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02/05/2020 17:35
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Nouvelle proposition à La consultation
Libérer les logements réservés à la location de courte durée
Le coût du logement prend une part trop importante dans le budget de la plupart des ménages, notamment chez les plus nécessiteux. Pour contribuer à baisser cette pression, il est nécessaire de remettre sur le marché des appartements ou maisons qui sont aujourd’hui réservés à la location de courte durée (type « AirbNb ») notamment dans régions ou villes en tension. Malgré les récentes lois qui sont plus contraignantes pour les propriétaires, il faut aller encore plus loin et faire en sorte qu’il devienne plus rentable de louer à l’année un bien plutôt que quelques jours par an. La location courte durée doit redevenir une façon de se faire un revenu d’appoint, mais non un business en tant que tel. Laissons ce business aux professionnels du tourisme.
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02/05/2020 17:35
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02/05/2020 17:27
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Nouvelle proposition à La consultation
Bonus / Malus énergétiques selon les revenus des ménages
Il est anormal d'avoir des tarifs énergétiques qui soient les mêmes pour tous : certains n'arrivent pas à se chauffer, alors que d'autres gaspillent sans compter. Il faudrait instaurer un principe de bonus/malus qui incite les particuliers à la sobriété et à un meilleurs partage : o Trouver la bonne formule pour que les personnes les plus vulnérables ne soient surtout pas impactées et que globalement l'augmentation du coût énergétique ne soit payé que par les plus fortunés. o Faire en sorte que les travaux de rénovations et toute action visant à réduire sa consommation d’énergie soient profitables aux particuliers dans les meilleurs délais (sortir du mode de subvention ou crédits d’impôts qui ont des effets pervers sur les prix pratiqués par leurs effets d’aubaine). « L’énergie est notre avenir, économisons-la ! », réellement. o Avec les recettes supplémentaires engendrées, mieux supporter les particuliers dans leur recherche d’économie, avec eux, sur le terrain. De nombreuses agences, associations, dispositifs existent, mais sont mal connus du grand public et, de ce fait, ont un impact trop limité. Mécaniquement, ce sont les personnes les plus aisées qui "contribuent" le plus au réchauffement climatique. Ils ont une dette envers la société dans son ensemble. Il faut aussi le faire savoir...
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02/05/2020 17:02
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02/05/2020 16:53
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Nouvelle proposition à La consultation
Halte au gaspillage à tous les étages
Il y a un potentiel énorme d’économie d’énergie très facilement réalisable, ne nécessitant pas ou peu d’investissement, mais juste la volonté de mettre en place une vraie chasse au gaspillage (par la loi). Tout comme il est nécessaire d’avoir des règles (et pénalités) sur la route afin de mieux vivre ensemble et sauver des vies, il est nécessaire d’instaurer des règles (et pénalités) pour lutter contre le gaspillage énergétique et préserver notre bien commun. Ce serait à la fois un gain d’argent et une sensibilisation des consciences. Quelques exemples flagrants de gaspillages (Il suffit juste de regarder autour de soi et se demander : est-ce bien nécessaire ?) - Les radians sur les terrasses extérieures des restaurants, bars et cafés. - Les enseignes lumineuses (et éclairage public) qui tournent toute la nuit alors que les magasins sont fermés - Les panneaux publicitaires rétro-éclairants et toute électrification de la publicité. - La sur-climatisation ou le sur-chauffage, notamment dans les espaces ouverts au public (centres commerciaux, aéroports, etc.) - et bien d'autres encore... il faut juste regarder autour de soit et se poser la question : est-ce bien utile ? quel est le plus pour la société ? Quand on est en état d'urgence climatique, il faut savoir prendre les décisions nécessaires et cohérentes avec le discours.
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02/05/2020 16:44
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Nouvelle proposition à La consultation
Vers un état français plus sobre et des élus exemplaires
Le train de vie de l’état et de ses élus, les dépenses publique, doivent suivre cette tendance de sobriété et de simplicité : on ne peut pas exiger des autres ce qu’on ne s’applique pas à soi-même. Il faut notamment en finir avec les parades et réceptions onéreuses, prendre des habitudes de transport moins énergivores et utiliser les technologies modernes de communication et prises de décisions. Les différentes propositions faites dans cette thématique "consommation et sobriété", nos élus (à quelque échelon que ce soit) doivent les faire siennes. C’est une simple question de crédibilité et d’adhésion au mouvement. Nul n’est parfait, mais on se doit de s’améliorer. L'ancien président uruguayen José Mujica doit être pris en exemple à ce sujet.
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02/05/2020 16:34
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Nouvelle proposition à La consultation
Du local, encore du local, toujours du local !
La consommation de bien produits localement a énormément de vertus, et cette proposition aurait pu être mise dans ne nombreuses thématiques. - Créer du travail localement - Favoriser des circuits courts, sans (ou peu) d'intermédiaire => les grands groupes et fonds financiers n'y sont pas présents - Pas ou peu de transport (bon pour le bilan carbone) - Qualité française garantie - Si un chinois tombe malade, ça ne met pas le monde entier sans dessus-dessous... Priorité aux produits de première nécessité, à commencer par l'alimentation. La législation française et européenne doit être revue en profondeur afin de laisser les énergies locales exploser (associations, entrepreneur, etc.). Les produits locaux doivent avoir une place prioritaire sur tous nos étales et être étiquetés comme tel. Les terres agricoles ne doivent plus être bétonnées... c'est un massacre qui nous prive de l'autonomie alimentaire dont nous avons besoin.
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02/05/2020 16:20
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Nouvelle proposition à La consultation
Retour de la vignette automobile indexée sur des critères judicieux
Le principe de pollueur - payeur est un principe de bon sens. Outre le principe de bonus/malus en vigueur sur l’achat de véhicules (on ne passe à la caisse qu'une seule fois), remettre en place le système de vignettes annuelles : leur coût serait calculé en fonction de la catégorie Crit’air du véhicule, du rejet de C02 et du revenu du foyer. L’argent récolté devra servir à aider les foyers les plus nécessiteux à acheter des véhicules moins polluants. On n’interdit pas l’achat de grosses cylindrées, mais on donne un coût réel à la pollution atmosphérique et on favorise l’achat de plus petites cylindrées (et les constructeurs français sont mieux placés que beaucoup de leurs concurrents). L’idée est que les véhicules les plus polluants de personnes à l’aise financièrement participent directement à la transition énergétique (de façon récurrente) et les fasse réfléchir à 2 fois sur leur impact écologique.
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02/05/2020 16:14
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Nouvelle proposition à La consultation
Progressivité des prix de l'énergie pour inciter à la sobriété
La hausse des tarifs des énergies est un très bon levier pour inciter à la modération. Par contre, celle-ci n’est pas supportable par tout le monde : Hausse pour les personnes à l’aise financièrement (qui généralement sont les plus gros consommateurs/gaspilleurs et de ce fait grands contributeurs du réchauffement climatique) et qui ont donc les moyens de payer et/ou d’investir dans des solutions qui leur permettraient de réduire leur consommation. Beaucoup ne font rien aujourd’hui, car ils ne s’y retrouvent pas financièrement. Seul le levier financier peut inciter ces personnes à agir. -Statu quo, voire baisse pour les personnes en difficulté afin qu’elles puissent vivre dignement. L’argent récupéré auprès des personnes à l’aise financièrement doit être investi pour supporter les personnes les plus vulnérables. De la fraternité ! L’investissement dans des solutions économes en énergie permet de retrouver de l’autonomie financière. C’est un investissement local qui contribue aussi à créer de l’emploi localement. Bien sûr, cela nécessite de passer outre certaines règles actuelles qui font que les prix de l'énergie ne dépendent pas du revenu. Mais les lois doivent s'adapter à leur temps et ses enjeux. Le conseil constitutionnel doit aussi en prendre conscience.
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02/05/2020 16:07
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Nouvelle proposition à La consultation
Orienter l'épargne des plus fortunés vers le développement durable
L’état français, surendetté (plus de 100% du PIB) ne peut suivre les besoins en investissements, sous penne de faire subir la dette à tous, pour des générations et des générations. De l'argent, un certain nombre de particuliers en ont, mais est souvent utilisé au développement d'une économie mortifère, pour le profit de quelques uns. Il faut la réorienter vers le développement durable, qui profite réellement à tous ((économie d’énergie, énergies renouvelables, agriculture bio, économie circulaire, santé, éducation, etc.). Par exemple : Abaisser les taxes sur les investissements ayant une contribution positive (critères évidemment à définir) Arrêter l’IFI (trop restrictif) et instaurer un « ISF » dont les recettes seraient intégralement investies uniquement dans le développement durable. Changer évidemment le nom, car l’idée n’est pas de taxer la fortune, mais d’investir (en France) dans un monde qui soit durable pour que nos enfants aient un avenir. Il conviendrait de laisser le choix aux particuliers, soit de payer cet impôt (c’est alors l’état qui gérerait la somme collectée), soit d’investir directement (à minima l’impôt qui serait dû) dans des projets ou entreprises reconnues par l’état (s’agissant d’un investissement, l’argent ne serait pas perdu pour les particuliers). Afin d’intéresser le plus de gens possibles et d’investir le plus massivement dans ces domaines, il est opportun d’abaisser le seuil de déclenchement (aujourd’hui à 1 300 000 € pour l’IFI).
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02/05/2020 15:54
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Nouvelle proposition à La consultation
Une TVA revisitée, prenant en compte les critères de santé, sécurité, environnement
Augmenter les taxes sur les produits de luxe (non essentiels, bien souvent polluants et par définition achetés par les personnes ayant les moyens => effet transparent pour les plus démunis) Abaisser les taxes sur les produits de première nécessité, tout particulièrement sur les produits non transformés par l’industrie agroalimentaire => meilleurs pour le pouvoir d’achat, la santé et l’environnement. Le tabac et l’alcool sont des fléaux : ils provoquent des cancers, sont coûteux à la sécurité sociale, assèchent le portefeuille des gens qui en sont dépendants. On leur fait la guerre depuis des années. La malbouffe est aussi un fléau : de nombreuses maladies en découlent et leur élaboration est écologiquement désastreuse. Il est urgent d’y faire aussi la guerre. Ce ne sont pas des produits de première nécessité et on peut aisément s’en passer : ils doivent être surtaxés (le triptyque gras, salé, sucré). Dès lors que ces produits repassent sous certains niveaux définis par des experts, on peut alléger la TVA.
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02/05/2020 15:47
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Nouvelle proposition à La consultation
Des quotas individuels de déplacement aérien
Sommes-nous réellement en état d'urgence climatique ou non ? Bien sûr que oui. Dans une telle situation, il ne semble pas anormal d'imposer des quotas sur des activités ultra-polluantes qui ont un impact majeur sur la vie de tous, mais pratiquées par une minorité. Pourquoi ne pas mettre en place des quotas individuels de déplacement aérien (ce n'est pas une activité vitale). En cas de dépassement, la note devra être salée et exponentielle selon le dépassement. Pourquoi ne pas réutiliser cet argent pour subventionner le développement de transports collectifs plus vertueux et qui bénéficieraient au plus grand nombre. Simple principe de "pollueur = payeur".