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15/05/2020 08:04
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04/05/2020 13:35
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Nouvelle proposition à La consultation
Vers une société décloisonnée, inclusive et contributive
Quelques préconisations : - Favorisons les synergies en multipliant les lieux et modes de rencontre et de partage en présentiel et numérique (tiers lieux, plateformes digitales collaboratives….) entre les parties prenantes de notre société (écosystèmes, communautés, entreprises, associations, collectivités, citoyens) pour mettre l’intelligence collective au service du bien commun ; - Décloisonnons les espaces et communautés d’apprentissage tels que les centres de recherche, universités, laboratoires et entreprises et créons de nouveaux espaces de rencontre et mutualisation entre ces acteurs pour encourager des partenariats au service de l’audace et l’innovation ; - Poussons les entreprises à se voir comme des partenaires potentiels, des « coopétiteurs » plutôt que des concurrents : coopérons, partageons nos connaissances, nos pratiques inspirantes, et innovantes, mutualisons et échangeons nos talents ; - Luttons contre l’isolement et l’individualisme en fédérant autour de communautés à valeurs et intérêts communs : bénévolat, actions sociales, initiatives solidaires, engagement pour des causes environnementales,… ; - Sensibilisons et éduquons aux bienfaits de la diversité : Réfléchissons ensemble et dès maintenant à des moyens d’inclusion des différences et challengeons nous sur les normes sociétales actuelles pour œuvrer et construire des vecteurs d’inclusion ; - Inspirons nous et soyons inspirants : trouvons chacun, à titre individuel, nos sources d’inspiration, cultivons notre curiosité et aspirons à être inspirants pour les autres. C’est par le biais de cette inspiration circulaire que nous obtenons l‘engagement de tous alliés solidaires et engagés.
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04/05/2020 13:33
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Nouvelle proposition à La consultation
Résilience, agilité, optimisme… les compétences du Jour d’après
Télétravail, bouleversement des relations de travail et des modes de management, variation imprévisible de l’activité…Toutes ces questions seraient abordées plus sereinement à l’heure actuelle si le monde du travail s’exerçait à être plus agile et plus résilient. Mais comment s’y prendre ? Comment donner du sens à ces termes employés à maintes reprises en cette période de crise généralisée et singulière ? Quelques préconisations : Détachons nous du schéma français traditionnel de valorisation des parcours académiques (CV, diplômes, grandes écoles,…) au profit de l’identification, la valorisation et le développement praxique des compétences émotionnelles et comportementales des individus (dont la résilience et l’agilité font partie) à l’œuvre ; Valorisons la diversité, l’altruisme et l’atypisme des parcours, d’expérience de vie, de neuro différence, de mixité intergénérationnelles et la singularité des profils ; Formons nos professionnels des Ressources Humaines et dirigeants d’entreprise à de nouvelles pratiques d’identification, d’utilisation et de combinaisons efficientes des talents (internes et externes) plus intuitives (basées sur les soft skills), probantes, évolutives et innovantes; Pour amorcer les transformations, inspirons nous des pratiques managériales les plus innovantes telles que le management de transition importé des Pays-Bas, les méthodes agiles ou le biomimétisme, qui s’inspire de l’adaptabilité et des comportements de sélection naturelle de la nature pour les appliquer transversalement aux organisations et plus largement aux écosystèmes ; Encourageons chaque individu à se découvrir de manière holistique en tant que talent en intégrant dès le plus jeune âge le développement personnel, la curiosité, l’intérêt pour le collectif et le travail sur les valeurs dans le parcours académique et au-delà; parce qu’un individu épanoui est un individu bienveillant et à même de transformer chaque contrainte extérieure et facteurs influents tiers, en de magnifiques opportunités. Un effet papillon positif.
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04/05/2020 13:29
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Nouvelle proposition à La consultation
Tech For Good : Le numérique à l’œuvre d’un monde meilleur
La numérisation de l’économie doit indéniablement se bâtir autour de la démarche « TECH for Good », littéralement « la technologie pour le bien », une terminologie qui entend rappeler que le numérique peut aussi servir le bien commun à condition que celui-ci soit correctement appréhendé par tous. Quelques préconisations : Finançons et encourageons les start up et entreprises du numérique dont le projet, les produits et les services s’inscrivent dans des objectifs d’accroissement du bien commun (principe du TECH for good) dans des domaines majeurs que sont l’inclusion, la santé, l’environnement, l’éthique, le transfert de connaissance et la redistribution de valeurs ; Eduquons et formons massivement sur les technologies clés que sont le Cloud, la blockchain, l’intelligence artificielle, l’impression 3D, l’IOT, la pédagogie et inclusion visuelle, les drones pour faciliter l’inclusion de tous les acteurs et transiter plus sereinement vers une nouvelle ère ; Sensibilisons et combattons les stéréotypes: Non, le secteur du numérique n’est pas plus prédestiné aux hommes qu’aux femmes, ni plus prédestiné aux nouvelles générations qu’aux anciennes, ni à une situation sociale particulière ! Les technologies permettent d’ouvrir le capital humain et de l’augmenter où qu’il se trouve. Ne laissons pas les challenges liés au numérique provoquer craintes et appréhensions mais suscitons plutôt de nouveaux rôles modèles, de nouvelles vocations, de nouvelles règles de partage et opportunités collaborative dans les domaines de la gestion, potentialisation et protection des données et de la cybersécurité en intégrant ces matières dans le parcours académique, la validation technologique des acquis mais aussi via la formation continue et les plans de développement de compétences des entreprises