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24/04/2020 17:27
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et un plafonnement de leur trafic
Proposition du collectif Non Au Terminal 4 et de Stay Grounded Si le secteur aérien est sujet à des difficultés économiques majeures, il ne peut être exonéré de sa responsabilité climatique sous prétexte que cela constituerait un fardeau trop pénalisant dans l’optique d’une reprise économique, alors même qu’il est responsable de 5% du réchauffement climatique selon le GIEC, une fois tous ses effets pris en compte (traînées de condensation créées par la vapeur d’eau, gaz à effet de serre induits par les NOx..). D’autre part, la crise induite par la pandémie de Covid-19 pose la question des mobilités et de notre rapport au monde. Elle révèle l’inutilité de certains déplacements professionnels, mais aussi remet fortement en cause le tourisme de masse. Elle souligne l’apport pertinent du numérique pour réduire notre soif de mouvement. Ces effets entrent en résonance avec l’aspiration qui se fait jour à une « sobriété heureuse » dans nos modes de consommation et dont la crise actuelle et les crises écologiques sous-jacentes manifestent la pertinence. Dans le cas précis de l’aérien, celui-ci sera durablement affecté par la crainte épidémique, crainte qui induira une reconsidération massive et durable de la nécessité du voyage aérien. Le dimensionnement des infrastructures aéroportuaires et leur viabilité économique devront donc inévitablement être revus, au risque d’actifs échoués. En d’autres termes, la lutte contre le réchauffement climatique et la remise en cause de l’hypermobilité nous obligent plus que jamais à envisager la décroissance du trafic aérien ou, a minima, son plafonnement. Cela doit amener logiquement à l’annulation de l’ensemble des projets d’extensions aéroportuaires en France et à un plafonnement de l'ensemble des vols au départ et à l'arrivée des aéroports français. Tout plan de relance en ligne avec les objectifs climatiques et efficace économiquement ne saurait venir abonder financièrement une des sources majeures du réchauffement climatique, ni venir soutenir des infrastructures, qui, immanquablement, deviendront des actifs échoués, comme c’est le cas des projets de terminal 4 à Roissy-CDG ou du projet d’extension de l’aéroport de Nice, pour n’en citer que deux parmi la quinzaine recensée en France. Il s’agit d’ailleurs d’une des recommandations émises par le bureau européen du WWF pour qui « les plans de relance ne doivent pas soutenir des activités nuisibles telles que les industries fossiles (…,), les infrastructures aéroportuaires et automobiles » (Building Resilience: WWF Recommendations for a Just & Sustainable Recovery after Covid-19, 7 avril 2020). C'est également la recommandation du Réseau Action Climat qui demande "l’abandon des projets d’extension d’aéroports induisant une croissance du trafic." (https://reseauactionclimat.org/sauvetage-du-secteur-aerien-le-reseau-action-climat-demande-un-plan-de-transition-ecologique-et-sociale/)
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24/04/2020 17:27
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24/04/2020 12:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et pour un plafonnement du trafic aérien national
Proposition du collectif Non Au Terminal 4 et de Stay Grounded Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et pour un plafonnement du trafic aérien national Si le secteur aérien est sujet à des difficultés économiques majeures, il ne peut être exonéré de sa responsabilité climatique sous prétexte que cela constituerait un fardeau trop pénalisant dans l’optique d’une reprise économique, alors même qu’il est responsable de 5% du réchauffement climatique selon le GIEC, une fois tous ses effets pris en compte (traînées de condensation créées par la vapeur d’eau, gaz à effet de serre induits par les NOx..). D’autre part, la crise induite par la pandémie de Covid-19 pose la question des mobilités et de notre rapport au monde. Elle révèle l’inutilité de certains déplacements professionnels, mais aussi remet fortement en cause le tourisme de masse. Elle souligne l’apport pertinent du numérique pour réduire notre soif de mouvement. Ces effets entrent en résonance avec l’aspiration qui se fait jour à une « sobriété heureuse » dans nos modes de consommation et dont la crise actuelle et les crises écologiques sous-jacentes manifestent la pertinence. Dans le cas précis de l’aérien, celui-ci sera durablement affecté par la crainte épidémique, crainte qui induira une reconsidération massive et durable de la nécessité du voyage aérien. Le dimensionnement des infrastructures aéroportuaires et leur viabilité économique devront donc inévitablement être revus, au risque d’actifs échoués. En d’autres termes, la lutte contre le réchauffement climatique et la remise en cause de l’hypermobilité nous obligent plus que jamais à envisager la décroissance du trafic aérien ou, a minima, son plafonnement. Cela doit amener logiquement à l’annulation de l’ensemble des projets d’extensions aéroportuaires en France et au plafonnement du trafic aérien national. Tout plan de relance en ligne avec les objectifs climatiques et efficace économiquement ne saurait venir abonder financièrement une des sources majeures du réchauffement climatique, ni venir soutenir des infrastructures, qui, immanquablement, deviendront des actifs échoués, comme c’est le cas des projets de terminal 4 à Roissy-CDG ou du projet d’extension de l’aéroport de Nice, pour n’en citer que deux parmi la quinzaine recensée en France. Il s’agit d’ailleurs d’une des recommandations émises par le bureau européen du WWF pour qui « les plans de relance ne doivent pas soutenir des activités nuisibles telles que les industries fossiles (…,), les infrastructures aéroportuaires et automobiles » (Building Resilience: WWF Recommendations for a Just & Sustainable Recovery after Covid-19, 7 avril 2020). C'est également la recommandation du Réseau Action Climat qui demande "l’abandon des projets d’extension d’aéroports induisant une croissance du trafic." (https://reseauactionclimat.org/sauvetage-du-secteur-aerien-le-reseau-action-climat-demande-un-plan-de-transition-ecologique-et-sociale/)
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24/04/2020 12:03
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un arrêt définitif des extensions d'aéroports et un plafonnement du trafic aérien
Proposition du collectif Non Au Terminal 4 et de Stay Grounded Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et pour un plafonnement du trafic aérien national Si le secteur aérien est sujet à des difficultés économiques majeures, il ne peut être exonéré de sa responsabilité climatique sous prétexte que cela constituerait un fardeau trop pénalisant dans l’optique d’une reprise économique, alors même qu’il est responsable de 5% du réchauffement climatique selon le GIEC, une fois tous ses effets pris en compte (traînées de condensation créées par la vapeur d’eau, gaz à effet de serre induits par les NOx..). D’autre part, la crise induite par la pandémie de Covid-19 pose la question des mobilités et de notre rapport au monde. Elle révèle l’inutilité de certains déplacements professionnels, mais aussi remet fortement en cause le tourisme de masse. Elle souligne l’apport pertinent du numérique pour réduire notre soif de mouvement. Ces effets entrent en résonance avec l’aspiration qui se fait jour à une « sobriété heureuse » dans nos modes de consommation et dont la crise actuelle et les crises écologiques sous-jacentes manifestent la pertinence. Dans le cas précis de l’aérien, celui-ci sera durablement affecté par la crainte épidémique, crainte qui induira une reconsidération massive et durable de la nécessité du voyage aérien. Le dimensionnement des infrastructures aéroportuaires et leur viabilité économique devront donc inévitablement être revus, au risque d’actifs échoués. En d’autres termes, la lutte contre le réchauffement climatique et la remise en cause de l’hypermobilité nous obligent plus que jamais à envisager la décroissance du trafic aérien ou, a minima, son plafonnement. Cela doit amener logiquement à l’annulation de l’ensemble des projets d’extensions aéroportuaires en France et au plafonnement du trafic aérien national. Tout plan de relance en ligne avec les objectifs climatiques et efficace économiquement ne saurait venir abonder financièrement une des sources majeures du réchauffement climatique, ni venir soutenir des infrastructures, qui, immanquablement, deviendront des actifs échoués, comme c’est le cas des projets de terminal 4 à Roissy-CDG ou du projet d’extension de l’aéroport de Nice, pour n’en citer que deux parmi la quinzaine recensée en France. Il s’agit d’ailleurs d’une des recommandations émises par le bureau européen du WWF pour qui « les plans de relance ne doivent pas soutenir des activités nuisibles telles que les industries fossiles (…,), les infrastructures aéroportuaires et automobiles » (Building Resilience: WWF Recommendations for a Just & Sustainable Recovery after Covid-19, 7 avril 2020). C'est également la recommandation du Réseau Action Climat qui demande "l’abandon des projets d’extension d’aéroports induisant une croissance du trafic." (https://reseauactionclimat.org/sauvetage-du-secteur-aerien-le-reseau-action-climat-demande-un-plan-de-transition-ecologique-et-sociale/)
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24/04/2020 11:00
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un arrêt définitif des extensions d'aéroports et un plafonnement du trafic aérien
Proposition du collectif Non Au Terminal 4 et de Stay Grounded Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et pour un plafonnement du trafic aérien national Si le secteur aérien est sujet à des difficultés économiques majeures, il ne peut être exonéré de sa responsabilité climatique sous prétexte que cela constituerait un fardeau trop pénalisant dans l’optique d’une reprise économique, alors même qu’il est responsable de 5% du réchauffement climatique selon le GIEC, une fois tous ses effets pris en compte (traînées de condensation créées par la vapeur d’eau, gaz à effet de serre induits par les NOx..). D’autre part, la crise induite par la pandémie de Covid-19 pose la question des mobilités et de notre rapport au monde. Elle révèle l’inutilité de certains déplacements professionnels, mais aussi remet fortement en cause le tourisme de masse. Elle souligne l’apport pertinent du numérique pour réduire notre soif de mouvement. Ces effets entrent en résonance avec l’aspiration qui se fait jour à une « sobriété heureuse » dans nos modes de consommation et dont la crise actuelle et les crises écologiques sous-jacentes manifestent la pertinence. Dans le cas précis de l’aérien, celui-ci sera durablement affecté par la crainte épidémique, crainte qui induira une reconsidération massive et durable de la nécessité du voyage aérien. Le dimensionnement des infrastructures aéroportuaires et leur viabilité économique devront donc inévitablement être revus, au risque d’actifs échoués. En d’autres termes, la lutte contre le réchauffement climatique et la remise en cause de l’hypermobilité nous obligent plus que jamais à envisager la décroissance du trafic aérien ou, a minima, son plafonnement. Cela doit amener logiquement à l’annulation de l’ensemble des projets d’extensions aéroportuaires en France et au plafonnement du trafic aérien national. Tout plan de relance en ligne avec les objectifs climatiques et efficace économiquement ne saurait venir abonder financièrement une des sources majeures du réchauffement climatique, ni venir soutenir des infrastructures, qui, immanquablement, deviendront des actifs échoués, comme c’est le cas des projets de terminal 4 à Roissy-CDG ou du projet d’extension de l’aéroport de Nice, pour n’en citer que deux parmi la quinzaine recensée en France. Il s’agit d’ailleurs d’une des recommandations émises par le bureau européen du WWF pour qui « les plans de relance ne doivent pas soutenir des activités nuisibles telles que les industries fossiles (…,), les infrastructures aéroportuaires et automobiles » (Building Resilience: WWF Recommendations for a Just & Sustainable Recovery after Covid-19, 7 avril 2020). C'est également la recommandation du Réseau Action Climat qui demande "l’abandon des projets d’extension d’aéroports induisant une croissance du trafic." (https://reseauactionclimat.org/sauvetage-du-secteur-aerien-le-reseau-action-climat-demande-un-plan-de-transition-ecologique-et-sociale/)
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24/04/2020 10:33
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour un arrêt définitif des extensions d'aéroports et un plafonnement du trafic aérien
Proposition du collectif Non Au Terminal 4 et de Stay Grounded Pour un arrêt définitif des extensions d’aéroport et pour un plafonnement du trafic aérien national Si le secteur aérien est sujet à des difficultés économiques majeures, il ne peut être exonéré de sa responsabilité climatique sous prétexte que cela constituerait un fardeau trop pénalisant dans l’optique d’une reprise économique, alors même qu’il est responsable de 5% du réchauffement climatique selon le GIEC, une fois tous ses effets pris en compte (traînées de condensation créées par la vapeur d’eau, gaz à effet de serre induits par les NOx..). D’autre part, la crise induite par la pandémie de Covid-19 pose la question des mobilités et de notre rapport au monde. Elle révèle l’inutilité de certains déplacements professionnels, mais aussi remet fortement en cause le tourisme de masse. Elle souligne l’apport pertinent du numérique pour réduire notre soif de mouvement. Ces effets entrent en résonance avec l’aspiration qui se fait jour à une « sobriété heureuse » dans nos modes de consommation et dont la crise actuelle et les crises écologiques sous-jacentes manifestent la pertinence. Dans le cas précis de l’aérien, celui-ci sera durablement affecté par la crainte épidémique, crainte qui induira une reconsidération massive et durable de la nécessité du voyage aérien. Le dimensionnement des infrastructures aéroportuaires et leur viabilité économique devront donc inévitablement être revus, au risque d’actifs échoués. En d’autres termes, la lutte contre le réchauffement climatique et la remise en cause de l’hypermobilité nous obligent plus que jamais à envisager la décroissance du trafic aérien ou, a minima, son plafonnement. Cela doit amener logiquement à l’annulation de l’ensemble des projets d’extensions aéroportuaires en France et au plafonnement du trafic aérien national. Tout plan de relance en ligne avec les objectifs climatiques et efficace économiquement ne saurait venir abonder financièrement une des sources majeures du réchauffement climatique, ni venir soutenir des infrastructures, qui, immanquablement, deviendront des actifs échoués, comme c’est le cas des projets de terminal 4 à Roissy-CDG ou du projet d’extension de l’aéroport de Nice, pour n’en citer que deux parmi la quinzaine recensée en France. Il s’agit d’ailleurs d’une des recommandations émises par le bureau européen du WWF pour qui « les plans de relance ne doivent pas soutenir des activités nuisibles telles que les industries fossiles (…,), les infrastructures aéroportuaires et automobiles » (Building Resilience: WWF Recommendations for a Just & Sustainable Recovery after Covid-19, 7 avril 2020). C'est également la recommandation du Réseau Action Climat qui demande "l’abandon des projets d’extension d’aéroports induisant une croissance du trafic." (https://reseauactionclimat.org/sauvetage-du-secteur-aerien-le-reseau-action-climat-demande-un-plan-de-transition-ecologique-et-sociale/)