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14/05/2020 23:40
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25/04/2020 18:37
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25/04/2020 17:10
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Nouvelle proposition à La consultation
Paris et la région parisienne
Paris est une des capitales les plus petites en terme de territoire et des plus densément peuplée. A cause du coût du logement, il y a de plus en plus de départs (vers la banlieue ou la province). Ces départs concernent surtout des familles, donc des classes ferment. La question des transports est cruciale malgré un bon réseau de transports en commun car la fréquentation est importante, le tracé des déplacements entre zones d'activités et zones résidentielles est souvent sur-fréquenté, les déplacements de banlieue à banlieue souvent difficiles, le télé-travail sans doute encore sous-développé. La pollution est très importante et la politique la concernant n'est pas assez établie en concertation entre Paris et la banlieue. La transition écologique est encore à l'état de balbutiement. Il y a beaucoup d'inégalités et également de grandes disparités entre Paris et les départements de la petite couronne comme cela est constaté entre les zones péri-urbaines et les villes. Au sein des quatre départements Paris, les Hauts-de-Seine, la Seine-St-Denis et le Val-de-Marne sont présents le département le plus riche de France et le plus pauvre de France, or il y a peu de concertations et d'échanges entre eux y compris au sein de la gestion de la région Ile-de-France. Je propose la réunion des quatre départements en une seule commune. Ce nouveau territoire aurait plus ou moins la taille de celle de Londres. On évite la multiplication des contrats passés entre Paris et les trois autres départements. On assure la politique communale sur l'ensemble de ce nouveau territoire : - repenser la politique de transport sur cette nouvelle échelle, - faire une seule académie scolaire - économiser des coûts en passant de 4 départements à une seule commune - éviter le passage de Paris vers une ville musée, comme l'est devenue Venise - repenser la politique de logements - faire de Paris une ville en pointe sur la transition écologique et sur l'économie circulaire - valoriser via l'éducation et la scolarité, l'apprentissage dans tous les secteurs d'activité, l'artisanat dans tous les secteurs (commerces de bouche, restauration, métiers du bois, tapisserie, métiers du luxe) pour valoriser les savoirs-faire et encourager la transition écologique en utilisant des matériaux non polluants - encourager l'installation des commerces qui vendent en vrac Faire de Paris une grande capitale à l'échelle européenne et internationale. Encourager les échanges avec la grande couronne et différentes régions via le jumelage, etc. Y encourager la démocratie participative et y maintenir le budget participatif. En passant de plusieurs centaines de communes à une seule et de 4 départements à un seul, il devrait y avoir des économies d'échelles pour le fonctionnement administratif. Changer le statut des territoires. Éventuellement revoir l'élection du maire de Paris avec suffrage direct si nécessaire. Impact positif sur la pollution atmosphérique car la politique serait envisagée de façon plus large que celle actuellement. Il faut en profiter pour repenser la place des femmes et notamment celles ayant la charge d'une famille monoparentale (plus nombreuses en agglomération parisienne). Quand cela est possible, encourager le télé-travail (à la maison ou en espace de co-working). Faire une meilleure redistribution des richesses au sein de ce nouveau territoire à l'attention des plus fragiles. Installer plus de crèches et de haltes garderies (prendre exemple sur le Vème arrondissement).
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25/04/2020 17:09
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Nouvelle proposition à La consultation
Rythmes scolaires
Je pense que les congés d'été ont une durée trop longue. En effet, c'est une rupture trop importante dans les apprentissages scolaires. Ces congés de deux mois, ne respectent pas le rythme biologique de l'enfant et impliquent pour les parents de mettre en place une organisation importante pour la garde des enfants. Je propose de réduire la durée des congés d'été à un mois plutôt que deux. Comment ? En installant un dispositif de zones comme pour les petites vacances scolaires : par exemple, une zone du 15 juin au 15 juillet, une zone du 15 juillet au 15 août et une dernière du 15 août au 15 septembre. Avantages : - Pour les enfants : meilleur respect du rythme biologique avec une rupture du rythme scolaire moins importante pour les enfants et possibilité de "lisser" plus facilement l'organisation des apprentissages sur l'année et la journée d'école et enfin augmenter le niveau d'apprentissage des enfants. - Pour les parents : moins de garde à gérer. Les parents divorcés se partageront un mois plutôt que deux, de la même façon qu'ils se partagent les quinze jours des petites vacances scolaires. - Pour le secteur du tourisme : la haute saison est étendue sur trois mois au lieu de deux. - Pour les enseignants : ce sera l'occasion d'augmenter leur salaire. En plus du respect du rythme biologique les capacités d'apprentissages des enfants devraient s'en trouver renforcées et donc le niveau scolaire sans doute augmenter. C'est donc aussi un pari positif pour le pays, que l'on retrouverait également dans les classements internationaux type Pisa. Il faut communiquer et lancer une concertation avec les enseignants pour les convaincre. La hausse du salaire peut être un des moyens. Cette période plus courte des congés d'été existe partout ailleurs et semble bien fonctionner. A court et moyen terme, c'est un investissement financier qui peut coûter cher à la collectivité au niveau de l'augmentation de salaire des enseignants. Mais à long terme, permet une meilleure réussite scolaire. Cet investissement financier pourra être contrebalancé avec une période de vacances scolaires allongée à 3 mois (plus de revenus liés au tourisme et donc de T.V.A.). Un seul mois de vacances d'été offre une aide importante aux mamans célibataires et qui n'ont pas de famille autour d'elles, ni de moyens suffisants pour faire garder leurs enfants pendant les deux mois.
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25/04/2020 17:08
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Nouvelle proposition à La consultation
Industrie du vêtement et haute-couture
L'industrie du vêtement est le deuxième secteur (après celui du bâtiment) le plus polluant. La pollution est liée à la consommation d'eau (12000 litres pour fabriquer un jean), le coût en matières premières, le transport (industrie qui n'est pas locale). De plus les conditions de travail ne sont pas bonnes dans les pays de fabrication. La haute couture, une spécifié française, ne sert plus que comme "locomotive" pour vendre les produits plus accessibles financièrement des marques de luxe (prêt-à-porter, parfumerie, maroquinerie, etc.). Concernant l'industrie du vêtement, il faut encourager des mesures qui reposent sur l'économie circulaire, la fabrication locale, valoriser l'apprentissage pour les métiers du vêtement, parvenir à en faire une activité professionnelle rentable en France malgrè le coût du travail plus élevé qu'ailleurs. L'activité de la haute couture tout en maintenant sa spécifité de luxe, d'élitisme, de main d'oeuvre très qualifiée doit avoir des liens avec l'industrie du vêtement que l'on pourrait réinstaller en France. Il faut en faire une vitrine mondiale en classant la haute couture française comme patrimoine mondial de l'humanité à l'UNESCO. Cette proposition qui tient compte de la tradition du luxe à la française et du savoir-faire serait assez originale pour la France. Cependant, on peut s'inspirer du bon fonctionnement des pratiques de l'apprentissage comme elles existent en Allemagne, de la maison Stella McCartney proche de l'environnement, et du projet de la ville de Paris qui souhaite encourager la mode durable.
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25/04/2020 17:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Transition écologique
Lancer dès maintenant, avec un objectif à long terme le passage, de notre société industrielle basée sur la consommation, à une société basée sur l'économie circulaire. Impliquer tous les acteurs : citoyen(e)s et hommes/femmes politiques, etc. +gestion des ressources et matières premières et pouvoir d'achat : -prendre en compte le concept du "sac à dos écologique" : permet de mesurer la quantité de ressources, matières premières et émission de CO² pour fabriquer un produit ou produire de la nourriture. Chaque objet, produit alimentaire ou non, devrait être accompagné d'une étiquette avec ces mentions (exemple : 12000 litres d'eau pour fabriquer un jean neuf). -inciter à l'achat d'objets de seconde main : le "sac à dos écologique" est neutre, le prix est moins cher et il n'y a pas de T.V.A. -privilégier toutes les matières premières recyclables, non nuisibles pour l'environnement. +gestion des déchets : -généraliser le compost, le tri des déchets -sensibiliser au Zéro déchet (dès l'école maternelle), généraliser les maisons du Zéro déchet -inciter au don et à la revente : par internet, Emmaüs, recycleries, etc. +biodiversité et bien être et droits de l'animal (élevage, sauvages, domestiques) -prendre toutes les mesures nécessaires pour préserver la bio diversité de la faune et de la flore, -animaux d'élevage : imposer le respect des conditions de vie des animaux d'élevage avec espace de vie suffisant, accès aux espaces extérieurs, interdire les longues et moyennes durées de transport, imposer les caméras dans les abattoirs. Imposer une étiquette sur tous les produits issus de l'élevage (alimentation et mode). Il faut assurer un accompagnement pour toutes les professions impactées par l'économie circulaire et notamment : - les commerçants et vendeurs car il y aura une baisse de production et de ventes de produits neufs - l'industrie de la mode avec la fin de la fast-fashion - les agriculteurs/éleveurs : les aider à se réorienter vers le raisonné, le bio, la perma culture - les abattoirs : les aider à respecter les animaux - les cirques : les aider pour maintenir leur activité de spectacle sans le dressage des animaux.