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17/04/2020 19:06
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une réforme de nos institutions représentatives et une participation populaire aux décisions le...
La crise exacerbe un problème récurrent dans notre pays : il compte trop de parlementaires, avec ses deux chambres, le Sénat et l'Assemblée nationale. Le Sénat est pour beaucoup une simple "chambre d'enregistrement" et non un "contre-pouvoir", où "pontifient" souvent "à vie" des politiques dont le coût de fonctionnement est très loin d'être négligeable pour la Nation eu égard à son utilité, d'autant qu'en outre il jouit d'avantages sociaux que beaucoup ne possèdent pas. L'Assemblé nationale compte trop de députés, et chacun le voit bien aux séances hebdomadaires, par le nombre "clairsemé" de ceux qui ont pourtant été élus pour "représenter" le peuple... Si l'A.N. parvient depuis des lustres à "fonctionner" ainsi, avec même pas un quart de ses députés dans l'hémicycle, c'est bien que les trois autres quarts sont parfaitement inutiles ! Il conviendrait donc, comme pour le Sénat (que le Général de Gaulle voulait carrément supprimer), de réduire drastiquement le nombre de députés, quitte à augmenter en parallèle un peu leur rémunération ! L'Etat au bout du compte, s'y retrouverait, par des économies substantielles ! Mais surtout, il faudrait que le peuple soit systématiquement associé et consulté - d'une manière ou d'une autre, à définir le plus justement - aux "grandes décisions", à celles qui engagent vraiment l'avenir, la vie et le bien-être de nos concitoyens ! Il y aurait ainsi schématiquement l'équivalent de "trois chambres" : le Sénat, les Députés, et le Peuple, ce qui rétablirait dans les "grandes décisions" l'équilibre démocratique qui fait tant défaut depuis très longtemps !
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17/04/2020 19:06
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11/04/2020 16:33
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser le système de prélèvements des cotisations sociales (maladie, vieillesse, etc)
Aujourd'hui comment fonctionne schématiquement notre système ? Les entreprises paient, sur chaque salaire, une part importante de "cotisations sociales patronales", qui se retrouve dans leur "masse salariale et sociale" et qu'elles déduisent dans leurs charges. Plus cette "masse" est importante, plus "petit" est le bénéfice (ou résultat) net fiscal de l'entreprise, et "plus petites" sont les recettes (d'impôt sur les sociétés p.e. pour l'Etat) . Plus cette "masse" est importante, plus "petite" est la "redistribution de salaires nets" aux employés et salariés de ces entreprises. De leur côté, ces derniers voient leurs propres salaires ainsi déterminés par les employeurs, amputés à leur tour de leurs cotisations sociales "salariales" ! Les résultats ? - la "compétitivité" de nos entreprises est largement grevée par une "masse salariale et sociale" élevée, qui se répercute dans les coûts de production - fabrication ; la "contribution fiscale" des entreprises aux "recettes de l'Etat" est moindre ; - le "pouvoir d'achat" des employés et salariés est largement "amputé" de cette "charge" patronale, en plus de la participation demandée à ces employés et salariés aux "charges sociales salariales". MON IDEE : - Ne laisser subsister les "prélèvements de cotisations sociales" que sur les salaires et ce, uniquement pour la part salariale, (publique et privée), quitte même à augmenter un peu les taux de ces cotisations ; - Exonérer les entreprises de toutes "charges sociales patronales" : les trésoreries de ces entreprises s'en trouveraient aussitôt améliorées ; en outre, et afin de compenser ou tout au moins "d'atténuer" l'augmentation de leur "résultat net imposable", par "l'effet-cliquet" qu'aurait la diminution de "leurs charges" ( de leur "masse salariale et sociale"), les entreprises pourraient ainsi décider "d'augmenter tous les salaires" et dans des proportions non-négligeables : ces augmentations de salaires seraient "tout bénéfice" pour les employés et salariés, qui verraient leur "pouvoir d'achat" augmenter de presque autant, presque car en contrepartie, ils paieraient plus de "cotisations sociales salariales", puisqu'ils percevraient des salaires ou traitements plus importants ! Les Caisses collectrices de l'Etat pour les branches maladies, vieillesse etc, ne subiraient théoriquement aucune perte. Les entreprises, quant à elles, avec une "masse salariale" réduite et qui ne serait désormais plus "sociale", redeviendraient plus "compétitives" car n'ayant plus à répercuter de "charges sociales patronales" dans leurs coûts ! En somme, tout le monde aurait à gagner, à cette réorganisation des "prélèvements sociaux" : - l'argent des Caisses (maladie ; retraites; etc) resterait constant et ne serait pas affecté ; - nos entreprises redeviendraient "compétitives" et regagneraient des "parts de marché" ; elles pourraient également mieux "embaucher" de nouveaux personnels ; elles contribueraient aussi un peu plus à l'impôt ; - les salariés relanceraient notre économie également, par un "pouvoir d'achat plus fort", tout en contribuant plus aux Caisses de l'Etat (maladie ; retraites; ...) et aux impôts (impôt sur le revenu ! Globalement, notre économie serait "relancée" rapidement et facilement, par cette "bouffée d'oxygène" pour toutes les entreprises, et elle serait "boostée" par une "relance par la consommation des ménages" ! Tout cela est bien entendu "schématique" et n'est qu'une description "dans les grandes lignes" (sauf erreurs ou omissions) !