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01/05/2020 19:02
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Nouvelle proposition à La consultation
L'économie sociale et solidaire, modèle incontournable pour le jour d'après
Les solutions pour le monde de demain existent dans celui d'aujourd'hui. L'écosystème français de l'économie sociale et solidaire (ESS), qui place l'humain et non le capital au cœur du projet, est fort d'un réseau de près de 3000 sociétés coopératives d'intérêt collectif (SCIC) et sociétés coopératives et participatives de production (SCOP). Enercoop, fournisseur coopératif d'électricité verte, et son réseau de 11 SCIC font partie de cet écosystème. Les SCIC et SCOP sont guidées depuis toujours par les principes suivants (repris dans le Manifeste des sociétés coopératives ci-joint) : - leur objet n'est pas de maximiser une valeur boursière mais de pérenniser des emplois. - les SCIC et SCOP n'appartiennent pas à quelques actionnaires mais majoritairement à ses salariés. - leurs salariés ne sont pas seulement informés mais participeront à la stratégie de l’entreprise. - les bénéfices ne sont pas au profit d’une minorité mais partagés équitablement avec tous les salariés. - l’argent n'est pas une finalité en soi, mais un moyen au service de l’humain. Dès sa création en 2005, Enercoop a fait le choix du statut de SCIC, forme juridique la plus appropriée à ses valeurs. De forme privée et d'intérêt public, le statut SCIC permet aux 11 coopératives réparties sur le territoire d’asseoir leur processus de prise de décision sur un modèle démocratique, décentralisé et transparent (1 personne = 1 voix), de réinvestir plus de la moitié des bénéfices dans le projet (en particulier dans de nouveaux moyens locaux et citoyens de production d'énergie) et de réunir l'ensemble des parties prenantes du projet (producteurs, consommateurs, salariés,...) au sein des collèges du conseil d'administration. Le jour d'après est déjà là !
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01/05/2020 19:02
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01/05/2020 19:02
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une transition écologique reposant sur des communautés énergétiques résilientes et ancrées loca...
Aujourd'hui, au travers de la dynamique de l’énergie citoyenne, les citoyens peuvent passer du stade de consommateur passif d'énergie à celui de consomm'acteur, en impulsant ou en participant à des projets collectifs locaux d'énergies renouvelables. L’énergie citoyenne peut être comprise plus largement comme une dynamique visant à permettre aux citoyens, aux collectivités et aux acteurs locaux (associations, entreprises) à se réapproprier, individuellement et collectivement, les moyens, les outils et les connaissances de production et de consommation d’énergie renouvelable dans une logique de transition énergétique, écologique, sociale et solidaire. Au-delà de sa plus-value écologique et climatique, le portage local et citoyen des projets a des bénéfices sociaux et économiques pour les territoires : - s'agissant de projets collectifs, ils développent des solidarités de proximité, entre citoyens, entre territoires ruraux et urbains, et donnent chair à la cohésion territoriale et au lien social. - ces projets n’ayant pas une finalité spéculative, les citoyens et collectivités peuvent y investir au service de l'intérêt général et favorisent des circuits courts financiers et de l'énergie. - les ressources consacrées à l'achat d'énergie ne quittent plus les territoires : bien au contraire les retombées économiques des projets de production d'énergies renouvelables bénéficient aux acteurs locaux, notamment dans les territoires ruraux, et contribuent à leur résilience. - les énergies renouvelables citoyennes s'appuient sur un modèle fortement décentralisé, nettement plus générateur d'emplois que la production centralisée d'énergie. Depuis sa création en 2005, Enercoop, fournisseur coopératif d'électricité verte, soutient cette dynamique en accompagnant l'émergence de projets de production portés par les citoyens et en rachetant l'énergie produite à des tarifs bonifiés afin de rendre possible leur sortie de terre et rentabilité. Une récente étude du mouvement Énergie Partagée recensait, en 2017, 300 projets citoyens en France, à différents stades de développement, contre 160 en 2014. Une réelle dynamique citoyenne est à l’œuvre au niveau local, que la France pourrait choisir d'accompagner et, qui plus est, d'aider à changer d’échelle. En effet, la France travaille actuellement à l'adoption en droit français de deux notions issues de textes européens : les communautés énergétiques citoyennes et les communautés d'énergie renouvelable. Les directives européennes posent un cadre très favorable, en reconnaissant un rôle central au citoyen dans la transition énergétique et en consacrant l'importance des retombées économiques, environnementales et sociales pour les territoires, qui doivent primer sur la recherche de profits financiers. Il est donc primordial que la France soit au rendez-vous et profite de cet exercice de transposition pour accélérer la dynamique de l'énergie citoyenne sur nos territoires. A cette fin, Enercoop, aux côtés de ses partenaires européens (REScoop.eu) et français (Energie Partagée), ont fait part à l'administration française de leurs propositions de définitions des communautés énergétiques (voir ci-joint).
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01/05/2020 18:20
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Nouvelle proposition à La consultation
L'économie sociale et solidaire, modèle incontournable pour le jour d'après
Les solutions pour le monde de demain existent dans celui d'aujourd'hui. L'écosystème français de l'économie sociale et solidaire (ESS), qui place l'humain et non le capital au cœur du projet, est fort d'un réseau de près de 3000 sociétés coopératives d'intérêt collectif (SCIC) et sociétés coopératives et participatives de production (SCOP). Enercoop, fournisseur coopératif d'électricité verte, et son réseau de 11 SCIC font partie de cet écosystème. Les SCIC et SCOP sont guidées depuis toujours par les principes suivants (repris dans le Manifeste des sociétés coopératives ci-joint) : - leur objet n'est pas de maximiser une valeur boursière mais de pérenniser des emplois. - les SCIC et SCOP n'appartiennent pas à quelques actionnaires mais majoritairement à ses salariés. - leurs salariés ne sont pas seulement informés mais participeront à la stratégie de l’entreprise. - les bénéfices ne sont pas au profit d’une minorité mais partagés équitablement avec tous les salariés. - l’argent n'est pas une finalité en soi, mais un moyen au service de l’humain. Dès sa création en 2005, Enercoop a fait le choix du statut de SCIC, forme juridique la plus appropriée à ses valeurs. De forme privée et d'intérêt public, le statut SCIC permet aux 11 coopératives réparties sur le territoire d’asseoir leur processus de prise de décision sur un modèle démocratique, décentralisé et transparent (1 personne = 1 voix), de réinvestir plus de la moitié des bénéfices dans le projet (en particulier dans de nouveaux moyens locaux et citoyens de production d'énergie) et de réunir l'ensemble des parties prenantes du projet (producteurs, consommateurs, salariés,...) au sein des collèges du conseil d'administration. Le jour d'après est déjà là !
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01/05/2020 17:33
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Nouvelle proposition à La consultation
La sobriété énergétique, pilier incontournable de la transition énergétique
L’accès à l’énergie est un besoin essentiel. Le modèle énergétique français est confronté à divers enjeux : raréfaction des énergies fossiles, dangerosité de l'énergie nucléaire, précarité énergétique et changements climatiques majeurs. Certains de ces enjeux sont particulièrement mis en lumière avec la crise sanitaire que nous traversons, comme la précarité énergétique. Chez Enercoop, fournisseur coopératif d'électricité verte, nous aspirons à un autre modèle, juste et soutenable : une société dans laquelle chacun.e peut accéder à une énergie 100% renouvelable, un modèle sobre en énergie, local, organisé dans le cadre d'une gouvernance démocratique. Pour tendre vers ces objectifs, Enercoop s'appuie sur le scénario négaWatt (https://negawatt.org/scenario/12-points-cles/emissions) qui soutient que nous devons réduire de plus de moitié la consommation énergétique en France, à travers la sobriété et l'efficacité énergétiques. Selon négaWatt, grâce aux actions de sobriété et d’efficacité, la consommation d’énergie primaire est réduite de 63 %, tout en maintenant un haut niveau de services. Un exemple concret de mesure ? La mise en oeuvre d'un programme ambitieux de rénovation énergétique des bâtiments, qui impliquerait l'interdiction à la location les passoires énergétiques, et l'obligation pour les propriétaires de rénover avant 2025 les logements avec une étiquette énergie F ou G.