-
28/04/2020 09:13
Badges
-
27/04/2020 19:39
-
Nouvelle proposition à La consultation
Rétablissement du Service National et des Forces Territoriales de réserve
Dans le cadre de la "Guerre Covid" 2020 on note une prépondérance inappropriée du Corps Médical dans la lutte contre la Pandémie, et une absence plus que criante du "Peuple de France". De mon stage de 3 semaines en tant que réserviste à l'école N.B.C Caen, j'ai souvenir que le seul confinement un tant soit peu efficace est le confinement de zone avec sas entrée/sortie. La lutte contre la maladie, la définition des "limites à ne pas dépasser"(occupation des lits en réa), des soins, des recherches, du mode de propagation du virus, du transport des malades et de la circulation dans les zones hospitalières sont du ressort du corps médical et scientifique. La lutte contre la pandémie, en fonction de ces données scientifiques et médicale est d'ordre politique et social et s'appuie pour application sur les forces territoriales d'active et de réserve. Or on n'a plus de force territoriales de réserve en nombre significatif depuis la disparition du S.N. Ce confinement est impossible à réaliser pratiquement ou que ce soit faute d'effectifs. Dans le cadre de la pandémie Covid ou la menace est bidirectionnelle, une nouveauté ! de soi vers ses "proches" et de ses proches vers soi, le port d'un mouchoir devant la bouche partout, pour tous, tout le temps (y compris devant les micros, dans les studios, les vestiaires et les salles de pause...) est le seul confinement "personnel" qui me semble avoir du sens en ambiance "normale" (hors repas ...)pour une personne "asymptomatique, car il semble impossible de porter un masque quel qu'il soit 8h par jour et de travailler en même temps. En ambiance plus "lourde" (transports publics, hopitaux, service de voirie, présence de poussières ...), une protection plus adaptée doit être déclinée, bien sûr. Donc Rétablissement du Service National et des forces territoriales de réserves issues de toutes les couches de notre société pour la prochaine "guerre COVID 2 ou autre". 25% du temps passé sur les réseaux sociaux par une majorité de nos concitoyens devraient largement suffire.