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13/04/2020 15:57
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06/04/2020 18:37
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06/04/2020 13:22
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Nouvelle proposition à La consultation
Système de vote numérique étendu et polyvalent
Le discours politique, c’est l’art de convaincre. Il s’appuie à la fois sur la rhétorique et l’exploitation de biais cognitifs lors du discours populistes et démagogues. Bref, l’objectif est de convaincre simplement alors qu’il devrait être d’expliquer, d’enseigner et de questionner chacun. Malheureusement, les sujets abordés lors de débats télévisés, sur les tracts ou dans les journaux quotidiens posent rarement les contextes et les états de faits permettant à chacun de se faire une opinion éclairée. Ainsi avec quelques effets d’annonce, des chiffres plus ou moins exacts et des références hors de tout contexte, deux positions peuvent sembler se valoir lors d’un débat alors qu’en fait, l’une ou les deux sont juste irréalistes et mènent à l’élection de programmes simplement inapplicables. Pour empêcher cela, le vote devrait porter sur un programme plutôt qu’une personne. La procédure de vote se ferait en ligne (ou dans les mairies si besoin). Le programme serait présenté sur une page calibrée et modérée par une autorité indépendante (conseil d’état ou autre) afin d’ajouter des contenus économiques, scientifiques, écologiques, etc identifiables par le lecteur. Ceci dans le but que le lecteur ait une image d'ensemble avant de se prononcer hors du tumulte des débats. La lecture serait obligatoire pour passer au vote (vérification du temps de lecture). Le vote local ou national se ferait en plusieurs questions disposées le long de la lecture du programme : * les questions et les contenus additionnels seraient formulées par l’autorité indépendante et feraient l’objet d’un va-et-vient avec le soumissionnaire pour arriver à un résultat qui satisfasse les deux parties * une question serait liée au contexte personnel ou à l’interprétation d’un point du programme * elles seraient dynamiques en fonction de réponses précédentes * les réponses anonymisées à toutes les questions seront disponibles pour tout le monde * une question finale déterminera le choix du programme L’analyse de ces résultats permet une meilleure connaissance des motivations, une meilleure mesure de l’engagement dans les idées proposées et une meilleure compréhension du fond de la pensée des français. Cela apporterait de la subtilité et de profondeur à l’interprétation des résultats électoraux. Pour finir, ce modèle pourrait également convenir à des consultations nationales plus régulières au fil des mandats locaux et nationaux.
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05/04/2020 20:24
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05/04/2020 19:44
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Nouvelle proposition à La consultation
Engager le rééquilibrage de la sécurité sociale et préparer demain
Comme le montrent les comptes de la sécurité sociale https://www.securite-sociale.fr/files/live/sites/SSFR/files/medias/CCSS/2019/CCSS_RAPPORT-SEPT2019-tome%201.pdf ou ce reportage réalisé par Arte en 2016 https://www.youtube.com/watch?v=LBZlYJ1xFEQ , les causes de déséquilibre de la sécurité sociale sont connues et s’accentuent : * les maladies chroniques qui surviennent de plus en plus tôt avec une population qui vieillit et dont la durée de vie s’est allongée * la sur-médication et le manque de coopération entre les professionnels de santé. Souvent on compare le système de sécurité sociale de 2000 ou avant à celui d’aujourd’hui sans tenir compte de l’explosion du nombre de cancers et du nombre de traitements de maladies chroniques. Pour les cancers, il serait bien présomptueux et mal venu de prétendre avoir des solutions alors que les chercheurs scientifiques bossent sur ces sujets depuis des années. En revanche pour les maladies chroniques liées à l’alimentation et aux modes de vies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires), le diagnostique est généralement simple : * une alimentation trop riche * la sédentarité trop importante. Il serait compliqué d’obliger tout le monde à faire de l’exercice et de le contrôler. 1 - Cependant, interdire les produits industriels trop sucrés semble envisageable en votant une limite de taux de sucre dans les boissons (sodas) et dans les plats préparés. Ce sont généralement les produits les moins chers donc à destination des personnes à faibles revenus, il vaudrait donc mieux aider les classes sociales les moins aisées à accéder à de bons produits par des tickets restaurant familiaux que financer les traitements médicaux à postériori comme aujourd’hui. 2 - Pour finir, sans prétendre ré-organiser les rôles des médecins généralistes, des hôpitaux et des spécialistes (comme en Angleterre ou en Suède), seulement rendre obligatoire l'emploi du Dossier Médical Personnel par tous les professionnels de santé (avant et pendant tout acte) réduirait significativement et à court terme les frais médicaux, permettrait d’avoir une meilleurs supervisions individuelles des traitements reçus (cohérence, utilité) et surtout offrirait la possibilité d’ici quelques années à l’aide de traitements informatiques automatisés en combinant big data, analyses statistiques et intelligence artificielle, d’engager un nouveau type de recherche médicale basée sur l’analyse d’un historique médical fiable et disponible à grande échelle.
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05/04/2020 19:43
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Nouvelle proposition à La consultation
Engager le rééquilibrage de la sécurité sociale et préparer demain
Comme le montrent les comptes de la sécurité sociale https://www.securite-sociale.fr/files/live/sites/SSFR/files/medias/CCSS/2019/CCSS_RAPPORT-SEPT2019-tome%201.pdf ou ce reportage réalisé par Arte en 2016 https://www.youtube.com/watch?v=LBZlYJ1xFEQ , les causes de déséquilibre de la sécurité sociale sont connues et s’accentuent : * les maladies chroniques qui surviennent de plus en plus tôt avec une population qui vieillit et dont la durée de vie s’est allongée * la sur-médication et le manque de coopération entre les professionnels de santé. Souvent on compare le système de sécurité sociale de 2000 ou avant à celui d’aujourd’hui sans tenir compte de l’explosion du nombre de cancers et du nombre de traitements de maladies chroniques. Pour les cancers, il serait bien présomptueux et mal venu de prétendre avoir des solutions alors que les chercheurs scientifiques bossent sur ces sujets depuis des années. En revanche pour les maladies chroniques liées à l’alimentation et aux modes de vies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires), le diagnostique est généralement simple : * une alimentation trop riche * la sédentarité trop importante. Il serait compliqué d’obliger tout le monde à faire de l’exercice et de le contrôler. 1 - Cependant, interdire les produits industriels trop sucrés semble envisageable en votant une limite de taux de sucre dans les boissons (sodas) et dans les plats préparés. Ce sont généralement les produits les moins chers donc à destination des personnes à faibles revenus, il vaudrait donc mieux aider les classes sociales les moins aisées à accéder à de bons produits par des tickets restaurant familiaux que financer les traitements médicaux à postériori comme aujourd’hui. 2 - Pour finir, sans prétendre ré-organiser les rôles des médecins généralistes, des hôpitaux et des spécialistes (comme en Angleterre ou en Suède), seulement rendre obligatoire l'emploi du Dossier Médical Personnel par tous les professionnels de santé (avant et pendant tout acte) réduirait significativement et à court terme les frais médicaux, permettrait d’avoir une meilleurs supervisions individuelles des traitements reçus (cohérence, utilité) et surtout offrirait la possibilité d’ici quelques années à l’aide de traitements informatiques automatisés en combinant big data, analyses statistiques et intelligence artificielle, d’engager un nouveau type de recherche médicale basée sur l’analyse d’un historique médical fiable et disponible à grande échelle.
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05/04/2020 01:39
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Nouvelle proposition à La consultation
Une nouvelle grande distribution : éthique, écologique et publique (2/2)
[fait suite à la 1ère partie : https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/3/proposals/1194] De par le processus de commande en ligne et sans emballage, le marketing du packaging permet de son influence sur le consommateur. En ajoutant des données de composition et d’équilibre (partenariat avec Yuka par exemple), l’attention est portée sur la composition et non le contenant. Les conteneurs destinés à accueillir et transporter les commandes sont standardisés (ex: cagette en plastique dur) et consignés. La logistique : plus de déplacement pour aller faire ses courses, les courses viennent à vous. Cela paraît contre intuitif mais il se trouve que laisser un ordinateur planifier les livraisons permet d’optimiser les distances parcourues. Un seul véhicule collectif remplace plusieurs véhicules personnels en polluant moins. Aussi, la professionnalisation du métier permet d’imposer des restrictions plus fortes sur les véhicules à utiliser (consommation, rejets) ou encore le mix des moyens de transport à mettre en œuvre par zone (dans les grandes villes, acheminement par barges dans le centre et livraison par véhicules électriques). La législation est un facteur clé d’évolution rapide sur ce point. En comparaison, même avec des subventions à la reprise, le renouvellement du parc automobile particulier français est estimé à plus de 12 ans. Solution technique : la mise en oeuvre d'une plateforme ouverte qui régit l’échange avec les vendeurs et les transporteurs. Elle ne vend pas directement mais promeut, enrichit et met à disposition les produits sous forme d’api publique. Ainsi, chacun (entrepreneur ecommerce/mcommerce) peut vendre les produits sur un site ou une application. La plateforme, elle, doit être détenue par un organisme d’état pour assurer un fonctionnement juste. Sa rémunération se fait par le flux financier de paiement (paiement en ligne) et gère le reversement aux producteurs. Le site où l’application qui vend un produit se voit reverser une commission d’affiliation. Il est important que la promotion du service aupres des consommateurs soit rémunérée. En extension, les attributions de la plateforme peut être étendue à la gestion des dates de péremption et la collecte/répartition de produits perimés à destination des associations.
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05/04/2020 01:38
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Nouvelle proposition à La consultation
Une nouvelle grande distribution : éthique, écologique et publique (1/2)
Trois objectifs sont poursuivis ici, une promotion de la consommation locale, la diminution de la pollution liée aux emballages et de celle liée aux transports. Le confinement nous a prouvé que consommer local, c’est possible, l’offre existe même si elle est peu organisée et peu visible pour la majorité des consommateurs. Aussi on a vu que la logistique de la livraison à domicile fonctionne aussi bien pour les courses hebdomadaires que pour les achats classiques en ligne. Afin d’éviter la multiplication des initiatives locales sans assez de visibilité pour être accessible au consommateur lambda, il est souhaitable d’organiser publiquement une structure, une plateforme mutualisée pour les producteurs (vendeurs) qui prend en charge un certain nombre de services indispensables à une utilisation de masse. Ainsi grâce à cette plateforme, on assure qu’aucun intermédiaire privé ne s’accapare la rémunération des producteurs. Les produits : ils sont choisis en ligne par le consommateur lors de la commande. La plateforme choisit l’emplacement géographique d’approvisionnement (ayant du stock) le plus efficace (proximité, coût, disponibilité, répartition/partage de la demande). Elle soumet la demande au vendeur. Si elle est acceptée, la commande est validée si non un autre vendeur est contacté. Pour les produits frais, un rayon geographique maximal variable de production délimite l’accès à un produit afin d’empêcher la présence des produits frais qui proviennent de pays ou continents voisins). Les produits sont vendus en vrac et la commande est préparée par le vendeur. On parle en premier lieu de produits frais mais le système est adapté à tous les produits de grande consommation (Transformation des grandes surfaces en plateforme de préparation de commandes avec des produits en vrac). Les emballages : en grande distribution, ils servent à promouvoir le produit (pousser les gens à l’acheter), éviter/dissuader le vol et grouper les produits (pour proposer les tarifs plus intéressants si on achète en plus grosse quantité). Dans le cadre d’une préparation de commande par le vendeur, il n’est pas nécessaire d’avoir de packaging (pas de marketing, pas de vol). Si besoin, les produits peuvent être rangés dans des sacs en papier pour faciliter l'organisation. La modulation de prix par quantité peuvent être appliquées dès la commande en ligne. [suite sur la page https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/3/proposals/1195]
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05/04/2020 01:37
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Nouvelle proposition à La consultation
Une nouvelle grande distribution : éthique, écologique et publique (2/2)
[fait suite à la 1ère partie : https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/3/proposals/1194] De par le processus de commande en ligne et sans emballage, le marketing du packaging permet de son influence sur le consommateur. En ajoutant des données de composition et d’équilibre (partenariat avec Yuka par exemple), l’attention est portée sur la composition et non le contenant. Les conteneurs destinés à accueillir et transporter les commandes sont standardisés (ex: cagette en plastique dur) et consignés. La logistique : plus de déplacement pour aller faire ses courses, les courses viennent à vous. Cela paraît contre intuitif mais il se trouve que laisser un ordinateur planifier les livraisons permet d’optimiser les distances parcourues. Un seul véhicule collectif remplace plusieurs véhicules personnels en polluant moins. Aussi, la professionnalisation du métier permet d’imposer des restrictions plus fortes sur les véhicules à utiliser (consommation, rejets) ou encore le mix des moyens de transport à mettre en œuvre par zone (dans les grandes villes, acheminement par barges dans le centre et livraison par véhicules électriques). La législation est un facteur clé d’évolution rapide sur ce point. En comparaison, même avec des subventions à la reprise, le renouvellement du parc automobile particulier français est estimé à plus de 12 ans. Solution technique : la mise en oeuvre d'une plateforme ouverte qui régit l’échange avec les vendeurs et les transporteurs. Elle ne vend pas directement mais promeut, enrichit et met à disposition les produits sous forme d’api publique. Ainsi, chacun (entrepreneur ecommerce/mcommerce) peut vendre les produits sur un site ou une application. La plateforme, elle, doit être détenue par un organisme d’état pour assurer un fonctionnement juste. Sa rémunération se fait par le flux financier de paiement (paiement en ligne) et gère le reversement aux producteurs. Le site où l’application qui vend un produit se voit reverser une commission d’affiliation. Il est important que la promotion du service aupres des consommateurs soit rémunérée. En extension, les attributions de la plateforme peut être étendue à la gestion des dates de péremption et la collecte/répartition de produits perimés à destination des associations.
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05/04/2020 01:36
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Nouvelle proposition à La consultation
Une nouvelle grande distribution : éthique, écologique et publique (1/2)
Trois objectifs sont poursuivis ici, une promotion de la consommation locale, la diminution de la pollution liée aux emballages et de celle liée aux transports. Le confinement nous a prouvé que consommer local, c’est possible, l’offre existe même si elle est peu organisée et peu visible pour la majorité des consommateurs. Aussi on a vu que la logistique de la livraison à domicile fonctionne aussi bien pour les courses hebdomadaires que pour les achats classiques en ligne. Afin d’éviter la multiplication des initiatives locales sans assez de visibilité pour être accessible au consommateur lambda, il est souhaitable d’organiser publiquement une structure, une plateforme mutualisée pour les producteurs (vendeurs) qui prend en charge un certain nombre de services indispensables à une utilisation de masse. Ainsi grâce à cette plateforme, on assure qu’aucun intermédiaire privé ne s’accapare la rémunération des producteurs. Les produits : ils sont choisis en ligne par le consommateur lors de la commande. La plateforme choisit l’emplacement géographique d’approvisionnement (ayant du stock) le plus efficace (proximité, coût, disponibilité, répartition/partage de la demande). Elle soumet la demande au vendeur. Si elle est acceptée, la commande est validée si non un autre vendeur est contacté. Pour les produits frais, un rayon geographique maximal variable de production délimite l’accès à un produit afin d’empêcher la présence des produits frais qui proviennent de pays ou continents voisins). Les produits sont vendus en vrac et la commande est préparée par le vendeur. On parle en premier lieu de produits frais mais le système est adapté à tous les produits de grande consommation (Transformation des grandes surfaces en plateforme de préparation de commandes avec des produits en vrac). Les emballages : en grande distribution, ils servent à promouvoir le produit (pousser les gens à l’acheter), éviter/dissuader le vol et grouper les produits (pour proposer les tarifs plus intéressants si on achète en plus grosse quantité). Dans le cadre d’une préparation de commande par le vendeur, il n’est pas nécessaire d’avoir de packaging (pas de marketing, pas de vol). Si besoin, les produits peuvent être rangés dans des sacs en papier pour faciliter l'organisation. La modulation de prix par quantité peuvent être appliquées dès la commande en ligne. [suite sur la page https://lejourdapres.parlement-ouvert.fr/processes/lejourdapres/f/3/proposals/1195]