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04/05/2020 22:43
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Nouvelle proposition à La consultation
La science et les universités
Problème : nos universités françaises ne sont pas référencées dans les premières dans les rankings internationaux (Shanghai qui est la référence ultime pour le classement mondial) ou très peu (un labo de génétique sur Paris). Donc nous ne sommes pas crédibles et cela attire peu de chercheurs internationaux. Idée : - les postes universitaires sont à vie. Donc si un labo a besoin de MCF, HDR ou de Pr, il va être très très très prudent à l'embauche et ne sélectionner que des "copains" (népotisme), des jeunes peu dangereux pour garder leur pouvoir (et leur faire voter ce qu'ils veulent en réunion de pôle) ou sélectionner les "bons à tout faire" qui feront le boulot à la place des titulaires. A l'étranger se sont des postes d'1, 3 ou 5 ans renouvelables => c'est plus sérieux et dynamiques (les embauchés travaillent vraiment). Donc transformer les postes de titulaires en CDI ou CDD renouvelables. - Transformer la sélection des MCF/HDR/Pr : la sélection par la CNU ne pose aucun problème car il n'y a pas d'enjeux (Ça a l'air sérieux). Mais quand arrive le passage de la sélection sur dossier par l'université puis par le passage devant la CDS, cela devient n'importe quoi. Auparavant le doctorant s'est engagé, en signant une lettre éditée par son école doctorale, à demander un poste de MCF à l'issu de sa soutenance, et il doit démissionner de tous ses postes extérieurs à l'université pour entrer en doctorat. Et puis, le doctorat dans la poche, nombre de docteurs n'arrivent pas à obtenir un poste MCF à cause des raisons évoquées plus haut. Encore une fois fuite des cerveaux, suicide, dépression et changement de métiers. C'est grave nous formons des doctorants pour rien : on n'a pas le budget pour ça. Transformons ce parcours du combattant en reconnaissance de nos chercheurs. - L'université embauche nombres de VACATAIRES pour former les étudiants (CM même si c'est interdit et Td). Sur quels critères : Aucun, il suffit d'être le pote d'un titulaire. Pourquoi pas, cela n'empêche pas le vacataire d'être compétent. Alors donnons leur un vrai statut et faisons en sorte qu'ils soient les "bons à tout faire" avec des vrais CDD ou CDI et paye et statut allant avec, pour permettre aux titulaires de faire vraiment de la recherche. - Budget : là, le bas blesse... C'est la fuite des cerveaux à l'étranger, nous ne pouvons avoir assez de budget pour faire la recherche sauf si une entreprise ou un labo paye. Alors ! l'université n'est plus indépendante mais est à leur service. ce qui favorise es labo de biologie, médoc, génétique, physique... et les labos utiles pour l'évolution sociale : philosophie, psychologie, sociologie, lettres et arts. Cela est vraiment à revoir...
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04/05/2020 22:43
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04/05/2020 21:17
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Nouvelle proposition à La consultation
Arrêt de la pression sur les élèves et les parents
Problème : le confinement a permis de voir qu'une très grande majorité d'enfants ne voulaient pas aller à l'école/collège/lycée sauf pour y rencontrer leurs amis. Les parents ne supportent plus être obligés de faire faire les devoirs à leurs enfants et donc de se retrouver en échec s'ils sont analphabètes (15% de français) ou en position d'enseignants (c'est pas leur métiers) => cela génère des conflits insupportables dans les familles et favorise la violence physique et psychique (invisible) des parents sur les enfants engendrant suicides, scarifications, maltraitance, mauvaise image de soi... et une partie de ce qu'on appel "phobie scolaire". La vie de famille est plombée par l'école. Dommage... car c'est un outil extraordinaire qui donne la Liberté mais peu de personnes le comprennent. idée : - Arrêt des devoirs à la maison. mais cette fois-ci VRAIMENT. C'est déjà interdit depuis quelques décennies par le ministère de l'éducation nationale MAIS au niveau des directeur(trice)s ce n'est pas suivis et encore bien moins par les instit et les parents qui sont dans la course à la perfection de leurs enfants (normal). - Prendre exemple : sur les pays du Nord (Suède, Finlande, Angleterre) à propos du respect de l'enfant. apprendre dans la joie et adapté à leur demande => ce qui veut dire limiter le nombres de jeunes par classe (20). - Accepter de ne pas être dans un rapport de domination maître/élève et des fois d'être apprenant de ce qu'apporte l'enfant et favoriser l'apprentissage par le jeu. - Faire des classes avec beaucoup plus de passerelle pour arrêter les niveaux (CP CE1 CE2...) demandé depuis des décennies par le ministère avec les cycles qui ne sont pas du tout respectés. Ainsi on évite les "redoublements" et les "saut de classe" ainsi que la course au meilleur entre les enfants (écho parental et sociétal). - Formation des enseignants sur la psychologie de l'enfant et du jeune, et, sur le fonctionnement groupal (une classe est un groupe). - Handicap : tout dépend lequel... Intégrer plus d'enfants en fauteuil, aveugle ou sourds, ils ne sont pas débiles mais avec un handicap physique, j'en n'ai jamais vu des classes de mes enfants.... Étrange non ? Mais les autistes y ont droit alors qu'une partie des Troubles Du Spectre Autistiques ne peut pas du tout être intégrée (dixit paroles de mes ami(e)s instit ayant cette population à charge). - Former les ATSEM : les pauvres se sont des personnes venant de la mairie et donc non formées...
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04/05/2020 17:18
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Nouvelle proposition à La consultation
Refonte des diagnostics psychiatriques et psychologiques et réponses
Le problème : Notre société souffre d'un manque d'adaptation entre le mal être et la souffrance vécus des personnes, et, la réponse donnée (les thérapies médicamenteuses et les thérapies de rééducation et à court terme). L'origine de cette réponse provient de diagnostics inadaptés poser par les médecins psychiatres et médecins généralistes pour certaines souffrances psychologiques. La réponse première devrait être une vraie évaluation du problème psychologique. Ils ne sont pas tous comme aujourd'hui des troubles de l'attention, de l'autisme ou du haut potentiel intellectuel. Je comprends bien qu'il y ait une économie importante pour les laboratoires et les coach mais cela ne résout pas le problème psychologique de fond. Les personnes tournent en rond et cela créé une population française mal dans sa peau et toujours en quête de bonheur (alors que nous sommes la 5ème puissance mondiale). Le problème diagnostic rapidement, concerne : - La dépression confondue avec le deuil, un instant de la vie où la personne cherche sa voie et plus grave l'adolescence. - L'autisme largement confondu avec la timidité, les personnes haut potentiel intellectuel (HPI). - Les HPI (au-delà de 130 de QI) confondus avec les personnes dans la norme, les autistes et sont déclarés souvent ayant des troubles de l'attention. - Le trouble de l'attention confondu avec l'angoisse (mot qui n'existe plus dans les critères de la fameuse bible internationale DSM). C'est un vrai problème de compréhension des pathologies et de confusion avec les troubles, c'est ainsi que les médecins (généralistes et psychiatres) y perdent leur latin et posent des diagnostics inadéquats. Leur réponse est systématiquement médicaments et Techniques Cognotivo-Comportementales. Ils oublient qu'il y a, sous-jacent à ces pathologies, de l'angoisse qui peut être résolue rapidement quand on prend en compte ce que la personne a à dire de sa situation psychique et ainsi proposer des psychothérapies au lieu de commencer par des médicaments. Chimiothérapie qui engendre d'autres problèmes : accidents de la route, suicides, dépression, obésité... L'idée : - Créer un ordre des psychologue (comme au Canada) pour encadrer les pratiques et les tarifs. - Autoriser les psychologues cliniciens ayant un doctorat à faire les diagnostics au même titre que les médecins (à savoir un psychologue ayant un doctorat est un Ph.D càd ayant un niveau supérieur au médecin généraliste dans le monde entier sauf en France, et, en France le psychologue clinicien est le seul psychologue a être formé par l'université à poser des diagnostics). - Autoriser les remboursements des psychologues pour permettre aux plus démunis d'avoir accès aux cabinets privés (les Centres Médico-psychologiques CMP CMPP sont surchargés et dans le rendement ce qui n'arrange rien). - Renforcer les universités pour leurs enseignements de la psychologie clinique, discipline qui est démantelée aujourd'hui (elle va bientôt disparaître au profit du tout cognitif, neuropsychologique et développemental). - Développer une vraie nomenclature de diagnostic pour lutter contre la pression américaine du DSM organisé par l'APA qui est sous-tendue par les labo et la morale américaine. L'APA est l'organisme qui décide quelles sont les revues scientifiques internationales et de que sont les diagnostics. Malheureusement notre HAS et donc les ARS ne jurent que par le DSM et l'APA. Bon je vous parle chinois là... Mais c'est important. Références (les plus rapides) : - Lire les préfaces des différents DSM (du 1 au 5) - Science et vie de ce moi-ci p.30-33 "la tentation du surdiagnostic" (ils oublient aussi l'angoisse) - Chaîne YouTube sur DSM et TDAH PSYCHANTROPIE https://www.youtube.com/watch?v=_5fRIMZs5BY https://www.youtube.com/watch?v=6CKgFffMapc - Chaîne YouTube de France Télévision https://www.youtube.com/watch?v=cnPVDDPMsK8&t=4s - Site internet "Stop DSM" https://stop-dsm.com/fr/page/2/ Bon j'espère que mon intervention sera prise en compte. Bien à vous et portez vous bien. PS : J'oubliais : l'ordre des psychologues permettrait d'évacuer un tas de charlatants : coach de vie, thérapie du rire, microkinésie... Bref tous les pseudo métiers où psy est attaché pour éviter de faire des études et de ne pas être sous le coup de la loi 2011 qui encadre (enfin) les psychothérapeutes. Pour les psychanalystes c'est un autre débat : n'importe qui peut se déclarer à l'URSSAF comme psychanalyste sans avoir faire aucune étude ni parcours car le titre n'est pas encadré. Essayez.