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13/04/2020 12:56
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13/04/2020 12:43
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Nouvelle proposition à La consultation
Soutenir les actions qui permettent d'apprendre autrement
Combien d’élèves se trouvent en grande difficultés scolaires ? ! Et combien de ces enfants et jeunes savent qu'ils sont capables de soulever des montagnes ? Ils sont trop peu nombreux à avoir confiance en eux et à oser prendre des initiatives. La musique, le cinéma, la danse, le sport (et bien d'autres disciplines) permettent d'apprendre autrement. Faire un film documentaire, par exemple, c'est réfléchir et analyser une situation, faire des recherches sur une personne, une situation, un lieu. C'est écrire une histoire (ou un scénario), écouter et comprendre l'autre différent de soi. C'est trier les informations obtenues et c'est raconter une histoire. En résumé, c'est un très bel exercice de français, d'histoire-géographie et d'éducation civique et citoyenne. C'est aussi la possibilité d'apprendre à travailler ensemble, en groupe, en respectant les règles de cinéma, et de se découvrir des capacités (artistiques, techniques, relationnelles, etc). Mais c'est avant tout, une rencontre et des émotions : de quoi marquer les esprits. L'outil audiovisuel est un excellent moyen de motiver la jeunesse. Il fait rêver, donne envie et révèle des élèves, qui jusque-là, n'osaient pas prendre la parole. Pourquoi ne pas intégrer systématiquement à l'enseignement, des actions interdisciplinaires d'intervenants extérieurs qui travailleraient en collaboration avec les équipes éducatives des écoles, collèges et lycées ?
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13/04/2020 12:20
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Nouvelle proposition à La consultation
Soutenir les associations en finançant l'emploi de leurs intervenants
Aujourd'hui, la France peut compter sur un tissu associatif solide dans bien des domaines (social, médical, éducation ...). Il est un véritable soutien à l’État. Cependant aujourd'hui, de partout, les acteurs du terrain se plaignent qu'il est de plus en plus difficile de monter des projets car les financements réduisent comme peau de chagrin. Mais le plus dramatique, c'est que le temps accordé à rechercher ces subventions (qui ne sont pas automatiquement acquises) est considérable. Les associations ne se sentent pas valorisées. Le temps qu'elles passent à tenter d'obtenir les fonds nécessaires à la mise en place d'actions, les accapare et leur fait perdre de leur efficacité. Elles devraient pourtant être libérées de ces contraintes administratives et pouvoir se consacrer aux bénéficiaires des actions. Pourquoi l’État ne financerait-il pas des emplois pour toutes les associations solidaires et donc utiles à la vie de la société ? Des emplois qui ne se justifieraient qu'une ou deux fois par an, par un écrit relatant les actions menées et les résultats obtenus. Les associations pourraient alors enfin atteindre leurs objectifs et se concentrer sur les valeurs qu'elles défendent !