-
11/05/2020 08:54
-
04/05/2020 19:08
-
Nouvelle proposition à La consultation
Cri de colère, cri d'espoir
Les responsables politiques de tous bords comme les représentants syndicaux ouvriers et patronaux, portent tous ensemble et conjointement une lourde responsabilité dans les faiblesses de la France. Alors que d'autres pays ont mieux réussi, grâce à leurs capacités à agir au sein de consensus pragmatiques, ils s'apprêtent d'ores et déjà, à ressortir leurs sempiternelles querelles idéologiques, voire chimériques, qui conduisent à d'incommensurables pertes de temps et d'efficacité. Ils continuent à scier la branche sur laquelle ils sont assis, mais qui tient encore grâce au support que lui apporte le tohu-bohu médiatique, avide de sensationnel et de polémiques. Depuis une trentaine d'années, la France, a progressivement perdu son rôle de leader tant au niveau européen que sur la scène internationale. Mesdames, Messieurs, qu'avez-vous fait de la France de Montesquieu, Rousseau, Voltaire…, de celle des inventeurs et des industriels, de celle des agriculteurs capables de nourrir l'Europe, de celle de l'instruction publique pour tous, de celle du Conseil de la Résistance qui a su unir les forces pour reconstruire le pays ? Les français se sont progressivement désintéressés de la vie politique, ont déserté massivement le syndicalisme, sans que vous ne réussissiez à remettre en cause vos stratégies d'action. Les soignants qui travaillent aujourd'hui, en France comme partout dans le monde, dans des conditions matérielles difficiles, au risque de leur santé, de celle de leur famille et même au péril de leur vie, sont néanmoins en train de gagner la bataille de l'action au service de l'intérêt général. Leurs armes : courage, abnégation, solidarité, patience, modestie, détermination, pragmatisme, efficacité. Mesdames et messieurs, vous tenez entre vos mains l'avenir de la France et le devenir des français, aussi fragile et précieux qu'une vie dans un service de réanimation. Cessez de vous draper dans vos certitudes partisanes et dans l'arrogance de ceux qui pensent détenir seuls la "Vérité". Prenez-en main ensemble, dans la richesse de vos diversités, les vrais outils de l'efficacité au service du bien commun, prenez soin de nous !
-
04/05/2020 18:56
-
04/05/2020 14:24
-
04/05/2020 14:13
-
03/05/2020 19:04
-
03/05/2020 18:53
-
03/05/2020 18:37
-
29/04/2020 08:57
-
Nouvelle proposition à La consultation
Les injustices de la fiscalité directe locale 2 - Fiscalité agricole
Les activités agricoles, exploitants et coopératives, bénéficient d'un régime dérogatoire en matière de fiscalité directe locale. Exonération de la taxe foncière sur les bâtiments à usage agricole et exonération de la contribution foncière des entreprises qui a remplacé la taxe professionnelle. Cependant ces activités sont utilisatrices des infrastructures et des services des collectivités territoriales (entre autres, la vitesse et le poids des engins agricole ont un impact lourd sur l'entretien des voiries). La taxe foncière leur les propriétés non bâties ne constitue quant à elle qu'une part minime de la fiscalité locale. Certes, de nombreuses exploitations agricoles survivent difficilement dans une situation très précaire, mais quand on regarde le patrimoine immobilier professionnel et le train de vie des certains autres, on y découvre aussi une faculté contributive indéniable. Quand aux coopératives agricoles, la plupart sont devenues d'importants consortiums financiers qui bénéficient en outre d'une exonération de l'impôt sur les sociétés. En revanche, petits commerçants et artisans, même en difficultés contribuent à la fiscalité locale dès le premier m2 de local affecté à l'usage professionnel. Une solution plus équitable consisterait à imposer tout le monde à ces contributions et à prévoir un régime d'exonération totale ou partielle sur la base, par exemple de la valeur ajoutée produite (les bilans ou la TVA permettent facilement de la déterminer et de la contrôler).
-
29/04/2020 08:33
-
Nouvelle proposition à La consultation
Les injustices de la fiscalité directe locale - 1 La taxe foncière
Le transfert de responsabilités et de charges de l'Etat vers les collectivités locales a donné une importance accrue à la fiscalité directe locale. la taxe foncière sur les propriétés bâties repose sur des principes des années 1970 et constitue pour les propriétaire une charge désormais en inéquation avec la réalité des biens qu'ils possèdent, donc source d'une profonde injustice. Les promesses de sa refonte n'ont fait que se succéder. Son principe de base repose sur des surfaces habitables "corrigées" et l'évaluation se fait sur la comparaison avec des locaux-types. la refonte de cet impôt s'est souvent heurtée à la nécessité de refaire déposer des déclarations à tous les propriétaires, mais est-ce bien utile ? les services administratifs disposent d'une base de données certes imparfaite mais globalement solide. Une redéfinition des locaux-types et des tarifs au m2, en supprimant au passage la correction des m2 additifs liés aux éléments de confort de base, aboutirait à une refonte suffisante de cette contribution pour la rendre plus équitable.
-
29/04/2020 08:18
-
Nouvelle proposition à La consultation
Et si on revenait au septenat ?
Une quasi unanimité pour passer du septennat au quinquennat avec alignement du mandat présidentiel sur le mandat des députés, au motif que ce système assurerait une meilleure stabilité politique. Belle démarche intellectuelle, mais qu'en est-il de la réalité ? Les gouvernements s'appuient sur la majorité parlementaire quitte à utiliser le 49-3 et l'opposition devient une opposition de principe tumultueuse qui ne prend que très peu de responsabilités dans les décisions. Anti-Sarkozisme, anti-Hollandisme, anti-Macronisme, polémiques en tous genres, nourries par la presse avide de sensationnel. Aligner le mandat de l'exécutif sur le mandat des députés neutralise la démocratie. Le gouvernement et la majorité législative se trouvent à l'abri de la motion de censure et l'opposition se complait dans le confort de sa position sans risquer du jour au lendemain de se retrouver devoir prendre à son tous les rênes du pouvoir. Les sempiternelles querelles qui en découlent ne font que freiner l'action des pouvoirs publics, le pays stagne quand il ne recule pas et a perdu son rôle de leader en Europe comme dans le monde. La différenciation dans la durée des mandats laissant en permanence planer le péril d'un renversement de situation et d'une cohabitation amènerait l'exécutif comme le législatif à agir de façon plus responsable et plus concertée. Le septennat a fait la force de la 5ème république jusqu'au jour où on l'a supprimé et où la France a décliné.
-
29/04/2020 08:17
-
Nouvelle proposition à La consultation
Et si on revenait au septenat ?
Une quasi unanimité pour passer du septennat au quinquennat avec alignement du mandat présidentiel sur le mandat des députés, au motif que ce système assurerait une meilleure stabilité politique. Belle démarche intellectuelle, mais qu'en est-il de la réalité ? Les gouvernements s'appuient sur la majorité parlementaire quitte à utiliser le 49-3 et l'opposition devient une opposition de principe tumultueuse qui ne prend que très peu de responsabilités dans les décisions. Anti-Sarkozisme, anti-Hollandisme, anti-Macronisme, polémiques en tous genres, nourries par la presse avide de sensationnel. Aligner le mandat de l'exécutif sur le mandat des députés neutralise la démocratie. Le gouvernement et la majorité législative se trouvent à l'abri de la motion de censure et l'opposition se complait dans le confort de sa position sans risquer du jour au lendemain de se retrouver devoir prendre à son tous les rênes du pouvoir. Les sempiternelles querelles qui en découlent ne font que freiner l'action des pouvoirs publics, le pays stagne quand il ne recule pas et a perdu son rôle de leader en Europe comme dans le monde. La différenciation dans la durée des mandats laissant en permanence planer le péril d'un renversement de situation et d'une cohabitation amènerait l'exécutif comme le législatif à agir de façon plus responsable et plus concertée. Le septennat a fait la force de la 5ème république jusqu'au jour où on l'a supprimé et où la France a décliné.
-
11/04/2020 09:45
-
Nouvelle proposition à La consultation
Une démocratie apaisée
Emmanuel Macron, puis les députés de LREM ont été élus dans un grand élan d'enthousiasme parce que les partis traditionnels de droite comme de gauche avaient profondément déçus dans leurs pratiques du pouvoir. Aujourd'hui, c'est le pouvoir en place qui déçoit. La France ne peut pas fonctionner de façon isolée, tant en Europe que dans le monde. Les gouvernements qui se succèdent depuis plusieurs décennies, n'ont pas pu réellement mettre en pratique les programmes sur lesquels ils ont été élus du fait de circonstances internes mais aussi et surtout européennes ou internationales. Démonstration est faite me semble t-il que ces programmes paraissant alléchants manquaient singulièrement de réalisme. Aujourd'hui, après la crise des gilets jaunes, après les mouvements sociaux liés à la réforme des retraites et après cette crise sanitaire inédite et mondiale, il va falloir reconstruire. Saura t-on, à gauche, à droite et dans les rangs de l'actuelle majorité, faire taire les idéologies empiriques auxquelles les politiques s'attachent pour s'unir sur les questions essentielles ? Relancer l'économie, préserver les plus faibles, tirer les leçons des effets de la mondialisation et s'attaquer enfin sérieusement au réchauffement climatique et à la pollution qui constituent une bombe à retardement moins spectaculaire mais aussi dangereuse que le covid-19. Sachons utiliser la stabilité de notre système démocratique en en gommant les excès et associer la population au travail des pouvoirs publics par une plus grande proximité des élus nationaux en charge d'écouter mais aussi de rendre compte objectivement et de façon transparente. Le changement primordial à faire dans notre pays c'est avant tout de changer l'état d'esprit et les pratiques des politiques.
-
11/04/2020 09:42
-
Nouveau commentaire à « Ruecracie » ou démocratie
Entièrement d'accord sur le principe
-
11/04/2020 09:20
-
11/04/2020 09:13
-
10/04/2020 09:11
-
10/04/2020 08:59