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30/04/2020 19:07
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30/04/2020 18:23
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21/04/2020 18:28
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Nouvelle proposition à La consultation
Remettre à plat la gestion des enseignants et de leur carrière
Un enseignant à l'Education Nationale devrait avoir droit à une véritable gestion de carrière. Pour cela il lui faut un interlocuteur qui le connaisse et auquel il puisse s'adresser. Qui a dit qu'il fallait rester professeur sa vie durant? En Finlande certains professeurs de collège sont à mi-temps et font un autre métier parallèlement (journaliste par exemple). Ainsi ils apportent leur connaissance du monde extérieur à l'école. Au royaume-Unis on peut postuler et passer un entretien, se valoriser pour obtenir un emploi d'enseignant dans un collège. On peut avoir d'autres responsabilités au sein de l'établissement. En tant que professeur je n'ai eu que 3 inspections en 19 ans (dont une avant de commencer à enseigner). Je n'ai jamais eu l'impression que toute mon activité* était connue et prise en compte dans l'évaluation (* évaluation innovante, partenariats européens: Erasmus, formation d'autres enseignants). C'est comme si ce que je faisais parallèlement y compris dans le cadre de missions au rectorat n'avait aucune valeur au moment de l'inspection (missions ne donnant aucun droit à la retraite par ailleurs). Qui plus est, en quoi un inspecteur qui n'a pas d'élèves et ne fait plus de cours depuis longtemps est-il à même de juger sur un cours de 55 minutes le travail d'un enseignant sur les 10 dernières années (depuis l'inspection précédente)? Il faudrait une évaluation bien plus régulière et tenant compte de tous les aspects du travail de l'enseignant. Au Royaume-Uni l'inspection couvre tout l'établissement (enseignants et direction) et dure une semaine ce qui laisse du temps pour discuter, présenter son travail, argumenter sur ses choix. Il est temps de tout remettre à plat et également de concevoir des carrières véritables pour les enseignants avec des possibilités de passerelles pour d'autres métiers ou fonctions, avec des possibilités pour postuler avec CV , lettres de motivation et entretiens. Pourquoi faut-il passer un concours dès que l'on veut changer de poste au sein d'un ministère? Les enseignants ont si peu de maîtrise sur leur carrière, si peu de possibilités, qu'ils doutent très souvent d'eux-mêmes et de leur capacités à rebondir dans d'autres univers. Tout semble fermé, en vase clos. Il est grand temps de faire le ménage et de risquer une plus grande porosité entre les métiers pour un enseignement plus ouvert sur le monde extérieur.
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21/04/2020 17:33
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Nouvelle proposition à La consultation
Une évaluation qui motive et non pas l'inverse
Les enseignants consacrent beaucoup de temps à l'évaluation qui, au mieux, est motivante pour l'enfant qui a une bonne note et est encouragé et, au pire, est démotivante et détourne l'enfant de l'école. Ce temps passé à concevoir, faire faire puis corriger les évaluations n'est pas consacré à l'apprentissage. Dans certains pays comme le Danemark, on évalue très peu. Ne pourrions-nous pas redéfinir la place de l'évaluation et la diversifier ? On peut imaginer plusieurs niveaux d'évaluation: l'élève par rapport à des pairs, l'élève par rapport à lui-même, les élèves en travail de groupe, le groupe classe au complet sur des critères dont certains pourraient être définis avec les élèves eux-même afin qu'ils construisent des objectifs en commun (apprendre à vivre ensemble). On peut aussi imaginer que les objets d'évaluation ne soient pas uniquement des connaissances mais aussi des compétences de toutes sortes (y compris sociales pour le progrès de tous et la reconnaissance des qualités de chacun). Je précise que en tant qu'enseignante j'ai participé à des expériences de type classe sans note.
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21/04/2020 16:30
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21/04/2020 16:22
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13/04/2020 14:33
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13/04/2020 13:53
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13/04/2020 12:44
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Nouvelle proposition à La consultation
La sobriété dans le numérique
Nous utilisons de nombreux objets connectés et jouissons de l'internet sans limites mais nous ne sommes pas formés ni véritablement informés de leur impact sur l'environnement. Il est urgent que chaque utilisateur soit informé et formé au plus tard lors de l'achat. Voir article CNRS : https://lejournal.cnrs.fr/articles/numerique-le-grand-gachis-energetique . Internet représente près de 10% de la consommation mondiale d'électricité et cela ne cesse d'augmenter. Pourquoi ne pas gérer et encadrer cet outil fort utile par des pratiques économes et des normes (par exemple: suppression automatique des mails de plus de 2?, 3? ans, encourager la mémorisation sur disques ou cartes mémoire plutôt que le Cloud, autorisations de mise sur le marché d'applis moins gourmandes en mémoire (exiger des logiciels plus aboutis), normes plus strictes de compatibilité entre matériels (smartphones, ordis, etc.) et entre logiciels (pour ne pas être esclave d'une marque ou d'un système d'exploitation ), plus grande durabilité et 'réparabilité' des matériels avec durée de garantie plus étendue (3 ans mini pour smartphone par exemple), plus de recyclage et moins de déchets (aujourd'hui seulement 18% des métaux utilisés dans un smartphone sont recyclés). Favoriser et valoriser la recherche pour remplacer les métaux rares qui sont nombreux dans nos smartphones (dont l'extraction via acide sulfurique, mercure et cyanure est particulièrement destructrice pour l'environnement).
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12/04/2020 14:28
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Nouvelle proposition à La consultation
Sobriété numérique
Nous utilisons de nombreux objets connectés et jouissons de l'internet sans limites mais nous ne sommes pas formés ni véritablement informés de leur impact sur l'environnement. Il est urgent que chaque utilisateur soit informé et formé au plus tard lors de l'achat. Voir article CNRS:https://lejournal.cnrs.fr/articles/numerique-le-grand-gachis-energetique. Un mail d'1 Mo équivaut à une ampoule de 60 Watts allumée durant 25mn selon F Berthoud. Internet représente près de 10% de la consommation mondiale d'électricité et cela ne cesse d'augmenter. Pourquoi ne pas gérer et encadrer cet outil fort utile par des pratiques économes et des normes (par exemple: suppression automatique des mails de plus de 2?, 3? ans, encourager la mémorisation sur disques ou cartes mémoire plutôt que le Cloud, autorisations de mise sur le marché d'applis moins gourmandes en mémoire (exiger des logiciels plus aboutis), normes plus strictes de compatibilité entre matériels (smartphones, ordis, etc.) et entre logiciels (pour ne pas être esclave d'une marque ou d'un système d'exploitation ), plus grande durabilité et 'réparabilité' des matériels avec durée de garantie plus étendue (3 ans mini pour smartphone par exemple), plus de recyclage et moins de déchets (aujourd'hui seulement 18% des métaux utilisés dans un smartphone sont recyclés). Favoriser et valoriser la recherche pour remplacer les métaux rares qui sont nombreux dans nos smartphones (dont l'extraction via acide sulfurique, mercure et cyanure est particulièrement destructrice pour l'environnement).
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12/04/2020 14:18
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Nouvelle proposition à La consultation
Sobriété numérique
Nous utilisons de nombreux objets connectés et jouissons de l'internet sans limites mais nous ne sommes pas formés ni véritablement informés de leur impact sur l'environnement. Il est urgent que chaque utilisateur soit informé et formé au plus tard lors de l'achat. Voir article CNRS:https://lejournal.cnrs.fr/articles/numerique-le-grand-gachis-energetique. Un mail d'1 Mo équivaut à une ampoule de 60 Watts allumée durant 25mn selon F Berthoud. Internet représente près de 10% de la consommation mondiale d'électricité et cela ne cesse d'augmenter. Pourquoi ne pas gérer et encadrer cet outil fort utile par des pratiques économes et des normes (par exemple: suppression automatique des mails de plus de 2?, 3? ans, encourager la mémorisation sur disques ou cartes mémoire plutôt que le Cloud, autorisations de mise sur le marché d'applis moins gourmandes en mémoire (exiger des logiciels plus aboutis), normes plus strictes de compatibilité entre matériels (smartphones, ordis, etc.) et entre logiciels (pour ne pas être esclave d'une marque ou d'un système d'exploitation ), plus grande durabilité et 'réparabilité' des matériels avec durée de garantie plus étendue (3 ans mini pour smartphone par exemple), plus de recyclage et moins de déchets (aujourd'hui seulement 18% des métaux utilisés dans un smartphone sont recyclés). Favoriser et valoriser la recherche pour remplacer les métaux rares qui sont nombreux dans nos smartphones (dont l'extraction via acide sulfurique, mercure et cyanure est particulièrement destructrice pour l'environnement).
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10/04/2020 16:07
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10/04/2020 15:56
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10/04/2020 13:15