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08/04/2020 02:42
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Nouvelle proposition à La consultation
Transport aérien : L’intensité de la dépense énergétique par passager dépasse l’entendement
Les temps ont changé. « Les réserves ne peuvent être infinies dans un monde finit » est un constat Le transport aérien (TA) peut en être le symbole. Il transcende les exploits, mais aussi nécessite des moyens énormes. Les avions requièrent bcp de matériaux, Après 25 ans ils finissent aux cimetières. Sans kérosène, les avions ne voleraient pas. Pourtant ce sont de véritables citernes volantes. L’A380 au décollage c’est : 245 t carburant + 275 t carlingue + 40 t passagers. Pour les vols LC - AR, On est à x centaines de litres de carburant, et x tonnes d’émissions de CO2e, en (-) de 24 hres. A quoi sert le TA ? Il sert à + de 55 % aux loisirs des pays riches, ses pollutions dépassent les objectifs du GIEC, LE TA n'a que faire du RC, du CO2 que chaque passager émet en 24 h, ceci pour … 100 ans. Aucune aide ne devrait être consentie à un secteur qui a tt fait pr contourner les réglementations environnementales, alors que le climat est ds une situation d'urgence absolue. il convient de réserver nos ressources, aux seuls usages vitaux. Cela doit être clairement annoncé par les États, pour préparer les mesures de restrictions à venir. Le TA doit assumer ses contradictions : Soit il sait voler sans polluer, dans ce cas ses activités n'ont pas à être encadrées. Soit il prend des mesures pour dépolluer en tps réel, sous contrôle des scientifiques. Rappelons qu’il n'existe à ce jour pas de solution pour récupérer le CO2 émis. Les mesures du programme CORSIA1 relèvent de la communication pour déculpabiliser les clients. La seule solution est alors de payer pour polluer. Compte tenu des enjeux pour préserver le climat, ces couts ne doivent plus être symboliques. Ils devront être à la hauteur des investissements à réaliser pour décarboner les 900 millions de t CO2 /an. En application du principe de pollueur payeur : Le TA devrait prendre en charge les émissions passées depuis les 1eres alertes scientifiques. On estime qu'il convient de x2 le prix des billets. Quid d’une prochaine crise Afin de prévenir toute nvelle crise sanitaire, financière, énergétique... le TA devra se doter d'un plan et augmenter ses provision. En conclusion : Si des aides doivent être allouées au TA c’est pour anticiper la reconversion des emplois actuels vers d’autres secteurs (-) capitalistiques et (+) respectueux de l’environnement.
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