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30/04/2020 13:39
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser la contribution de chaque citoyen
Le paiement de l’impôt pourrait se découper de la manière suivante : une partie en argent, et une partie en nature et/ou en temps, fondée sur les choix de chaque citoyen, éventuellement orientée par des listes établies par le Trésor Public. Un exemple de paiement de l’impôt nouvelle génération : - Paiement en argent d’une fraction de l’impôt classique (l’argent récolté devant servir en priorité aux secteurs de la santé, de l’alimentation, de l’éducation et de l’écologie) - Don de sang à l’EFS, - Don de livres à une bibliothèque, une école ou une prison, don de vêtements à La Croix Rouge, - Bénévolat à la SNSM, aux Restos du Cœur… Je pense qu’avec un tel système, chaque citoyen aurait bien plus de « plaisir » (en tout cas, bien moins de réticences) à payer ses impôts. L’impôt aurait ainsi plus de sens, même les plus démunis pourrait y contribuer (par la fraction en nature et en temps), et la dimension de fraternité et de solidarité serait beaucoup plus palpable !
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30/04/2020 13:39
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30/04/2020 13:38
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Nouvelle proposition à La consultation
Plus de consultations publiques
Organiser plus de consultations publiques comme celle-ci, structurées et sur des thèmes précis. Faire beaucoup plus de publicité afin que plus de monde y participe. Prendre REELLEMENT en compte les idées proposées par les citoyens, les mettre concrètement en oeuvre.
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30/04/2020 13:35
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Nouvelle proposition à La consultation
L’éducation des jeunes… et des adultes !
Le savoir, c’est le pouvoir ! Quelques propositions pour replacer l’éducation au cœur de notre société. * Revaloriser les salaires des enseignants, et ce quel que soit l’âge du public auquel ils enseignent. Les jeunes d'aujourd’hui sont les citoyens et les travailleurs de demain. Il est bien triste qu’une partie de la société ait dû vivre une crise sanitaire et donc une fermeture des écoles pour se rendre compte que le rôle des enseignants dans l’éducation et la formation des jeunes est aussi important que celui des parents ! Au même titre que ceux de la santé et de l’alimentaire, les métiers de l’enseignement sont vitaux et indispensables, alors rendons-leur justice. Il serait temps de prendre exemple sur nos voisins allemands, belges, danois et hollandais. * Attribuer une bourse à chaque étudiant, indépendamment des revenus de ses parents. De nombreux étudiants mettent plus de temps à obtenir leur diplôme parce qu’ils sont obligés de travailler en parallèle de leurs études, faute d’aide de leurs parents, alors que certains auraient pourtant les moyens d’aider leurs enfants. Par ailleurs, travailler pendant les vacances afin de financer ses études n’est pas toujours possible, car de nombreuses filières imposent des stages, souvent très peu indemnisés. * Attribuer une indemnité de formation aux plus démunis qui souhaiteraient reprendre leurs études. * Généraliser les cours en ligne pour permettre aux élèves absents (maladie, impératif familial, grève des transports, emploi pour financer ses études…) de rattraper les cours manqués, ou tout simplement pour revoir un cours mal compris. * Ajouter des matières aux programmes scolaires, comme l’écologie, la cuisine, les travaux manuels… Donner plus de place aux activités culturelles, manuelles et sportives. * L’éducation en prison : La réhabilitation des prisonniers doit passer par la formation et le travail. Privés de leur liberté d’aller et venir, ils pourraient profiter de leur temps « libre » pour se former, acquérir de nouvelles connaissances et de nouveaux savoir-faire. Si un prisonnier n’a pas pu nourrir son esprit et occuper ses mains durant le temps passé en prison, je doute qu’il réussisse sa vie une fois sa peine purgée. Chaque prison devrait devenir une école professionnalisante.
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30/04/2020 13:31
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Nouvelle proposition à La consultation
Du biologique, local et écologique
* Promotion des produits biologiques – Pour que les aliments biologiques deviennent la norme et non une nouveauté/curiosité/exception aux yeux du consommateur… Il faudrait rendre obligatoire l’inscription « Produit non-biologique » sur tous les produits qui, justement, ne sont pas biologiques ! Subventions et formations pour les éleveurs et agriculteurs qui souhaitent passer au biologique. Suppression des subventions pour les éleveurs et agriculteurs * Promotion des produits locaux – Appliquer la taxation suivante aux produits alimentaires comme non-alimentaires, afin d’encourager et de valoriser la production française : - Suppression des taxes sur les produits locaux, - Maintien des taxes sur les produits importés qui ne sont pas ou peu produits en France (avec une taxe supérieure pour les produits non européens que celle appliquée aux produits européens), - Augmentation des taxes sur les produits importés qui sont également produits en France (avec une taxe supérieure pour les produits non européens que celle appliquée aux produits européens). Relocaliser toutes les industries qui peuvent l’être, afin de créer de l’emploi, de consommer local, et d’être autosuffisant. Proposer des repas biologiques et locaux dans les cantines de toutes les écoles, hôpitaux, entreprises, collectivités (ainsi que des options végétariennes, halal, casher etc. afin de respecter tous les régimes alimentaires), afin de promouvoir l’agriculture locale et de garantir une alimentation de qualité au plus grand nombre. Mettre en valeur obligatoire dans les supermarchés des produits locaux au détriment des produits importés. * Promotion du Recyclage et Zéro Déchet – Recycler c’est bien, limiter ses déchets c’est encore mieux ! Sensibiliser et promouvoir le recyclage et le zéro déchet dans les écoles et les lieux publics en général. Généraliser de la consigne des bouteilles et bocaux en verre ou en plastique. Généraliser le compost dans chaque quartier et résidence en copropriété. Financer des mini-formations sur les thèmes du recyclage et du zéro déchet dans chaque commune. * Restriction de la circulation des véhicules à moteur : taxation importante des véhicules polluants ; création de plus de zones piétonnes ; instauration de journées voire de semaines sans voitures avec des régimes d’exception (covoiturage, transports d’enfants ou personnes vulnérables, déplacements lointains sans possibilité de prendre les transports en commun…), en fonction de la météo, et surtout en cas de pics de pollution ; aides financières pour l’achat de « moyens de transports écologiques » (vélo, trottinette, gyroroue, skate, rollers)…
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30/04/2020 13:28
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour que le travail soit synonyme de bien-être et de productivité, et non de torture !
Le mot « travail » viendrait du bas-latin « tripalium », terme désignant d’un instrument de torture constitué de trois pieux… Quelques propositions afin que le travail soit synonyme de bien-être, de fierté et de productivité, et non de torture ! * Lieu de travail – Chaque travailleur devrait pouvoir bénéficier d’un cadre et d’un poste de travail agréable. Comment se sentir bien et être efficace si l’on est entassé dans un open space bruyant ou enfermé dans un bureau sombre, minuscule, décrépit, dépourvu de confort et de lumière naturelle ? Un minimum d’espace vital, d’ergonomie, de lumière naturelle et de vue sur l’extérieur me paraissent primordiaux. Pour qu’un salarié n’aille pas au travail à reculons, il faut déjà qu’un environnement agréable l’attende. * Temps de travail – Sauf risque chiffré, avéré et argumenté par l’employeur, tout salarié qui le souhaite devrait avoir la possibilité d’exercer à temps partiel pour des raisons personnelles ou familiales (et pas seulement parce qu’il a des enfants, des problèmes de santé ou un projet de création d’entreprise) selon des modalités discutées entre le salarié, l'employeur et les représentants du personnel. * Télétravail – Pour les métiers qui le permettent, le télétravail devrait devenir le principe et non l’exception, pour les travailleurs qui le souhaitent. Les vertus du télétravail ne sont plus à démontrer : plus grande autonomie, gain de temps, liberté d’organisation, réduction de la fatigue, réduction du temps passé dans les transports, réduction des coûts liés aux trajets domicile-travail, meilleure concentration, gain de productivité, baisse de l’absentéisme, possibilité de prise de rendez-vous dans la journée (diminution du stress relatif à la gestion des rôles multiples), meilleure répartition des différents temps sociaux (professionnel, familial, personnel). https://www.passeportsante.net/fr/psychologie/Fiche.aspx?doc=travailler-chez-soi Afin de profiter des bienfaits du télétravail tout en conservant un esprit d’entreprise et un lien social entre collègues, une alternance entre présence sur le lieu de travail et télétravail devrait être la norme. Néanmoins, sauf circonstances exceptionnelles, un employeur ne doit pas imposer le télétravail à un salarié qui ne le souhaite pas. En effet, certains salariés ont besoin d’une séparation physique entre leur domicile et leur lieu de travail, ou peuvent avoir du mal à s’organiser et à se fixer des horaires lorsqu’ils sont chez eux. Ces préférences doivent être respectées. * La formation continue et l’évolution de tous les travailleurs doit continuer à être encouragée. * Avantage salarial – Parce que cela peut être plus avantageux en fonction de la santé financière de l’entreprise, et parce que certains salariés préfèrent avoir du temps plutôt que de l’argent, au lieu d’augmenter les salaires ou de verser des primes, des jours de congés supplémentaires pourraient être accordés aux salariés qui préfèrent ce type d’avantage. * Trajet domicile/travail – Les employeurs sont déjà tenus de rembourser à leurs salariés 50% du prix de leur abonnement de transports en commun. L’indemnité kilométrique vélo existe également, mais elle est plafonnée et non obligatoire. Il faudrait augmenter cette indemnité, la rendre obligatoire, supprimer le plafond, et la généraliser à tous les « transports individuels écologiques » (vélo, trottinette, gyroroue, skate, rollers…). Il s’agirait ainsi d’instaurer une égalité entre les salariés, qu’ils utilisent les transports en commun ou un transport individuel écologique, de les inciter à utiliser des moyens de transport écologiques, et de leur permettre de les faire entretenir par des professionnels. * Santé des travailleurs – Sans parler de l’épidémie de Covid-19… Venir sur son lieu de travail alors qu’on a une maladie saisonnière et ainsi la transmettre à certains collègues est parfaitement irresponsable ! Dès le début de ses symptômes, tout travailleur devrait rester chez lui, consulter un médecin, et faire du télétravail si l’arrêt maladie délivré se termine avant sa maladie. Cela permettrait au salarié de se reposer, de guérir plus vite, de travailler chez lui dès qu’il va mieux pour ne pas prendre trop de retard, et de ne pas contaminer ses collègues. Un grand travail de prévention doit être effectué par les entreprises sur ce point qui relève pourtant de la logique et du savoir-vivre.
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30/04/2020 13:13
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour rendre effectif le droit à la santé
« Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux… » (DUDH, article 25) Les grands discours et les applaudissements ne suffisent pas. Le droit à la santé est un droit fondamental : il serait temps de consacrer tous les moyens humains et financiers nécessaires afin de le rendre effectif. * Revaloriser les salaires de l’ensemble du personnel hospitalier et augmenter les subventions accordées aux hôpitaux – Les membres du personnel hospitalier exercent un métier difficile, indispensable et vital. Ils méritent en conséquence d’être rémunérés à la hauteur de leurs sacrifices et de leurs apports à la société. Cette revalorisation des salaires doit également concerner les stagiaires, externes et internes. Ce n’est pas parce qu’ils n’ont pas fini leurs études qu’il faut les indemniser au lance-pierre et ce, souvent avec plusieurs mois de retard. Au même titre que les praticiens diplômés, ils soignent des êtres humains et sauvent des vies. Il convient donc de leur verser un salaire régulier et à la hauteur de leurs efforts et de leur utilité ! Le personnel hospitalier a également le droit de pratiquer des horaires décents afin de mener une vie personnelle et familiale convenable (et accessoirement, d’éviter les erreurs médicales liées au surmenage). Il serait donc temps d’accorder plus de subventions aux hôpitaux, notamment pour mettre fin au sous-effectif et au sous-équipement dont le corps médical se plaint depuis longtemps. Ces mesures devraient permettre une meilleure qualité et accessibilité des soins. * Lutter contre les déserts médicaux – Subventionner (aides régionales et départementales) une structure médicale pluridisciplinaire dans chaque désert médical (médecin généraliste + pédiatre + infirmiers + aides-soignants + pharmacien + kiné + podologue + psychologue…). Proposer une prime annuelle à tous les praticiens acceptant d’exercer dans un désert médical (+ aide à la recherche d’emploi pour le conjoint). Inclure un stage de 6 mois dans un désert médical au cours des études de Médecine et d’Infirmiers (avec, en plus du salaire, une indemnité pour le logement et les transports). * Lutter contre le gaspillage de médicaments – Les médicaments devraient tous être proposés en petite quantité, voire à l’unité. Quel intérêt de se retrouver avec une boîte de 20 gélules alors que l’on doit en prendre 2 par jours pendant 5 jours ? Les risques principaux sont les suivants : gaspillage car les médicaments excédentaires sont jetés, automédication ultérieure avec des médicaments inadaptés… voire périmés ! * Généraliser les téléconsultations dans tous les cabinets médicaux et paramédicaux pour les pathologies ne semblant pas nécessiter la présence du patient – Pour certaines consultations, une visioconférence, l’envoi de photos, la description de ses symptômes par le patient et les réponses aux questions complémentaires du praticien peuvent amplement suffire. Cela permettrait d’éviter aux patients de transmettre leurs germes aux professionnels de santé et aux autres patients présents dans le cabinet, et d’épargner des déplacements coûteux et inutiles aux patients vivant loin de ces cabinets. * Supprimer les numerus clausus dans les filières médicales et paramédicales, face à la pénurie de personnel – L’essentiel et de maîtriser l’ensemble des matières enseignées, d’avoir la moyenne dans chaque module et de valider ses stages, pas d’être mieux classé que le voisin !