public, volontairement ignoré des politiques (car l'opinion publique ne se mobilise pas), est un des pires parmi les pays de l'OCDE. Les droits élémentaires des citoyens y sont niés. Pour survivre dans cet environnement, il faut se soumettre, et adopter un certain nombre de règles qui feront de vous quelqu'un de moins adapté à la vie sociale qu'avant votre incarcération. La prison, vu ses caractéristiques aujourd'hui en France, rend les gens moins aptes à vivre en société. (Car les règles y sont différentes) "On n'apprend pas à nager dans un sous-marin" La surpopulation (70000 personnes pour 58000 places) est une des explications. On pourrait en déduire qu'il faut construire des prisons. Ça serait une erreur. Une minorité des personnes incarcérées sont réellement dangereuses au point d'être enfermés. N'oublions pas qu'un pourcentage non négligeable de ces personnes ne sont pas encore jugées(préventive) et sont par conséquents présumés innocentes. Je propose de réformer le fonctionnement pénal et judiciaire pour favoriser au maximum les solutions hors incarcération. Il y a des solutions qui fonctionnent dans d'autres pays (bracelet électronique, fermes pénitentiaires, travaux d'intérêt général...) Mais je propose également de créer une véritable force d'inspection et de régulation des prisons, qui aura le pouvoir, comme à l'hôpital, en entreprise ou à l'école, de constater des manquements et de pénaliser les dirigeants le cas échéant. On peut créer également une haute autorité de respect de la dignité en prison, saisissable par tous citoyen incarcéré.
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03/05/2020 17:08
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Nouvelle proposition à La consultation
Maintien de la dignité en prison.
Le milieu carcéral oublie que vous êtes un citoyen. On vous condamne à une peine de privation de liberté, et d'autre tortures (illégitimes) viennent s'y ajouter: Insécurité psychologique et physique, insalubrité, rupture du lien social... Le milieu carcéral français, oublié du grand public, volontairement ignoré des politiques (car l'opinion publique ne se mobilise pas), est un des pires parmi les pays de l'OCDE. Les droits élémentaires des citoyens y sont niés. Pour survivre dans cet environnement, il faut se soumettre, et adopter un certain nombre de règles qui feront de vous quelqu'un de moins adapté à la vie sociale qu'avant votre incarcération. La prison, vu ses caractéristiques aujourd'hui en France, rend les gens moins aptes à vivre en société. (Car les règles y sont différentes) "On n'apprend pas à nager dans un sous-marin" La surpopulation (70000 personnes pour 58000 places) est une des explications. On pourrait en déduire qu'il faut construire des prisons. Ça serait une erreur. Une minorité des personnes incarcérées sont réellement dangereuses au point d'être enfermés. N'oublions pas qu'un pourcentage non négligeable de ces personnes ne sont pas encore jugées(préventive) et sont par conséquents présumés innocentes. Je propose de réformer le fonctionnement pénal et judiciaire pour favoriser au maximum les solutions hors incarcération. Il y a des solutions qui fonctionnent dans d'autres pays (bracelet électronique, fermes pénitentiaires, travaux d'intérêt général...) Mais je propose également de créer une véritable force d'inspection et de régulation des prisons, qui aura le pouvoir, comme à l'hôpital, en entreprise ou à l'école, de constater des manquements et de pénaliser les dirigeants le cas échéant. On peut créer également une haute autorité de respect de la dignité en prison, saisissable par tous citoyen incarcéré.
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03/05/2020 16:39
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03/05/2020 11:58
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03/05/2020 11:47
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03/05/2020 11:40
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03/05/2020 11:20
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02/05/2020 18:43
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Nouvelle proposition à La consultation
Travail ou activité ?
Les grecs anciens distinguaient le travail (réservé aux esclaves) et l'activité. Etre actif présente des vertus thérapeutiques indéniables. S'investir, se sentir utile, entreprendre, avoir le sentiment de contribuer au bien collectif. Le monde du travail, devenu "un marché", tient-il ses promesses? Je trouve que la crise Covid est l'occasion de reparler du revenu universel. Une relation différente au travail et à l'activité. La possibilité pour chacun de s'investir selon ses choix. Travailler plus, travailler moins. Etre salarié ou non. S'orienter vers des emplois qui nous conviennent et délaisser les autres. Les métiers qui n'attirent personne finiraient par être mieux compensés (par la rémunération ou d'autres avantages). Le revenu universel, vers un monde du travail plus juste et une société plus solidaire?
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02/05/2020 18:29