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16/04/2020 14:58
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Nouvelle proposition à La consultation
Un moratoire immédiat sur l’élevage intensif
L’urgence éthique, climatique, environnementale, sanitaire et sociale impose d’engager notre pays dans une transition agricole et alimentaire, en s’attachant dans un premier temps à bannir les élevages intensifs qui confinent les animaux dans des bâtiments fermés, dans des cages, dans des bassins en béton, les forçant à vivre dans des conditions de promiscuité extrêmes. Un moratoire sur l’élevage intensif donnerait lieu à : - une interdiction immédiate des nouvelles constructions et extensions d’élevages n’offrant pas d’accès au plein air aux animaux ; - une interdiction totale de tout élevage n’offrant pas d’accès au plein air aux animaux au 31 décembre 2030. La nature du dispositif chargé de penser les modalités de mise en oeuvre de ce moratoire doit être inscrite dans la loi. Celui-ci permettrait de consulter l’ensemble des acteurs des différentes filières et de la société civile afin de préparer au mieux la sortie de l’élevage intensif et de construire un modèle plus durable, plus respectueux des animaux, de l’environnement et des humains.

L214
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L214 ÉTHIQUE & ANIMAUX montre les conditions de vie, de transport et d'abattage des animaux en s'appuyant sur des enquêtes filmées et accompagnées d'informations sourcées, soulève des questions éthiques reposant sur des arguments étayés et propose des solutions à mettre en œuvre aux niveaux politique et individuel.
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16/04/2020 14:58
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16/04/2020 14:57
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Nouvelle proposition à La consultation
Un plan concret de sortie de l’élevage intensif, avec accompagnement des personnes qui en dépendent ...
L’urgence éthique, climatique, environnementale, sanitaire et sociale impose d’engager notre pays dans une transition agricole et alimentaire : ces deux volets doivent être menés ensemble. Aujourd’hui, 8 animaux sur 10 sont confinés dans des élevages intensifs, sans accès à l’extérieur. Ce plan de sortie de l’élevage intensif doit être établi avec les objectifs suivants : - interdiction totale de tout élevage intensif au 31 décembre 2030 ; - réduction de la consommation de viande en France à moins de 24 kg par personne an d’ici 2030 ; - accompagnement des personnes qui en dépendent aujourd’hui vers des productions alternatives. La nature du dispositif chargé de penser les modalités de mise en oeuvre de ce plan doit être inscrite dans la loi.
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16/04/2020 14:56
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Nouvelle proposition à La consultation
Réintroduire l’éthique animale dans les programmes scolaires
Respect, tolérance, considération pour autrui : la défense des animaux est en phase avec les valeurs citoyennes de l’école. En prolongement de la loi Grammont, première loi historique de protection animale dans le droit français, l'éthique animale a figuré durant quarante ans dans les manuels officiels pour l'école primaire (de 1883 à 1923). Depuis, la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles dans le code rural - puis dans le code civil - invite à généraliser une éducation à l'éthique animale à l'ensemble du programme d'enseignement moral et civique (EMC), au moins une fois par cycle en primaire et en secondaire, fondée à la fois sur l’état des connaissances scientifiques et l’état de la législation. Dans ce contexte, les associations de défense des animaux doivent être reconnues comme des partenaires de l'Éducation nationale en matière d’éducation à l’éthique animale.
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16/04/2020 14:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Une végétalisation d’ampleur de l’alimentation en restauration collective publique ou privée
L’urgence éthique, climatique, environnementale, sanitaire et sociale impose d’engager notre pays dans une transition agricole et alimentaire : nous devons nous diriger rapidement vers une consommation essentiellement végétale, durable, saine, respectueuse de l’environnement, des animaux et des humains. Une augmentation progressive de la part de protéines végétales est nécessaire et envisageable. Elle permettrait un accompagnement et un encouragement à la modification des habitudes alimentaires. Cette ambition se traduirait par une diminution de la part des produits animaux à l’horizon 2030 (moins de 24 kg par personne par an, contre 85 kg aujourd’hui) dans la restauration collective publique ou privée, à travers l’introduction de repas végétariens ou végétaliens hebdomadaires et l’instauration d’une option quotidienne végétarienne ou végétalienne.
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16/04/2020 14:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Une végétalisation d’ampleur de l’alimentation en restauration collective publique ou privée
L’urgence éthique, climatique, environnementale, sanitaire et sociale impose d’engager notre pays dans une transition agricole et alimentaire : nous devons nous diriger rapidement vers une consommation essentiellement végétale, durable, saine, respectueuse de l’environnement, des animaux et des humains. Une augmentation progressive de la part de protéines végétales est nécessaire et envisageable. Elle permettrait un accompagnement et un encouragement à la modification des habitudes alimentaires. Cette ambition se traduirait par une diminution de la part des produits animaux à l’horizon 2030 (moins de 24 kg par personne par an contre 85 kg aujourd’hui) dans la restauration collective publique ou privée, à travers l’introduction de repas végétariens ou végétaliens hebdomadaires et l’instauration d’une option quotidienne végétarienne ou végétalienne.
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16/04/2020 14:53
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Nouvelle proposition à La consultation
Une végétalisation d’ampleur de l’alimentation en restauration collective publique ou privée
L’urgence éthique, climatique, environnementale, sanitaire et sociale impose d’engager notre pays dans une transition agricole et alimentaire : nous devons nous diriger rapidement vers une consommation essentiellement végétale, durable, saine, respectueuse de l’environnement, des animaux et des humains. Une augmentation progressive de la part de protéines végétales est nécessaire et envisageable. Elle permettrait un accompagnement et un encouragement à la modification des habitudes alimentaires. Cette ambition se traduirait par une diminution de la part des produits animaux à l’horizon 2030 (moins de 24 kg par personne par an, contre 85 kg aujourd’hui) dans la restauration collective publique ou privée, à travers l’introduction de repas végétariens ou végétaliens hebdomadaires et l’instauration d’une option quotidienne végétarienne ou végétalienne.