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16/04/2020 14:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Engager une transition alimentaire vers le végétal
La crise sanitaire du coronavirus rappelle l’impact énorme de notre modèle agro-alimentaire sur les écosystèmes et la santé humaine : l’épidémie trouve son origine dans le commerce d’animaux sauvages. Il est d’ailleurs reconnu que la plupart des maladies infectieuses émergentes comme le VIH ou les SRAS ont une origine animale. On sait aussi que l’érosion de la biodiversité, qui est majoritairement causée par notre appétit pour les produits animaux est une des causes principales de la propagation des virus. Réduire notre appétit pour les protéines animales est donc un moyen direct et immédiat de réduire le risque de voir de telles pathologies se propager. Mais il y a une autre raison d’aller dans ce sens : on sait aujourd’hui que le virus est beaucoup plus menaçant pour les personnes déjà touchées par des pathologies telles que les maladies cardio-vasculaires, les cancers ou le diabète. Or il se trouve qu’une alimentation à base végétale est un excellent moyen de réduire les risques de ces pathologies , ce qui, là encore, peut réduire les conséquences des épidémies telles que celle que nous vivons actuellement. L'Association végétarienne de France demande donc aux acteurs politiques, à toutes les échelles (locale, nationale, européenne), d'engager dès maintenant une véritable transition alimentaire vers le végétal. Cette mesure serait un des outils les plus bénéfiques à la santé humaine, aux écosystèmes et à la biodiversité. Quelques exemples d'actions concrètes que nos responsables politiques peuvent mettre en place rapidement : - proposer une option végéta*ienne quotidienne dans la restauration collective (scolaire, universitaire, d'entreprise) - Harmoniser la fiscalité européenne entre produits carnés, produits laitiers et leurs alternatives végétales : actuellement la viande et les produits laitiers bénéficient d'une fiscalité moindre dans de nombreux pays, encourageant de facto l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre - Introduire une fiscalité écologique, reflétant mieux le coût environnemental (émission de gaz à effet de serre, accaparement des sols, consommation d'eau, etc) des produits issus d'une agriculture animale - Permettre et accompagner la reconversion des jeunes agriculteurs.trices vers la production végétale, partout dans l'UE et sur le territoire français - par exemple en réorientant les soutiens financiers de la Politique Agricole Commune Une mesure essentielle et bénéfique à la fois d'un point de vue environnemental, sanitaire et éthique !
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16/04/2020 14:13
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16/04/2020 14:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Engager une transition alimentaire vers le végétal
La crise sanitaire du coronavirus rappelle l’impact énorme de notre modèle agro-alimentaire sur les écosystèmes et la santé humaine : l’épidémie trouve son origine dans le commerce d’animaux sauvages. Il est d’ailleurs reconnu que la plupart des maladies infectieuses émergentes comme le VIH ou les SRAS ont une origine animale. On sait aussi que l’érosion de la biodiversité, qui est majoritairement causée par notre appétit pour les produits animaux est une des causes principales de la propagation des virus. Réduire notre appétit pour les protéines animales est donc un moyen direct et immédiat de réduire le risque de voir de telles pathologies se propager. Mais il y a une autre raison d’aller dans ce sens : on sait aujourd’hui que le virus est beaucoup plus menaçant pour les personnes déjà touchées par des pathologies telles que les maladies cardio-vasculaires, les cancers ou le diabète. Or il se trouve qu’une alimentation à base végétale est un excellent moyen de réduire les risques de ces pathologies , ce qui, là encore, peut réduire les conséquences des épidémies telles que celle que nous vivons actuellement. L'Association végétarienne de France demande donc aux acteurs politiques, à toutes les échelles (locale, nationale, européenne), d'engager dès maintenant une véritable transition alimentaire vers le végétal. Cette mesure serait un des outils les plus bénéfiques à la santé humaine, aux écosystèmes et à la biodiversité. Quelques exemples d'actions concrètes que nos responsables politiques peuvent mettre en place rapidement : - proposer une option végéta*ienne quotidienne dans la restauration collective (scolaire, universitaire, d'entreprise) - Harmoniser la fiscalité européenne entre produits carnés, produits laitiers et leurs alternatives végétales : actuellement la viande et les produits laitiers bénéficient d'une fiscalité moindre dans de nombreux pays, encourageant de facto l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre - Introduire une fiscalité écologique, reflétant mieux le coût environnemental (émission de gaz à effet de serre, accaparement des sols, consommation d'eau, etc) des produits issus d'une agriculture animale - Permettre et accompagner la reconversion des jeunes agriculteurs.trices vers la production végétale, partout dans l'UE et sur le territoire français - par exemple en réorientant les soutiens financiers de la Politique Agricole Commune Une mesure essentielle et bénéfique à la fois d'un point de vue environnemental, sanitaire et éthique !
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15/04/2020 14:56
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Nouvelle proposition à La consultation
Engager une transition alimentaire vers le végétal
La crise sanitaire du coronavirus rappelle l’impact énorme de notre modèle agro-alimentaire sur les écosystèmes et la santé humaine : l’épidémie trouve son origine dans le commerce d’animaux sauvages. Il est d’ailleurs reconnu que la plupart des maladies infectieuses émergentes comme le VIH ou les SRAS ont une origine animale. On sait aussi que l’érosion de la biodiversité, qui est majoritairement causée par notre appétit pour les produits animaux est une des causes principales de la propagation des virus. Réduire notre appétit pour les protéines animales est donc un moyen direct et immédiat de réduire le risque de voir de telles pathologies se propager. Mais il y a une autre raison d’aller dans ce sens : on sait aujourd’hui que le virus est beaucoup plus menaçant pour les personnes déjà touchées par des pathologies telles que les maladies cardio-vasculaires, les cancers ou le diabète. Or il se trouve qu’une alimentation à base végétale est un excellent moyen de réduire les risques de ces pathologies , ce qui, là encore, peut réduire les conséquences des épidémies telles que celle que nous vivons actuellement. L'Association végétarienne de France demande donc aux acteurs politiques, à toutes les échelles (locale, nationale, européenne), d'engager dès maintenant une véritable transition alimentaire vers le végétal. Cette mesure serait un des outils les plus bénéfiques à la santé humaine, aux écosystèmes et à la biodiversité. Quelques exemples d'actions concrètes que nos responsables politiques peuvent mettre en place rapidement : - proposer une option végéta*ienne quotidienne dans la restauration collective (scolaire, universitaire, d'entreprise) - Harmoniser la fiscalité européenne entre produits carnés, produits laitiers et leurs alternatives végétales : actuellement la viande et les produits laitiers bénéficient d'une fiscalité moindre dans de nombreux pays, encourageant de facto l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre - Introduire une fiscalité écologique, reflétant mieux le coût environnemental (émission de gaz à effet de serre, accaparement des sols, consommation d'eau, etc) des produits issus d'une agriculture animale - Permettre et accompagner la reconversion des jeunes agriculteurs.trices vers la production végétale, partout dans l'UE et sur le territoire français - par exemple en réorientant les soutiens financiers de la Politique Agricole Commune Une mesure essentielle et bénéfique à la fois d'un point de vue environnemental, sanitaire et éthique !