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13/04/2020 19:27
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13/04/2020 19:24
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Nouvelle proposition à La consultation
Payer pour garder la santé, pas quand on est malade !
Garder la santé c’est avant tout se connaitre, connaitre son corps son caractère, se réactions qu’elles soient physiques ou mentales, cet apprentissage de soi devrait faire parti du programme scolaire, il est aussi important pour notre vie que le Français ou les mathématiques. Bien sûr cela n’empêcherait pas toutes les maladies ou accidents, mais avoir une hygiène de vie adaptée à sa personnalité constituant la première médecine préventive permettrait de réduire grandement les frais de santé. En allant plus loin on peut imaginer un système ou un médecin est responsable de la santé d’un certain nombre de personnes, il est rémunéré sous forme de forfait par elles (dont une partie serait pris en charge par l’état en fonction des revenus), en contrepartie il les soigne gratuitement y compris les médicaments et prothèses qu’elles soit osseuse, dentaire ou optique dans la limite d’une prothèse par catégorie par an et par personne, L’intérêt du médecin est donc que les personnes sous sa responsabilité soient en bonne santé et que les médicaments qu’il administre soient efficaces. (Dans le système actuel l’intérêt des médecins est qu’il y ait des malades et l’intérêt des pharmaciens est que les médicaments soient peu efficaces) Pour les accidents, ou les catastrophes sanitaires, un système de santé non lucratif doit prendre le relais, ce système serait gratuit et financé par une part de le TVA sur les produits néfastes pour la santé, et le paiement des soins esthétiques non liés à une maladie, une malformation ou un accident.
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13/04/2020 19:22
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Nouvelle proposition à La consultation
Payer pour garder la santé, pas quand on est malade !
Garder la santé c’est avant tout se connaitre, connaitre son corps son caractère, se réactions qu’elles soient physiques ou mentales, cet apprentissage de soi devrait faire parti du programme scolaire, il est aussi important pour notre vie que le Français ou les mathématiques. Bien sûr cela n’empêcherait pas toutes les maladies ou accidents, mais avoir une hygiène de vie adaptée à sa personnalité constituant la première médecine préventive permettrait de réduire grandement les frais de santé. En allant plus loin on peut imaginer un système ou un médecin est responsable de la santé d’un certain nombre de personnes, il est rémunéré sous forme de forfait par elles (dont une partie serait pris en charge par l’état en fonction des revenus), en contrepartie il les soigne gratuitement y compris les médicaments et prothèses qu’elles soit osseuse, dentaire ou optique dans la limite d’une prothèse par catégorie par an et par personne, L’intérêt du médecin est donc que les personnes sous sa responsabilité soient en bonne santé et que les médicaments qu’il administre soient efficaces. (Dans le système actuel l’intérêt des médecins est qu’il y ait des malades et l’intérêt des pharmaciens est que les médicaments soient peu efficaces) Pour les accidents, ou les catastrophes sanitaires, un système de santé non lucratif doit prendre le relais, ce système serait gratuit et financé par une part de le TVA sur les produits néfastes pour la santé, et le paiement des soins esthétiques non liés à une maladie, une malformation ou un accident.
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13/04/2020 11:38
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12/04/2020 10:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Retrouver la confiance
La défiance des citoyens envers les politiques est importante pour plusieurs raisons, lutter contre ces défiances permettrait peut-être de redonner à la démocratie son sens. Trop de représentants pas assez d’efficacité ! Des représentants à tous les étages, commune, canton, département, région, état, Europe, Senat qui se renvoient la balle ou prennent des décisions contraires, nuisant ainsi à la clarté à la cohérence. La gestion des cantons, départements, région de l’Europe ne serait-elle pas plus efficace si elle était réalisée par des administrateurs qui œuvreraient sans partis pris pour le bien de tous, les directives gouvernementales seraient ainsi suivies à tous les étages gagnant en cohérence et donc en efficacité. De plus, un nombre moins important de représentant (actuellement il y a plus de 600 000 élus en France) permettraient de faire des économies substantielles. Franchement à quoi cela sert d’avoir 346 sénateurs ? une centaine ne serait-elle pas suffisante ? Trop professionnels de la politique ! l’impression qu’une fois nos représentants élus ils n’œuvrent pas pour le bien de tous, mais pour une minorité influente ou seulement en vue de leur réélection, enchainant les mandats ils vivent dans une bulle d’entre soi ils deviennent déconnectés de la vie réelle. La prise en compte du vote blanc permettrait de nommer à proportion des représentant tirés au sort dans société civile (sur la base du volontariat et selon les quotas d’âge de sexe, de catégorie sociaux-professionnelle, …), les politiques prendraient alors conscience de l’ampleur de la défiance et recommenceraient peut-être à s’engager pour le bien de tous. De plus, l’impossibilité d’enchainer plus de 2 mandats successifs permettrait aux élus de ne pas perdre contact avec la vie réelle, de casser cette bulle d’entre soi méprisante vis à vis reste de la société. Trop politisé ! l’impression que nos représentants ne prennent pas de décisions en fonction de leurs convictions ou de la volonté de leurs électeurs, mais selon les décisions du groupe auquel ils appartiennent. Les élus devraient avoir l’obligation de consulter au moins une fois par trimestre les citoyens de la région qu’ils représentent sur les décisions qu’ils ont à prendre, ce pourrait être fait sur un site internet et/ou dans les maisons de la démocratie ; enfin leurs votes devraient être rendus public pour une parfaite transparence qui seule permet de retrouver la confiance.
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11/04/2020 17:42
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11/04/2020 17:38
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11/04/2020 17:34
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11/04/2020 17:25
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Nouvelle proposition à La consultation
Entités à géométrie variable
Comment créer/améliorer une entité commune tout en gardant une certaine autonomie, une spécificité ? Que somme nous prêts à partager et avec qui ? Peut-être ne faut-il plus raisonner en entités rigides mais créer des entités à géométrie variable en fonction de l’élément commun. Et pourquoi limiter ces entités aux seuls pays européens ? Pour chaque élément commun ne faudrait-ils pas la possibilité de conserver une quelques spécificités, d’exception à la règle ? (2 ou 3) Le principe d’adhésion a une entité se ferait sur la base du volontariat sur l’acceptation de règles communes, avec la possibilité d’en sortir sur la base d’un bilan financier neutre. Proposition d’entités par ordre croissant d’intégration : Libre circulation des biens, pas de droit de douanes entre les pays adhérents, droits de douanes commun avec les autres entités ou pays, peut-être accompagnée de la création d’une taxe spécifique et proportionnelle a son empreinte CO2 pour le transport des biens sur une distance supérieure à 100km. Libre circulation des personnes, pas de VISA entre les pays adhérents, règlent communes pour l’établissement ou les visites des ressortissants des autres entités ou pays, les droits et les devoirs sont ceux du pays d’accueil et ils sont identiques que l’on soit ressortissant d’origine ou non. Monnaie commune, pas de taux de change entre les pays adhérents, prêt a taux unique garanti par l’entité, règles communes pour l’endettement pour le déficit. Création d’une banque commune. Travail, harmonisation du code du travail, durée, rémunération, protection, durabilité, …, cotisations sociales y compris chômage et retraite. Droits et devoirs, harmonisation de la législation, de l’éducation, de la protection sociale, de la protection de l’environnement… Politique, politique commune pour les relations avec les autres entités/pays, création d’un corps diplomatique d’un service de renseignement commun, d’une armée commune. Gouvernance, adhésion a une gouvernance commune, élection de députés sur des listes communes et non plus par pays, qui eux-mêmes éliraient un gouvernement. Le nombre de députés serait en fonction du nombre de pays adhérants, d’une centaine pour 2 pays à un millier pour l’ensemble de la planète. Pour chaque entité hors gouvernance serait constituée une commission de trois représentants par pays adhérent renouvelés tous les 5 ans qui éliraient leur porte-parole, et travailleraient sur l’établissement, la modification, l’amélioration des règles communes, y compris leur financement celle-ci seraient adoptées par la majorité des 2/3. Le choix de la nomination des représentants étant laissé libre à chaque pays adhérant (nomination par le gouvernement, élection, tirage au sort de volontaires complétant, …)
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11/04/2020 17:20
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11/04/2020 17:19
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Nouvelle proposition à La consultation
La possibilité d’apprendre par différents moyens à tout âge.
Un mode d’éducation unique est-il vraiment adapté à l’ensemble de la population ? Ne faudrait-il pas offrir la possibilité d’apprendre par différents moyens en fonction de ses désirs, de ces capacités, de sa sociabilité ? et non plus en fonction de sa tranche d’âge. Ces moyens, en présence physique ou à distance sur une plateforme numérique, pourraient être : • Cours traditionnels (apprentissage par l’écoute, le suivi d’une démonstration sans ou très peu d’interaction avec le professeur) • Travail de groupe (apprentissage par échange de connaissances de techniques supervisé par un animateur/professeur, ou sur la base d’un programme, d’un jeu) • Travail individuel (auto-apprentissage sur la base d’un programme, d’un jeu, avec le soutien possible d’un conseiller/professeur) Chaque discipline du socle commun et de la spécialisation serait divisée en une quinzaine de programmes de plus en plus approfondis eux-mêmes comprenant une centaine d’éléments, certains éléments de programme pouvant être commun à plusieurs disciplines ; Chacun pouvant évoluer à son rythme, un test serait réalisé à la fin de chaque élément de programme et un test surveillé serait réalisé à la fin de chaque programme, un taux de réussite de 66% serait nécessaire pour passer à l’étape, le programme suivant ou l’obtention d’un diplôme/certificat. Pour garantir un apprentissage équilibré, il ne serait pas possible de commencer le programme suivant sans avoir acquis un niveau équivalent dans les autres disciplines. De plus pour garantir un minimum de sociabilisation et d’assiduité la nécessité d’une présence physique obligatoire pourraient être dégressive de 100% au pour les premiers programmes à 25% en fin de socle commun et pour la spécialisation. L’éducation serait ouverte à tous quel que soit l’âge le sexe ou le parcours, un test lors de l’inscription permettrait d’orienter l’élève vers les programmes les plus adaptés. Le but de cette éducation serait d’offrir socle commun pour pouvoir vivre ensemble et une spécialisation pour pouvoir apporter sa contribution à la société. L’acquisition du socle commun serait gratuite, l’acquisition d’une spécialisation serait compensée par une contribution financière ou active pendant l’acquisition ou durant les 5 années après l’obtention du diplôme/certificat. Cette contribution serait de 10% du salaire minimum par programme ou l’équivalent en activité volontaire. Pas assez de place pour donner une suggestion du socle commun !
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11/04/2020 16:56
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Nouveau commentaire à Travail = activités œuvrant au "bon" fonctionnement de la société
A approfondir
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11/04/2020 16:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Travail = activités œuvrant au "bon" fonctionnement de la société
Le travail Peut-on définir le travail par l’ensemble des activités œuvrant au "bon" fonctionnement de la société ? Faut-il distinguer les activités privées ou de loisir de celles de production ou de service ? ou placer la frontière ? Une personne élevant ses enfants ou un arbitre amateur n’œuvrent-ils pas au fonctionnement de la société ? Alors qu’une personne spéculant sur tel ou tel produit ou service, un fabricant de produit toxique, un fabricant d’arme n’œuvrent-ils pas à son disfonctionnement ? Faut-il classer les activités en fonction de leur apport à la société : non applicable (privées, de loisir), bonne, très bonne, néfaste, très néfaste, et favoriser leur financement en fonction de ce classement ? Dans l’idéal les activités non néfastes seraient réalisées au sein d’association à but non lucratif et les activités néfastes n’existeraient plus. Pour tendre vers cette société nous pouvons par exemple • Transformer progressivement les entreprises en associations • Elargir le champ des activités rémunérées contribuant au fonctionnement de la société (personne élevant ses enfants en bas âge, étudiants, ...) • Limiter de 1 à 20 l’échelle des rémunérations en fonction de la difficulté à réaliser l’activité (compétences nécessaires, risques, pénibilités, responsabilités, …) et non plus sur la loi de l’offre et de la demande. • Diminuer le nombre d’activités néfastes (spéculation, toxiques pour la planète, armement, …) par des contraintes législatives et financières. • Offrir la possibilité de glisser vers la retraite sur une période de 1 à 5 ans
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11/04/2020 16:37
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Nouvelle proposition à La consultation
Généraliser le domaine associatif
Le libéralisme basé essentiellement sur la loi de l’offre et de la demande conduit à une surconsommation dangereuse pour la planète et à une inégalité de plus en plus importante entre une minorité de plus en plus riche et une majorité de plus en plus pauvre. Le communisme basé économiquement sur un control étatique de la consommation conduit à un désœuvrement de la majorité de la population qui perd le désir d’entreprendre et la confiance dans l’intérêt général à cause et d’un control permanent et intrusif de la part d’une minorité dirigeante qui fait passer son intérêt personnel, pour se maintenir au pouvoir, avant l’intérêt général. Entre ses deux écueils une économie basée sur la loi de l’offre et de la demande plus ou moins régulée par l’état est le modèle actuel de la plupart des pays. Ce modèle même s’il en ralenti le processus conduit aux mêmes écueils que le libéralisme. Un monde où chacun s’auto-régulerait, ne chercherait pas à gagner des parts de marché, à être plus riche que son voisin, ferait preuve d’altruisme envers les plus démunis étant encore utopique, il faut changer notre modèle de société. Ce nouveau modèle de société serait basé sur l’associatif, il faudrait donc progressivement transformer toutes les entreprises en associations à but non lucratif avec la possibilité que l’association puisse rémunérer ses membres à condition qu’ils y exercent une activité réelle et vérifiable. Cette transformation tendrait vers la suppression des actionnaires et donc de la bourse, la création ou l’augmentation du capital des d’associations ne pourrait se faire que sous forme de prêt auprès d’un organisme bancaire, de subvention ou de don à l’association elle-même et non à ses membres qui s’ils sont actifs deviendraient salariés de l’association. De même les biens immobiliers seraient au-delà de 2 biens par famille transférés à une association dont les propriétaires deviendraient membres et seraient rémunérés le cas échéant par l’association. Afin de réduire les inégalités le revenu maximum serait plafonné à 10 ou 20 fois le revenu minimum, et aucune personne ne pourrait percevoir un revenu supérieur même en étant membre de plusieurs associations. Ce nouveau modèle de société devrait aussi tendre vers le développement durable, en : En faisant tendre vers zéro l’émission, la production de produits toxique pour la planète, et ce en légiférant sur une diminution des seuils par étape, et en garantissant l’investissement pour la transition de la production ou du service. En ajustant la TVA de 0 à 50% des produits et services en fonction de son impact sur l’environnement et en fonction de son utilité à la société. Par exemple une prestation de transport de marchandise serait taxée en fonction de l’émission de CO2 produite pour cette prestation, mais aussi en fonction de l’utilité du produit transporté. Les services de l’état ou de l’entité régulatrice (éducation, justice, santé, …) seraient eux aussi transformés en associations à but non lucratif, qui seraient financées par la TVA et par les impôts sur les revenus, les associations ne faisant par définition pas de bénéfices ne sauraient être imposées, L’ensemble des pays n’étant pas prêt à un tel changement, les pays adhérents serait regroupée au sein d’une organisation qui faciliterait les échanges entre les adhérents et aiderait au financement de la transition en percevant des taxes sur les produits et services de provenance externe à l’organisation . Ce mode de fonctionnement permettrait peut-être d’arrêter de considérer comme « nerf de la guerre » les questions financières, la crise du Covid-19 a montrer que dans beaucoup de pays la santé passait devant l’économie. Ce changement de mentalité permettrait de ne plus mesurer la santé d’un pays non plus en fonction de son Produit Intérieur Brut ou son taux de croissance, mais au taux de félicité de ses habitants par exemple.