-
10/04/2020 17:45
-
10/04/2020 17:37
-
10/04/2020 17:30
-
10/04/2020 17:28
-
07/04/2020 13:32
-
07/04/2020 13:21
-
Nouvelle proposition à La consultation
Interdiction de jeter les invendus alimentaires et produits de première nécessité
De nos jours, de nombreuses enseignes, supermarchés, commerces alimentaires, restaurateurs, sont contraints de jeter leur invendus/ restes à cause de mesures drastiques d'hygiène et de sécurité, alors qu'on sait que l'on peut consommer nombre de produits périmés après leur date de péremption. La loi Egalim a permis des progrès en ce sens mais est encore insuffisamment appliquée. De plus, il en va de même pour les produits de première nécessité d'hygiène, de santé: combien de médicaments sont gâchés .... Il faudrait: -autoriser les commerçants à vendre les produits périmés dont l'absence de risque pour la santé a été prouvée ( avec des délais variables selon les produits) -obliger les restaurants et cantines à redistribuer les repas non consommés gratuitement aux sans abris -mettre en place une consigne pour les médicaments ET qu'ils soient réutilisés
-
07/04/2020 13:05
-
06/04/2020 20:14
-
Nouvelle proposition à La consultation
Créer des maisons de santé avec reste à charge zéro
Aujourd'hui, si les hôpitaux sont saturés, urgences surtout, c'est tout simplement parce qu'environ 1/3 des prises en charge aux urgences..ne relèvent pas de l'urgence! Dans certains départements (je parle d'expérience), quand vous appelez les urgences, vous attendez -15 min au téléphone -2h pour voir une infirmière -6h-8h pour voir un médecin OR SI C EST VRAIMENT UNE URGENCE CA PEUT VOUS COUTER TRES CHER! En 2018, une femme est morte en couches, après avoir que son appel aie été rejeté par le 15 à Strasbourg. En 2019, un patient âgé a été retrouvé mort aux urgences à Marseille. Or, si les gens appellent ou vont directement aux urgences, c'est parfois par hypocondrie ou ignorance il est vrai, néanmoins n'étant pas médecins ils ne peuvent pas juger de leur état! De plus si la plupart des gens contactent directement les urgences c'est souvent aussi parce que: -soit c'est le soir ou le WE= aucun médecin de disponible -soit ils habitent un désert médical où il n'y a aucun autre service médical -soit ils n'ont tout simplement pas les moyens d'avancer des frais médicaux (+dépassement d'honoraires) en allant chez un médecin C'est pourquoi il est plus qu'urgent : -d'obliger les médecins de ville à assurer des gardes NUIT et WE, en alternant entre eux ( au moins par tél) -de créer des centres médicaux reste à charge zéro avec larges horaires d'ouverture -de revaloriser SOS Médecins, qui fait très bien son boulot (quand il n'est pas débordé, ce qui arrive souvent malheureusement), ce qui de plus évite déplacement et attente en salle d'attente du patient, en lui donnant des fonds voire en faire un service public remboursé au même titre que les urgences.
-
06/04/2020 19:51
-
06/04/2020 19:46
-
06/04/2020 19:37
-
Nouvelle proposition à La consultation
Mettre fin à la prescription de psychotropes par les psychiatres et généralistes
Les psychotropes ( antidépresseurs, benzodiazépines, neuroleptiques) sont de loin les médicaments les plus dangereux -d'une part par leur effets secondaires dévastateurs (cf les nombreux cas de meurtres et de suicides causés par les antidépresseurs) -d'autre part par la dépendance physiologique qu'il induise très rapidement avec une prise régulière Les personnes souffrant psychologiquement devraient être prise en charge par des techniques incluant la psychothérapie, l'hypnose, la sophrologie, le yoga , la méditation, la musicothérapie. Au lieu de cela elles sont lourdement médicamentées, donc elles souffrent triplement -de par l'ignorance de la société de leur souffrance psychologique -de par les effets secondaires de leurs psychotropes prescrits -de par leur dépendance, leur empêchant , même si elles le souhaitent, de mettre fin à leur traitement N'oublions pas qu'en anglais un médicament se dit "drug" Les témoignages de personnes victimes de maltraitance psychiatrique sont édifiants. Il faut donc empêcher aux psychiatres et généralistes de prescrire anti-dépresseurs et neuroleptiques, et limiter la prescription des benzodiazépines à 2 semaines maximum, en expliquant au patient le protocole de sevrage en amont (protocole ASHTON) D'autant plus que l'efficacité des psychotropes ( notamment anti-dépresseurs est loin d'être prouvée) SEULS les NEUROLOGUES devraient être autorisés à prescrire des substances psychoactives à des fins bien précises. SOURCES: http://www.psychomedia.qc.ca/depression/2014-09-14/antidepresseurs-theorie-de-la-serotonine-mise-en-doute http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2011-11-22/antidepresseurs-symptomes-dependance-sevrage ASHTON, Heather, Benzodiazepines: How They Work and How to Withdraw, 1999 disponible à l'adresse: https://www.benzo.org.uk/freman/bzsched.htm Brandt, J., Leong, C. Benzodiazepines and Z-Drugs: An Updated Review of Major Adverse Outcomes Reported on in Epidemiologic Research. Drugs R D 17, 493–507 (2017) http://psychotropes.info/wordpress/ https://www.benzoinfo.com/ https://www.forumpsy.net/
-
06/04/2020 18:53
-
Nouvelle proposition à La consultation
Remboursements des médicaments phytothérapeutiques et aromathérapeutiques et des compléments aliment...
De nos jours , voilà la situation en France: On rembourse, au moins partiellement, la plupart des médicaments allopathiques, alors qu'une certaine partie est inefficace, voire dangereuse On ne rembourse ni -la phytothérapie -l'aromathérapie (huiles essentielles) -la plupart des minéraux et vitamines (excepté certains ) -les analyses sanguines en micronutrition et analyse des intolérances alimentaires Donc on se retrouve dans une situation où: -Les plus défavorisés sont condamnés à se soigner uniquement par des médicaments allopathiques -Seuls les plus aisés (et les mieux informés) peuvent se soigner avec des médicaments naturels ou des compléments alimentaires Il faudrait donc rembourser: -la phytothérapie -l'aromathérapie (huiles essentielles) -la plupart des minéraux et vitamines (excepté certains ) -les analyses sanguines en micronutrition et analyse des intolérances alimentaires A la condition bien sûr que des études démontrent leur action ( privilégier les études étrangères -Canada, USA, Allemagne- car en France il n'en existe quasiment pas faute de financement). Rappelons que jusqu'en 1989 de nombreuses préparations phytothérapeutiques étaient remboursées en France. SOURCE: https://www.senat.fr/questions/base/1990/qSEQ900308968.html
-
06/04/2020 18:27
-
Nouvelle proposition à La consultation
Déremboursement des médicaments inutiles et retrait du marché des médicaments dangereux
Parmi les médicaments sur le marché, 80% sont inutiles et/ou dangereux Pour les médicaments inutiles, c'est un gâchis monstre d'argent public ( il faudrait peut-être se poser la question d'où vient le "trou de la sécu") Pour les médicaments dangereux, c'est une mise en danger de la santé, voire la vie du patient. Les scandales médicamenteux se multiplient (Mediator, Levothyrox...etc) et on ne parle que des plus médiatisés car il en existe par centaines. En effet seul un très faible nombre d'effets secondaires constatés sont recensés. De surcroît, plus la liste de médicaments est longue plus le risque d'interactions potentielles augmente. C'est pourquoi il faudrait: -obliger les laboratoires pharmaceutiques à publier TOUTES leur études et non que celles qui les arrangent -faire en parallèle des études indépendantes -faire participer plus activement les patients à l'évaluation du rapport Bénéfice/Risque pour chaque médicament ( sur l'exemple du site néerlandais https://www.meamedica.fr/) -recourir plus systématiquement à des systèmes informatisés de vérifications des interactions médicamenteuses entre plusieurs traitements , à la pharmacie même si ceux ci figure sur l'ordonnance (sur l'exemple du site américain:https://www.drugs.com/drug_interactions.html) -Dérembourser les médicaments dont Bénéfice=0 -Retirer l'AMM des médicaments dont le Risque> Bénéfice (en coordination avec les autorités européennes) BIBLIOGRAPHIE DEBRE, Bernard, EVEN, Philippe, Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, 2012
-
06/04/2020 18:06
-
Nouvelle proposition à La consultation
Créer un fonds pour la prévention de la santé et la recherche pour les médecines naturelles
En terme de santé, c'est bien souvent la prévention qui permet d'éviter nombreuses maladies "Si tu es malade, recherche d'abord ce que tu as fait pour le devenir." disait Hippocrate La prévention, ce n'est pas le dépistage, ni les vaccins. La prévention, c'est d'abord l'hygiène de vie: -l'alimentation et la digestion "Que ton aliment soit ta seule médecine" disait encore Hippocrate -la gestion du stress (cf l'impact du cortisol sur le système nerveux et le système immunitaire) -le sommeil ( 18 h d'éveil = 1g d'alcool dans les sang) -l'activité physique D'autre part, les médecines naturelles sont discréditées à cause du manque d'études qui prouvent leur efficacité. Mais pour faire ces études, encore faudrait il que des fonds publics soient investis dedans! Au début du XXème siècle, la France était un des leaders européens en terme de recherche en phytothérapie. C'est à partir de la seconde moitié du XXème siècle que celle-ci a perdu sa place faute de financements publics pour la poursuite de la recherche et de l'enseignement dans ce domaine, au profit d'autres pays comme l'Allemagne par exemple. De plus, une plante n'est pas brevetable, contrairement à une molécule pharmaceutique. Ainsi , si un laboratoire pharmaceutique allopathique dépense beaucoup d'argent en R&D pour trouver une nouvelle molécule, en cas de réussite, le brevet lui permettra de s'assurer des revenus. Voilà pourquoi il faudrait ré-investir des fonds publics dans la recherche indépendante dans les domaines suivants: -Nutrition & Micronutrition -Phytothérapie, Gemmothérapie -Aromathérapie BIBLIOGRAPHIE: HUFFINGTON, Ariana, The Sleep Revolution: Transforming Your Life, One Night at a Time, 2016 BELAICHE-DANINOS, Paul, Comment traiter la spasmophilie sans se droguer ?, 2001
-
06/04/2020 17:39
-
Nouvelle proposition à La consultation
Mettre en place un système d'évaluation des médecins, cliniques et hôpitaux
Le système de santé actuel français est certes plutôt bien classé en termes d'accès aux soins...mais non d'efficacité et de résultats. Force est de constater que le système sature et n'est pas très efficace. Il y a certes une question de moyens financiers c'est évident, mais pas uniquement. Les médecins compétents se font rares. C'est comme cela que de nombreux malades se retrouvent dans ce qu'on appelle 'l'errance médicale", c'est à dire qu'ils vont voir un grand nombre de spécialistes avant de pouvoir enfin être diagnostiqués et traités. De plus, c'est réservé à ceux qui en ont les moyens car d'une part on n'est pas toujours remboursé quand on va voir un spécialiste sans être envoyé par son médecin traitant, de plus les meilleurs spécialistes pratiquent souvent des dépassements d'honoraires. Les hôpitaux publics à la pointe de la recherche et avec une prise en charge rapide et efficace des patients sont rares. C'est pourquoi il faudrait: -instaurer une évaluation périodique de chaque praticien par une inspection (comme pour les professeurs de l'éducation nationale) constituée d'un comité scientifique indépendant -Evaluer les hôpitaux et cliniques sur des critères objectifs et précis par spécialité, un peu à l'instar de https://www.scopesante.fr/ à généraliser -En parallèle, sur la base de questionnaires de satisfaction, non seulement pour les prises en charge hospitalières/ cliniques, mais aussi pour tout médecin généraliste ou spécialiste, créer un système d'évaluation des médecins basé sur la satisfaction du patient
-
06/04/2020 17:12