-
05/04/2020 23:21
-
Nouvelle proposition à La consultation
Migrations, solidarité et développement
En tenant les 2 bouts de la chaîne, entre dignité de l'accueil des migrants et développement de la coopération, on sort du débat mortifère entre pro et anti migrants, entre acteurs de la solidarité envers les migrants et l’impérieuse nécessité du développement des pays d’émigration Ceux que l'on nomme les "migrants de la misère", ne quittent pas leur territoire par gaieté de coeur avec tous les dangers que cela comporte, mais parce que c'est pour eux une question de survie. Les migrations économiques et les drames que cela engendre, ne pourront que s’amplifier avec les évolutions démographiques du continent africain, si on ne pose pas, avec force la question du développement des pays concernés. Il est temps que cesse enfin l’indifférence de l’Union européenne et des Etats, en premier lieu la France vis-à-vis de la corruption qui gangrène ces pays, freinant leur développement. Il y a urgence à lutter contre la corruption et les détournements de l’aide publique au développement. Il faut favoriser dans tous les territoires et collectivités le développement de coopérations décentralisées et de jumelages qui permettent par leur proximité de faire avancer des solutions aux problèmes rencontrés par les territoires partenaires,ainsi qu’une prise de conscience chez nos propres concitoyens des moyens à mettre en oeuvre pour avancer vers un monde plus solidaire et plus pacifique. Aucun territoire et aucune collectivité ne devraient être absents de cet effort de coopération et de solidarité.Il faut remettre au coeur des stratégies de coopération, le concept de co-développement Il est indispensable également de mettre en synergie et dans des stratégies partagées l’ensemble des acteurs de la coopération et de la solidarité. Il y a un potentiel de centaines de milliers d’acteurs qui agissent à l’international et dans le domaine de la coopération, souvent en ordre dispersé, quand ils ne sont pas en concurrence. Mettre en place dans chaque département un délégué auprès du Préfet chargé d’animer ce travail permettrait d'encourager les coopérations et de promouvoir des mutualisations entre tous les acteurs en lien avec les réseaux régionaux
-
05/04/2020 23:21
-
05/04/2020 22:49
-
Nouvelle proposition à La consultation
Coopération entre tous les acteurs de la santé dans chaque bassin de vie
Jusqu'à ces dernières semaines, il n'y avait vraiment peu de coopération entre le secteur public hospitalier et le secteur privé (cliniques et libéraux). La pandémie du covid 19 a contraint à cette coopération. Au sortir de celle crise sanitaire ne sera-t-il pas temps de mettre autour de la table tous les acteurs de la santé publics et privés, les administrations, les élus, les organisations syndicales et professionnelles, les associations d'usagers, les organismes de secours et de co-construire une réponse en terme de besoins à l'échelle du bassin d'emploi, de formation, de vie et de santé, de mutualiser les interventions, d’élaborer une charte de santé commune? A charge à l'Etat central d'apporter des réponses à ces besoins. J’en suis certain, on réglerait beaucoup de problèmes que rencontre actuellement l’organisation sanitaire dans les territoires
-
05/04/2020 22:39
-
Nouvelle proposition à La consultation
Une urgence et une priorité: la jeunesse, cause nationale et territoriale
L'immense majorité de la jeunesse dans sa diversité, y compris rural se trouve confrontée à une société qui ne lui ouvre pas les portes de l'avenir. Nous sommes face à une jeunesse française non seulement à deux mais même à trois vitesses. Plus d’un jeune sur deux cumule les «moins»: moins d’informations, moins de possibilités culturelles, moins d'éducation et de formation, moins d'emplois, moins d’activités extra-scolaires, moins de mobilité, Une telle situation a des conséquences désastreuses pour notre pays, sa stabilité, son dynamisme et sa cohésion sociale. Mettre les jeunes au coeur des processus de décisions, de leur faire confiance et de leur donner toute leur place est indispensable. Même là où il y a eu des actions jeunesse, elles se font sans la participation des jeunes à leur élaboration. Pour la jeunesse,c'est comme pour la démocratie, on en parle, mais on agit peu ou à la marge.Un pays qui sacrifie sa jeunesse n'a aucun avenir. L'URGENCE EST LA! Il est indispensable de participer ou d'initier dès maintenant des actions concrètes avec les jeunes pour leur apporter des solutions immédiates à leurs préoccupations quotidiennes. L'appropriation locale du pouvoir par les jeunes et les citoyen en général est déterminante. C’est la puissance démocratique et l'intervention des jeunes comme auteur et acteur des politiques publiques qu’il faut faire grandir. Elles seule peuvent donner confiance dans l'avenir et balayer ce désespoir mortifère. C'est à l'échelle du territoire, à partir de ses spécificités et de ses ressources que l'on peut avancer. Nous pouvons faire bouger les lignes dans le bon sens si on mobilise toutes les énergies et acteurs des territoires au niveau des bassin d'emplois, de formation et de vie. Il faut casser les murs et les chapelles, faire vivre la transversalité. En ayant la préoccupation constante de la jeunesse dans toutes les réflexions et initiatives,de multiples actions sont possibles. Il suffit d'en avoir conscience et l'ambition politique.
-
05/04/2020 17:34
-
Nouvelle proposition à La consultation
Le territoire, espace d'avenir pour les citoyens
Regarder en face une réalité responsable pour une part importante des difficultés et des blocages que connait la France et y apporter les solutions qui s'imposent. Il s'agit de la conception étatiste et centralisatrice des politiques publiques qui malgré la décentralisation maintient les doubles, voire les triples administrations, avec un Etat central omniprésent, y compris dans les compétences transférées aux collectivités. RENVOYER TOUTES SOLUTIONS VERS LE HAUT FREINE LE DYNAMISME DES ACTEURS DES TERRITOIRES. Le système institutionnelle est devenu de plus en plus complexe et figé, assorti parfois de concurrence entre les différentes strates administratives. Il stérilise la puissance créatrice et diverse des forces et initiatives citoyennes et alternatives présentes sur tous les territoire. Ce qui compte c'est libérer l’initiative individuelle et collective, pour construire une ambition commune pour faire face à l’ensemble des enjeux et défis. SORTIR DES LOGIQUES ETATISTES MORTIFERES, pour que notre pays retrouve du dynamisme. SORTIR DES DOUBLE ADMINISTRATION,de l'Etat et des collectivités. L'Etat central se concentre sur ses missions régaliennes et laisse les collectivités assumer pleinement leurs compétences avec les moyens adéquats. NE PAS PENSER LE DEVELOPPEMENT DE MANIERE IDENTIQUE PARTOUT.Les politiques, réfléchies à partir du centre (Etat), souvent par des urbains, sont vouées à l’échec. Il faut se donner des orientations générales valables pour tous les citoyens, mais adapter les règles de leur mise en oeuvre en fonction des réalités des territoires et de leur population. ENCOURAGER LE DYNAMISME DES TERRITOIRES ET LA PARTICIPATION CITOYENNE,que sont les communes et les intercommunalités, expression politique des bassins d'emplois, de formation et de vie, ainsi que celui des citoyens dans une conception autogestionnaire du développement avec un Etat non centralisateur et pourvoyeur de normes, mais favorisant les énergies citoyennes et territoriales On passe de la passivité à la responsabilité, de la résignation à l'action, de la colère à la construction de solutions. On apprend à coopérer, à agir et à construire du commun.
-
05/04/2020 16:48
-
Nouvelle proposition à La consultation
Préparer l'avenir dans tous les territoires, avec tous les citoyens pour construire du commun.
Dans un pays de 67 millions d'individus, aux multiples sensibilités et situations, aux idées fort diverses, aux convictions fort différentes, aux rêves et attentes multiples, vivant dans des territoires très différents, comment construire du commun et du vivre ensemble. Comment reconnecter les citoyens entre eux? Les évolutions indispensable ne pourront se faire que si les citoyens dans toute leur diversité, sont partenaires et co-auteurs de celles-ci. Sinon il y aura toujours le refus d'une partie des populations. Au lendemain de la crise sanitaire, cela ne pourra pas venir seulement du Parlement Les parlementaires devraient être au contraire, les garants et les facilitateurs de cette démocratie citoyenne dans leur circonscription. PROPOSITION Création d'une commission nationale, indépendante d'une durée d'un an, de 200 personnes regroupant des citoyens tirés au sort (40), des universitaires de différentes disciplines (40), des élus des différentes strates de collectivités de tailles diverses et des représentants des groupes politiques représentés au Parlement (40), des responsables d'associations, de syndicats et d'organisations professionnelles dont plus de la moitié devront venir de territoires urbains et ruraux envisagés autres que les grandes métropoles, dans toute leur diversité (40) et des membres d'administrations centrales, décentralisées et des différentes strates des collectivités (40), qui sera chargée d'animer par différents moyens (internet, réseaux sociaux, enquêtes, médias, kit de participation, questionnaires,etc), cette réflexion citoyenne. Dans chaque bassin d'emplois, de formation et de vie, le préfet, les parlementaires et des éllus, sans interférer dans la délibération citoyenne, organiseront la délibération et l'élaboration de préconisations entre acteurs et citoyens du territoire. Il sera mis en place à l'échelle de leur territoire un collectif indépendant d'acteurs et de citoyens animant la mobilisation.Avec un lien avec la commission nationale indépendante qui sera chargée de faire la synthèse régulière des remontées et une synthèse finale de propositions qui seraient soumises par référendum et/ou votées par le parlement.