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09/04/2020 14:32
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09/04/2020 14:08
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Nouvelle proposition à La consultation
Des quartiers carfree en ville
L'automobile généralisée, par ses externalités négatives, constitue une ruine autant individuelle que collective (selon les études, la généralisation de l'automobile est estimée coûter à l'Etat entre 50 et 100 milliards d'euros par an, un montant comparable à la fraude fiscale par exemple) : outre la pollution de l'air et les problèmes de santé qui en découlent, les embouteillages coûtent également beaucoup, tout comme l'étalement urbain qu'elle favorise. Il pourrait être possible de créer des quartiers proches des transports, où la circulation de véhicules motorisés sauf secours et emménagements/déménagements serait très fortement limitée, sur le modèle du quartier Vauban, à Fribourg. https://fr.wikipedia.org/wiki/Quartier_Vauban_%28Fribourg-en-Brisgau%29 L'espace libéré permettrait de végétaliser beaucoup plus, d'être réapproprié notamment par les enfants pour qu'ils puissent jouer en sécurité... La nécessité de proximité impliquée par les mobilités douces favoriserait également le commerce local, l'implication civique locale... Ces quartiers devraient également favoriser la mixité d'usages (logement comme travail, locaux culturels...), sociale (avec des logements sociaux, pour étudiants... et d'autres classiques, disponibles à l'acquisition). Il s'agit de créer ainsi un contexte favorable à la sobriété dans l'organisation de nos vies, nos déplacements... Et par conséquent plus résiliant que notre modèle actuel face au changement climatique, à la raréfaction des ressources, notamment du pétrole...
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09/04/2020 12:51
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09/04/2020 12:44
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08/04/2020 19:26
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08/04/2020 19:20
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Nouvelle proposition à La consultation
Abandonner le PIB et la croissance
L e PIB est un indicateur de création de richesse très imparfait : il ne tient compte d'aucune destruction, d'aucune externalité, ne reflète en rien la répartition de cette richesse, encore moins son utilisation la qualité de vie. Il existe d'autres indicateurs, qui entraineraient d'autres objectifs. Pourquoi ne pas plutôt créer un indice basé sur l'IDH (qui parle plutôt de qualité de vie, en se construisant autour du PIB par habitant, du niveau d'éducation et de l'espérance de vie) et le coefficient de Gini (qui mesure les inégalités.), afin de ne pas occulter derrière l'économie le niveau d'épanouissement individuel et collectif ? Le tout en essayant d'inclure les externalités, afin d'avoir une vraie vision de notre économie et non une vision faussée faute d'en accepter le négatif ?
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08/04/2020 19:06
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08/04/2020 18:41
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Nouvelle proposition à La consultation
Les aides aux entreprises
Dans nombre de cas, l'Etat aide, directement ou indirectement, des entreprises qui versent des dividendes. Or les dividendes sont une des multiples utilisations possibles des bénéfices dégagés par les entreprises. Qui plus est, il s'agit d'une des utilisations les moins utiles au fonctionnement de l'entreprise, contrairement à l'investissement, la création de réserves financières pour encaisser des coups durs... Une entreprise qui verse des dividendes est donc une entreprise qui ne rencontre pas de difficultés financières particulières, sauf peut être à cause de ces dividendes versés, et ne nécessite donc pas d'aide de l'Etat. L'idée serait, puisque l'aide de l'Etat n'est pas indispensable pour elles et que le rôle de l'Etat n'est pas de donner l'argent public aux entreprises, d'interdire les aides publiques directes et indirectes aux entreprises versant des dividendes autres que : - Ceux qui constituent la rémunération des gérants, à condition que ces derniers travaillent effectivement dans l'entreprise et ne se contentent pas d'y apporter des capitaux. - Ceux lié à la participation pour les salariés de l'entreprise. - Ceux liés, dans certaines sociétés civiles, à l'obligation de prises de parts dans la société pour y travailler.
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06/04/2020 15:46
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06/04/2020 15:38
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06/04/2020 15:32
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Nouvelle proposition à La consultation
Revoir le système bancaire
Afin de limiter la spéculation, il serait bon de séparer banques de dépôt et d'investissement. Le cœur de métier de la banque est la collecte de l'épargne et l'octroi d'emprunts, pas l'investissement boursier et ses risques, encore moins la spéculation financière. Laissons cela aux clients de sociétés financières, sans faire peser le risque sur tout le pays et in fine l’État. Cela pourrait par exemple prendre la forme de la nationalisation d'une banque, qui ne ferait que ces activités et qui serait la seule dont l’État garantirait les dépôts (les épargnants non investisseurs éviteraient ainsi les autres banques, limitant les fonds disponibles pour les activités spéculatives). Une plus grande transparence devrait aussi être de rigueur sur les produits financiers : encourager à investir dans des produits peu complexes (et les commerciaux bancaires ne se privent pas de profiter de l'asymétrie de l'information et de cette opacité pour vendre) et être clair sur ce qui est financé et ses conséquences (armement, pétrôle...). Enfin, il est nécessaire de lutter vraiment contre deux menaces pour l'Etat : le trading à haute fréquence et le shadow banking. Pour le premier, la taxation de toutes les transactions financières selon la durée de conservation du titre pourrait être envisagée. Pour le second, ne pas hésiter à utiliser à ce sujet les corps de répression de la criminalité financière, à condition toujours de leur donner les moyens d'assurer leurs missions.
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06/04/2020 15:10