-
04/05/2020 02:25
-
Nouvelle proposition à La consultation
La politique française et cette plateforme
Sur le constat de la participation populaire assez faible (trop faible à mon goût) au sujet de cette consultation, je me permets d'utiliser cet espace pour formuler ce qui est plus une conclusion qu'une proposition, à moins de recevoir celle-ci comme un conseil un peu généraliste. Mais juste avant de formuler cette conclusion, je voudrais signaler le fait que les propositions retirées par les utilisateurs restent néanmoins visibles intégralement, avec la mention rouge "Retirée", (y compris pour des utilisateurs ayant supprimé leur compte !) bug qui constitue hélas une infraction à la la liberté de modifier ou retirer une information laissée sur internet. Cette précision étant faite, je vais être assez bref : j'ai tenu à participer à l'initiative car j'estime qu'on ne peut pas se plaindre de ne pas être écouté et en même temps laisser passer l'opportunité de s'exprimer. Néanmoins, sachez-le : le peuple (en tout cas une partie) n'est pas dupe. En effet, l'absence flagrante de certaines rubriques (malgré la possibilité d'en proposer - au passage je salue ce degré de liberté qui est appréciable) n'est pas un oubli anecdotique quand on sait que la plateforme est proposée par des élus. Entre l'absence de grand thème "entreprises", "souveraineté", "immigration", "justice" et la rubrique "Europe" livrée en kit avec sa commission européenne en production de série, dans la continuité parfaite et insouciante du dogme mondialiste, tout ceci en dit long sur le moule idéologique dans lequel la classe politique actuelle s'obstine à s'enferrer et enferrer avec elle une population précarisée, livrée aux conséquences désastreuses de la mondialisation, que la crise du coronavirus a pourtant bien mise à mal. Si ces dogmes ne sont pas remis en question, si le baratin continue, la situation ne pourra qu'empirer (et dans des proportions non négligeables, vous aurez noté l'euphémisme). Dans cette perspective, j'espère que les contributions présentes sur cette plateforme vous seront réellement utiles.
-
04/05/2020 02:25
-
04/05/2020 01:41
-
Nouvelle proposition à La consultation
Sur la non-justice et le délitement de la société
Comme tant d'autres cataclysmes qu'on ne remarque vraiment que lorsqu'ils nous touchent, le sujet du pourrissement du système judiciaire français est à considérer avec le plus grand sérieux. Entre l'impunité totale qui sévit à la fois en haut (politiques, hommes d'affaires, corrompus de tous horizons...) et en bas (criminalité banalisée, racaille...), ce pays ne sait tout simplement plus ce que signifie le mot justice. Et avec une police utilisée d'une bien curieuse manière par le premier banquier de France (le mot serait plus exact que Président), c'est un grand tableau chaotique qui se dessine devant nous, année après année, acquittement après acquittement, vice de procédure après vice de procédure, relâchement après relâchement, meurtre après meurtre, corruption après corruption, agression après agression, etc... etc... Ici, pas besoin d'inventer de nouvelles lois, il suffit d'appliquer celles qui existent. On pourra néanmoins rayer d'un grand coup de stylo-feutre la loi Dati / Taubira qui nous permet aujourd'hui d'avoir la grande joie de croiser dans la rue notre agresseur de la veille. Il y a du boulot !
-
04/05/2020 01:27
-
Nouvelle proposition à La consultation
Les raisons de l'effritement de la solidarité
En terme de solidarité, le projet macronien est un bon point de départ... il suffira pour chaque mesure de réaliser exactement l'inverse de ce qui a été fait. Aider les petits plutôt que les puissants, réduire les inégalités sociales, revaloriser de manière très significative les salaires de tous les postes "réellement utiles" qui se sont assez bien illustrés dans cette crise sanitaire, voilà un bon point de départ, rien de très compliqué finalement. Alors, les lois mathématiques nous obligeant assez logiquement à faire des choix, et ne pouvant aider la Terre entière (avec l'argent des travailleurs français, rappelons-le), il va de soi que parmi les tabous qui ont encore la peau dure, celui de l'immigration doit être entièrement démonté. Il faut limiter l'immigration à vingt-mille entrées par an, tous domaines confondus. Suppression de l'acquisition automatique de nationalité et du regroupement familial. Comment aider les pays du tiers monde dans ces conditions, me direz-vous ? En arrêtant de spolier leurs ressources par exemple. En arrêtant de participer aux guerres illégales de l'OTAN aussi, cela peut être une aide encore mille fois plus précieuse, avec également un arrêt des ventes d'armement léger et lourd aux pays soutenant le terrorisme. Vous voyez, les pistes sont nombreuses. Car au lieu de compter une classe moyenne capable de se montrer solidaire envers les plus petits et à l'intérieur d'elle même, nous avons une classe moyenne précarisée, taxée, à bout de souffle, qui se retrouve dans le besoin de bénéficier d’une solidarité qui ne vient jamais. Malheureusement pour elle, cette classe-là ne rentre jamais dans les bonnes cases. C’est cette France là qui voit ses aînés faire les poubelles et ses cadets craindre pour leur avenir, cette France qui meurt dans l’indifférence générale et qui n’a jamais d’association politisée pour la défendre.
-
04/05/2020 00:50
-
Nouvelle proposition à La consultation
UE = non-souveraineté + lobbycratie intégrale
Nous ne sommes pas encore sortis de l'impasse européenne. Les billets précédents, tout comme l'énoncé de cette rubrique, le prouvent. Dans cet énoncé, le manque d'unité des nations européennes y est largement déploré. Alors que la liberté britannique valide totalement le fiasco européen, on ne se résout pas à abandonner le dogme absolu : la religion de l'UE. Il n'y a PAS et il n'y aura PAS d'unité européenne car il n'y a PAS de PEUPLE européen, contrairement aux deux blocs que sont les USA d'un côté et la Chine de l'autre . La seule brique élémentaire de territoire propre à protéger son peuple est la NATION. Sur cette plateforme web, la rubrique Europe est construite comme si la continuité du fantasme européen était une évidence. Il faut au contraire un Frexit, qui ne supprimerait finalement que deux traités sur le millier qui nous lie déjà aux autres pays, comme le rappelle fort bien François Asselineau. Pas de quoi en faire un drame, donc (à moins de s'affairer à trahir l'intérêt national, il faut dire que ce sport est assez répandu en haut lieu depuis un demi-siècle). A contrario, la confiscation de souveraineté dûe à l'UE est une catastrophe pour le peu de démocratie qui nous restait avant d'y adhérer (de gré ou de force, cf le traité de Lisbonne). Rappelons que la commission européenne est le temple sacré bureaucratique de décisionnaires non élus, exposés de surcroît à l'influence des lobbies (une carte des lobbies à même été dressée par des associations à Bruxelles). Il faut mettre un terme à cette mascarade sans délai ni remord. Pour rappel, cette perte de souveraineté nous coûte tous les ans (à la louche) entre huit et neuf milliards d'euros en balance de contribution-subvention.
-
04/05/2020 00:20
-
Nouvelle proposition à La consultation
La France comme force maritime + élagage administratif
Nous pensons la France comme un hexagone, juste un hexagone, rien qu'un hexagone. Dans son livre "Reconquérir par la mer", préfacé par Jean Pierre Chevènement, Richard Labévière nous explique à quel point la France possède des ressources inestimables et nombreuses dans ses territoires maritimes, en plus d'avoir largement déconsidéré (pour ne pas dire abandonné) les DOM-TOM. Il y a donc une démarche globale de prise de conscience de ces atouts cachés ou injustement boudés, et des mesures concrètes pour le développement des économies et atouts géostratégiques pour servir l'intérêt national tout en améliorant la qualité de vie de nos concitoyens d'Outre-Mer, alors totalement impliqués dans le projet national. Outre cela, il faut en finir avec le mille-feuille administratif. Comme le département constitue la brique élémentaire cohérente, avec une répartition quasi-parfaite sur le territoire national, il convient assez logiquement de supprimer les régions (ou de n'en garder qu'une simple représentation symbolique). Les compétences seront à redistribuer selon la nature de chaque sujet (un tri peut-être fait à l'occasion pour alléger les dépenses des collectivités, dans une logique globale de chasse aux gaspillages). Quant aux employés administratifs, ils sont à réorienter le plus pertinemment possible, et bien entendu non renouvelés.
-
03/05/2020 23:58
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pas de souveraineté = pas de démocratie
C'est une chose amusante que d'avoir pensé cette plateforme sans proposer de grande rubrique sur la souveraineté. Il ne peut y avoir aucune démocratie sans souveraineté, dans tous les niveaux. Une fois cet énoncé posé, le Frexit n'est plus un délire de gaulois réfractaire : il devient simplement évident. (Au passage, on y gagnera les 7 milliards d'euros annuels dans la balance de contribution à l'UE, ça tombe bien on a besoin de sous pour les services publics et les classes moyennes). Il faut une proportionnelle stricte à l'Assemblée Nationale et une suppression du Sénat qui fait doublon (nous avons beaucoup trop d'élus, et ça nous coûte un "pognon de dingue"). Il faut un audit des dépenses publiques et une transparence en la matière pour que chacun puisse bien se rendre compte de l'ampleur du gaspillage réalisé en son nom par bien des assemblées inutiles, pour financer des projets qui ne le sont pas moins. Audit des groupes d'intérêts pesant ou pouvant peser de manière illégitime sur les décisions gouvernementales (et il y a matière à faire !). Que le RIC soit adopté ou pas, (et à fortiori s'il l'était), nous devons remettre en question la centralisation parisienne là aussi typiquement française, car il n'est pas concevable de voter tout le temps pour tout et sur tout, si ce n'est pour des sujets locaux pour lesquels le citoyen est directement concerné.
-
03/05/2020 23:38
-
Nouvelle proposition à La consultation
La blockchain comme révolution numérique
Le mot blockchain est au mieux incompris, au pire totalement inconnu. Derrière ce mot se cache pourtant la machine révolutionnaire de l'internet de la transaction. L'écosystème "crypto" qui n'a pas cessé de se réinventer et se développer depuis le tout premier bitcoin, voit grandir en son sein une bulle spéculative à la hauteur de toutes les opportunités offertes par la puissance de la blockchain. D'abord hésitantes, les entreprises se ruent aujourd'hui les unes après les autres sur les possibilités infinies de la transaction conditionnelle, qu'on connait majoritairement à travers les "smart contracts ERC20" de la blockchain Ethereum. Les politiques, comme toujours, pris dans la lenteur d'une bureaucratie à la française, sont à la traîne... et tentent de légiférer sur un phénomène dont ils ne maîtrisent aucunement la portée. Que faire alors ? Déjà simplement s'intéresser au sujet, et se rapprocher d'experts (on a la chance d'avoir des pointures chez nous) tels que Owen Simonin. Il est aussi primordial de laisser à la blockchain être ce qu'elle est, c'est à dire un outil décentralisé, car son caractère démocratique et partagé est inhérent à sa nature. Dans un autre domaine, il faut une réelle réflexion sur la protection de la vie privée, débat qui ne doit pas être laissé entre la main de quelques géants de l'internet. La vie privée mais aussi les conséquences à terme du développement de l'intelligence artificielle et ses dérivés.
-
03/05/2020 23:22
-
Nouvelle proposition à La consultation
Des bases solides avant tout
Je vois beaucoup de propositions concernant la pédagogie ou des sujets périphériques à la question essentielle du contenu. Je vois trois axes prioritaires préalables à toute tentative d'amélioration ultérieure : - se recentrer sur les fondamentaux : savoir lire, écrire, parler, compter. Et quand je dis savoir écrier et parler, il est question ici du français, à l'exclusion de tout autre langue que l'élève pourra apprendre par la suite plus tard s'il le souhaite. - faire machine arrière sur la tendance qui consiste à tirer le niveau par le bas et accorder des diplômes qui ne valent plus rien à des élèves faisant 10 fautes par phrase. Remonter le niveau donc, globalement, sur les fondamentaux surtout. - réinstaurer ne serait ce qu'une simple base de discipline dans l'école, où les cours sont devenus de véritables scènes de foire, pour permettre à chacun d'apprendre dans de bonnes conditions. Engagement de la responsabilité des parents en cas de comportements problématiques et sanctions concrètes pour les concernés, car il est inacceptable qu'une poignée de récalcitrants empêche toute une classe d'apprendre, et c'est pourtant ce qu'il se passe depuis bientôt 20 ans. Enfin, outre ces quelques mesures, qui relèvent le plus souvent de l'évidence oubliée, il conviendra de repenser l'enseignement globalement, et la place de l'enseignant, dans la mesure où le savoir est désormais accessible massivement via internet (je pense ici aux cursus à partir du secondaire). Qu'on le veuille ou non, la distribution du savoir changera, à nous de le penser... ou de le subir. Ceci étant dit, un apprentissage de l'entrepreneuriat et à la gestion saine de l'argent me paraît être une bonne idée, à voir à quel moment ces questions peuvent être pertinentes à aborder. Petit bonus : mettre fin immédiatement à la propagande de la théorie du genre par des associations militantes dans les écoles.
-
03/05/2020 23:01
-
Nouvelle proposition à La consultation
Agriculture française et circuits courts
Les agriculteurs sont pris à la gorge... dans une guerre de compétitivité qu'ils ne peuvent pas gagner. Dans le même temps l'Etat renonce à l'interdiction du glyphosate... bref, dans tous les domaines, l'inverse de ce qu'il faut faire. Il faut un soutient concret à l'agriculture française, locale, ce qui entre forcément en contradiction frontale avec le dogme mondialiste de la mise en concurrence généralisée, la guerre de tous contre tous, qui a ruiné notre agriculture (et nos industries). Avec une politique bienveillante envers nos agriculteurs, on peut à partir de cette base fondamentale, orienter la tendance vers une agriculture plus respectueuse de l'environnement et des consommateurs, et aboutir à une réduction massive des pesticides. Il faut instaurer l'étiquetage OGM (réclamé depuis longtemps mais toujours mis sous le tapis des réformes - bizarrement). Interdiction des prospectus papier de la grande distribution. Incitation au végétarisme, sensibilisation au sujet des effets néfastes de la consommation de viande (facture écologique, énergétique, bien-être animal, etc...). Interdiction ferme des abattages rituels de quelque culte que ce soit. Décourager les transports multiples de bétail (élevage, abattage, découpage, distribution...). Détaxation des hydrocarbures à la pompe (les pseudo-élites parisiennes doivent arrêter de croire qu'on prend la voiture par snobisme), et mettre fin au dogme de la voiture comme première source de pollution. Reporter les taxes enlevées précédemment, sur les trajets en avion et bateau, plus gros pollueurs avec les industries. Et en bonus : au lieu d'asphyxier les "petits", il y a des millions d'euros à récupérer en amendes impayées par les grandes surfaces ayant été pourtant condamnées pour construction en absence de permis de construire ou élargissement illégal par rapport au taux d'occupation du terrain (cf. études et combats menés par l’association "En Toute Franchise").
-
03/05/2020 22:12
-
Nouvelle proposition à La consultation
Imperméabilité totale face au lobbying pharma
Ce n'est pas à proprement parler une proposition mais l'importance du sujet et les antécédents récents de notre triste époque m'obligent ici à souligner la base de la base d'une bonne politique, en matière de santé comme ailleurs, mais surtout dans la santé, j'ai nommé l'indépendance politique et la liberté d'agir en l'absence de tout conflit d'intérêts ! Il faut abroger la loi du 30 décembre 2017 sur les 11 vaccins obligatoires et exiger des labos qu'ils produisent des vaccins exempts de sels d'aluminium. [ et merci de s'abstenir de me présenter les études qui concluent que c'est sans risque ] Enfin, les métiers de la santé insuffisamment valorisés et croulant sous le travail jusqu'au burn-out méritent d'être bien mieux payés (ex: infirmiers, aides soignants, etc...). Il s'agit là encore d'une évidence.