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16/04/2020 18:35
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16/04/2020 18:32
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16/04/2020 18:19
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser l'éducation pour préparer aux besoins professionels
Je me demande à quel point notre système éducatif actuel n'endosse pas une part de responsabilité sur l'état de nos emplois aujourd'hui : en effet, est-ce que la formation de nos jeunes est réellement adaptée aux besoins actuels du monde du travail ? Est-ce que le résultat d'une dévalorisation des métiers que nous découvrons essentiels à l'occasion de cette crise (éboueurs, assistants hospitaliers, etc...) n'est pas lié à la dévalorisation des métiers d'apprentissage et des filières courtes d'études? Est-ce que notre retard dans les métiers de l'IA, contrairement aux pays asiatiques, n'est pas lié à un manque de formation prioritaire dès le plus jeune âge ? Est-ce "normal" et égalitaire de laisser aux écoles privées la possibilité de former des jeunes au codage, au langages web, etc., créant ainsi une fracture sociale numérique dès le plus jeune âge ? Est-ce normal de ne pas prendre en compte ce qui se passe dans le reste du monde, avec les méthodes d'enseignement alternatives, et de ne pas les appliquer de manière généralisée au sein de nos écoles, alors que ces mêmes méthodes ont fait leurs preuves, permettant à des jeunes de rentrer sur le marché de l'emploi en ayant confiance en eux et en sachant travaillant collectivement et non de manière compétitive ? Donc voici mes propositions pour aider les jeunes à envisager un futur professionnel plus adapté aux besoins de notre monde : - revaloriser les apprentissages des métiers de l'artisanat; - créer de véritables filières d'Etat dans les métiers de la transition écologique (de la permaculture à l'énergie), ce qui signifie instituer dans les matières obligatoires, dès le 1er cycle d'apprentissage, la connaissance et le respect de l'environnement; - revaloriser les filières courtes (BTS, Bac Pro, Apprentissages), ce qui redonnerait par la même occasion ses lettres de noblesse aux masters et Doctorats. - instituer dès le primaire des cours de codage. En effet, cet apprentissage est celui d'une langue. Il ne me paraît pas contradictoire avec le programme de l'EN d'instituer cette langue supplémentaire dans la liste des langues obligatoires. - revaloriser les formations (aussi bien théoriques que pratiques) dans l'agriculture, la permaculture, l'agro-foresterie, la botanique de manière à soutenir nos besoins en protection de la biodiversité et en alimentation saine. Tout ceci permettrait de créer des emplois : - dans la formation car un énorme besoin de professeurs professionnels serait nécessaire; - dans les métiers d'avenir (IA, les LowTech, les Hightech, l'écologie, la biodiversité, les énergies renouvelables...). - dans les métiers de l'artisanat; Donc ma question : pour agir concrètement sur l'emploi de nos jeunes, à quand une véritable réforme (pas celle qui demande de parler d'"objet scripteur" dans le code de l'EN à la place d'un stylo;-) de l'Education Nationale, des programmes, des méthodes d'apprentissage et des formations techniques ?
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05/04/2020 18:51
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05/04/2020 18:47
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05/04/2020 18:44
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05/04/2020 18:36
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Nouvelle proposition à La consultation
Arrêt définitif et total des pesticides : est-ce possible ?
Pourquoi ne pas préconiser l'arrêt pur et simple de l'usage des pesticides dans notre agriculture ? Quelles sont les forces en présence qui nous empêchent de prendre une telle décision alors que les impacts négatifs sur la santé ne sont plus à démontrer ? A quand un plan détaillé dans le temps de cet arrêt progressif ? Serait-on au bord de la famine si nous arrêtions ces pesticides ? Serait-il possible d'avoir un minimum de transparence sur ce dossier de manière à tendre vers une agriculture raisonnée qui aurait forcément un impact ultra positif sur la santé ?
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05/04/2020 18:30
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Nouvelle proposition à La consultation
La prévention au même titre que la guérison ?
Et si les méthodes alternatives (pratique du sport, toutes les méthodes liées à la gestion du stress, toutes les méthodes liées à une meilleure alimentation comme la diététique, naturopathie, etc...) étaient soutenues et remboursées, de manière à agir plus intensément en aval sur la prévention des maladies au lieu de n'agir qu'en amont. Nous réduirions ainsi le recours systématiques aux médicaments, nous créerions de l'emploi, nous agirions sur la qualité de vie de tous nos concitoyens. Certes, les laboratoires pharmaceutiques seraient moins gagnants, mais ne serait-ce pas intéressant d'envisager la santé dans son intégralité ?
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05/04/2020 18:23
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Nouvelle proposition à La consultation
Consommation raisonnée de médicaments
Et si nous ne consommions que ce dont nous avons besoin ? Lorsqu'un médecin prescrit une semaine de médicaments, la pharmacie ne nous donne qu'une semaine de médicaments (et non pas une boite entière), ce qui éviterait le gâchis économique et écologique que cela engendre. Les pays anglo-saxons le font depuis longtemps. Une bonne pratique à copier ?