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20/04/2020 10:41
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16/04/2020 15:29
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14/04/2020 14:46
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13/04/2020 14:19
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13/04/2020 12:48
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13/04/2020 11:42
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser les rythmes scolaires
Je lis beaucoup de propositions pour transformer l'Education Nationale vers davantage d'éducation à la nature et à la solidarité, en généralisant des activités comme la culture de potagers, la formation aux premiers secours, le bénévolat, etc Toutes ces propositions sont bonnes, et je crois, en tant que prof, qu'elles seraient très bien accueillis par les élèves, mais elles oublient qu'au collège et au lycée, les élèves ont plus de 25 heures de cours en moyenne par semaine, sans compter les options. Sachant que tous les professeurs et pédagogues vous diront que pour être bien mémorisé un cours doit être relu, idéalement le jour même ou le lendemain. C'est précisément pour ça que l'on donne des devoirs à la maison. Mais entre les cours, les révisions et les devoirs, les collégiens et lycéens se retrouvent ainsi à devoir étudier au-dessus des fameux 35 heures hebdomaires de travail ! Bref, il faut alléger la semaine, d'au moins 5 à 10 heures, pour dégager une à deux après-midis par semaine que les élèves pourraient mettre à profit aussi bien pour réviser leurs cours et faire leurs devoirs que pour des activités sportives, artistiques, potagères, de bénévolat, etc, idéalement au sein de l'établissement, sur le modèle allemand. Les heures "perdues" pourraient en partie être récupérées sur les vacances estivales, en retirant une ou deux semaines. Il y a une absurdité à travailler intensément pendant plusieurs mois puis d'avoir un arrêt complet pendant presque deux mois. Là encore, il faut comparer avec nos voisins européens, les semaines y sont moins chargées et les vacances plus courtes. Par ailleurs, moins d'heures de cours par semaine pour les élèves, en maintenant le même temps de travail pour les profs, cela permet non seulement de rendre disponible les profs pour encadrer ces activités mais aussi de créer des heures de cours en demi-groupe. On sait tous que certains apprentissages se font mieux en petit groupes. En bref, mieux vaudrait moins d'heures de cours mais mieux réparties dans l'année et en plus petits effectifs. Bien sûr, cette proposition est complémentaire d'autres : hausse du taux d'encadrement par le recrutement de davantage de professeurs et assistants d'éducation et ouverture de l'école sur la cité...
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13/04/2020 11:41
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser les rythmes scolaires
Je lis beaucoup de propositions pour transformer l'Education Nationale vers davantage d'éducation à la nature et à la solidarité, en généralisant des activités comme la culture de potagers, la formation aux premiers secours, le bénévolat, etc Toutes ces propositions sont bonnes, et je crois, en tant que prof, qu'elles seraient très bien accueillis par les élèves, mais elles oublient qu'au collège et au lycée, les élèves ont plus de 25 heures de cours en moyenne par semaine, sans compter les options. Sachant que tous les professeurs et pédagogues vous diront que pour être bien mémorisé un cours doit être relu, idéalement le jour même ou le lendemain. C'est précisément pour ça que l'on donne des devoirs à la maison. Mais entre les cours, les révisions et les devoirs, les collégiens et lycéens se retrouvent ainsi à devoir étudier au-dessus des fameux 35 heures hebdomaires de travail ! Bref, il faut alléger la semaine, d'au moins 5 à 10 heures, pour dégager une à deux après-midis par semaine que les élèves pourraient mettre à profit aussi bien pour réviser leurs cours et faire leurs devoirs que pour des activités sportives, artistiques, potagères, de bénévolat, etc, idéalement au sein de l'établissement, sur le modèle allemand. Les heures "perdues" pourraient en partie être récupérées sur les vacances estivales, en retirant une ou deux semaines. Il y a une absurdité à travailler intensément pendant plusieurs mois puis d'avoir un arrêt complet pendant presque deux mois. Là encore, il faut comparer avec nos voisins européens, les semaines y sont moins chargées et les vacances plus courtes. Par ailleurs, moins d'heures de cours par semaine pour les élèves, en maintenant le même temps de travail pour les profs, cela permet non seulement de rendre disponible les profs pour encadrer ces activités mais aussi de créer des heures de cours en demi-groupe. On sait tous que certains apprentissages se font mieux en petit groupes. En bref, mieux vaudrait moins d'heures de cours mais mieux réparties dans l'année et en plus petits effectifs. Bien sûr, cette proposition est complémentaire d'autres : hausse du taux d'encadrement par le recrutement de davantage de professeurs et assistants d'éducation et ouverture de l'école sur la cité...
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13/04/2020 11:39
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Nouvelle proposition à La consultation
Repenser les rythmes scolaires
Je lis beaucoup de propositions pour transformer l'Education Nationale vers davantage d'éducation à la nature et à la solidarité, en généralisant des activités comme la culture de potagers, la formation aux premiers secours, le bénévolat, etc Toutes ces propositions sont bonnes, et je crois, en tant que prof, qu'elles seraient très bien accueillis par les élèves, mais elles oublient qu'au collège et au lycée, les élèves ont plus de 25 heures de cours en moyenne par semaine, sans compter les options. Sachant que tous les professeurs et pédagogues vous diront que pour être bien mémorisé un cours doit être relu, idéalement le jour même ou le lendemain. C'est précisément pour ça que l'on donne des devoirs à la maison. Mais entre les cours, les révisions et les devoirs, les collégiens et lycéens se retrouvent ainsi à devoir étudier au-dessus des fameux 35 heures hebdomaires de travail ! Bref, il faut alléger la semaine, d'au moins 5 à 10 heures, pour dégager une à deux après-midis par semaine que les élèves pourraient mettre à profit aussi bien pour réviser leurs cours et faire leurs devoirs que pour des activités sportives, artistiques, potagères, de bénévolat, etc, idéalement au sein de l'établissement, sur le modèle allemand. Les heures "perdues" pourraient en partie être récupérées sur les vacances estivales, en retirant une ou deux semaines. Il y a une absurdité à travailler intensément pendant plusieurs mois puis d'avoir un arrêt complet pendant presque deux mois. Là encore, il faut comparer avec nos voisins européens, les semaines y sont moins chargées et les vacances plus courtes. Par ailleurs, moins d'heures de cours par semaine pour les élèves, en maintenant le même temps de travail pour les profs, cela permet non seulement de rendre disponible les profs pour encadrer ces activités mais aussi de créer des heures de cours en demi-groupe. On sait tous que certains apprentissages se font mieux en petit groupes. En bref, mieux vaudrait moins d'heures de cours mais mieux réparties dans l'année et en plus petits effectifs. Bien sûr, cette proposition est complémentaire d'autres : hausse du taux d'encadrement par le recrutement de davantage de professeurs et assistants d'éducation et ouverture de l'école sur la cité...
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13/04/2020 11:04
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13/04/2020 10:58
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12/04/2020 08:48
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12/04/2020 08:05
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une Sécurité sociale alimentaire
Il faut instaurer un droit à l'alimentation saine comme il y a un droit au logement, un droit aux soins médicaux, et un droit à l'éducation. Bien manger fait partie des composants essentiels du bien vivre. C'est un enjeu majeur de bien-être, de santé publique, et d'écologie : la majorité des gens aimeraient manger mieux mais sont contraints financièrement. L'Etat subventionne largement l'industrie agro-alimentaire de la malbouffe qui nuit à la santé humaine et aux écosystèmes. Il y a une alternative : offrir 150€/mois/personne pour des produits frais, bio, et locaux, crédit disponible sur la carte Vitale ou une carte crée spécialement pour. Les produits devraient venir de circuit de distribution courts, de l'agriculture biologique, et/ou du commerce équitable. On peut imaginer que les citoyens soient associés à l'élaboration des critères de labellisation, soit localement soit nationalement. C'une solution efficace pour transitionner vers la souveraineté alimentaire, moins de pollution, des agriculteurs mieux rémunérés, et des consommateurs en meilleur santé. Coté financement : cela coûterait environ 120 milliards d’euros par an, c'est beaucoup, mais tout ou partie du financement de la PAC (10 milliards) pourrait être redirigée vers ce projet (au lieu de subventionner les producteurs on subventionne les consommateurs) et ce projet aurait des externalités positives (baisse des dépenses de santé à long terme, maintien du capital naturel). Pour comparaison, cela correspond à la moins du budget l'assurance maladie. Et cela ne reviendrait qu'à un contrôle partiel du marché de l'alimentation, le budget alimentaire moyen par français étant de 300€/mois. Il resterait donc de l'argent pour les dépenses hors marché conventionné. Ce projet a été élaboré par les Ingénieurs Sans Frontières - Agrista, on trouve facilement en ligne plus de détails.
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12/04/2020 08:04
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une Sécurité sociale alimentaire
Il faut instaurer un droit à l'alimentation saine comme il y a un droit au logement, un droit aux soins médicaux, et un droit à l'éducation. Bien manger fait partie des composants essentiels du bien vivre. C'est un enjeu majeur de bien-être, de santé publique, et d'écologie : la majorité des gens aimeraient manger mieux mais sont contraints financièrement. L'Etat subventionne largement l'industrie agro-alimentaire de la malbouffe qui nuit à la santé humaine et aux écosystèmes. Il y a une alternative : offrir 150€/mois/personne pour des produits frais, bio, et locaux, crédit disponible sur la carte Vitale ou une carte crée spécialement pour. Les produits devraient venir de circuit de distribution courts, de l'agriculture biologique, et/ou du commerce équitable. On peut imaginer que les citoyens soient associés à l'élaboration des critères de labellisation, soit localement soit nationalement. C'une solution efficace pour transitionner vers la souveraineté alimentaire, moins de pollution, des agriculteurs mieux rémunérés, et des consommateurs en meilleur santé. Coté financement : cela coûterait environ 120 milliards d’euros par an, c'est beaucoup, mais tout ou partie du financement de la PAC (10 milliards) pourrait être redirigée vers ce projet (au lieu de subventionner les producteurs on subventionne les consommateurs) et ce projet aurait des externalités positives (baisse des dépenses de santé à long terme, maintien du capital naturel). Pour comparaison, cela correspond à la moins du budget l'assurance maladie. Et cela ne reviendrait qu'à un contrôle partiel du marché de l'alimentation, le budget alimentaire moyen par français étant de 300€/mois. Il resterait donc de l'argent pour les dépenses hors marché conventionné. Ce projet a été élaboré par les Ingénieurs Sans Frontières - Agrista, on trouve facilement en ligne plus de détails.
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12/04/2020 08:03
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une Sécurité sociale alimentaire
Il faut instaurer un droit à l'alimentation saine comme il y a un droit au logement, un droit aux soins médicaux, et un droit à l'éducation. Bien manger fait partie des composants essentiels du bien vivre. C'est un enjeu majeur de bien-être, de santé publique, et d'écologie : la majorité des gens aimeraient manger mieux mais sont contraints financièrement. L'Etat subventionne largement l'industrie agro-alimentaire de la malbouffe qui nuit à la santé humaine et aux écosystèmes. Il y a une alternative : offrir 150€/mois/personne pour des produits frais, bio, et locaux, crédit disponible sur la carte Vitale ou une carte crée spécialement pour. Les produits devraient venir de circuit de distribution courts, de l'agriculture biologique, et/ou du commerce équitable. On peut imaginer que les citoyens soient associés à l'élaboration des critères de labellisation, soit localement soit nationalement. C'une solution efficace pour transitionner vers la souveraineté alimentaire, moins de pollution, des agriculteurs mieux rémunérés, et des consommateurs en meilleur santé. Coté financement : cela coûterait environ 120 milliards d’euros par an, c'est beaucoup, mais tout ou partie du financement de la PAC (10 milliards) pourrait être redirigée vers ce projet (au lieu de subventionner les producteurs on subventionne les consommateurs) et ce projet aurait des externalités positives (baisse des dépenses de santé à long terme, maintien du capital naturel), Pour comparaison, cela correspond à la moins du budget l'assurance maladie. Et cela ne reviendrait qu'à un contrôle partiel du marché de l'alimentation, le budget alimentaire moyen par français étant de 300€/mois. Il resterait donc de l'argent pour les dépenses hors marché conventionné. Ce projet a été élaboré par les Ingénieurs Sans Frontières - Agrista, on trouve facilement en ligne plus de détails.
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12/04/2020 07:55
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Nouvelle proposition à La consultation
Pour une Sécurité sociale alimentaire
Il faut instaurer un droit à l'alimentation saine comme il y a un droit au logement, un droit aux soins médicaux, et un droit à l'éducation. Bien manger fait partie des composants essentiels du bien vivre. C'est un enjeu majeur de bien-être, de santé publique, et d'écologie : la majorité des gens aimeraient manger mieux mais sont contraints financièrement. L'Etat subventionne largement l'industrie agro-alimentaire de la malbouffe qui nuit à la santé humaine et aux écosystèmes. Il y a une alternative : offrir 150€/mois/personne pour des produits frais, bio, et locaux, crédit disponible sur la carte Vitale ou une carte crée spécialement pour. Les produits devraient venir de circuit de distribution courts, de l'agriculture biologique, et/ou du commerce équitable. On peut imaginer que les citoyens soient associés à l'élaboration des critères de labellisation, soit localement soit nationalement. C'une solution efficace pour transitionner vers la souveraineté alimentaire, moins de pollution, des agriculteurs mieux rémunérés, et des consommateurs en meilleur santé. Coté financement : cela coûterait environ 120 milliards d’euros par an, c'est beaucoup, mais tout ou partie du financement de la PAC (10 milliards) pourrait être redirigée vers ce projet (au lieu de subventionner les producteurs on subventionne les consommateurs) et ce projet aurait des externalités positives (baisse des dépenses de santé à long terme, maintien du capital naturel), Pour comparaison, cela correspond à la moins du budget l'assurance maladie. Et cela ne reviendrait qu'à un contrôle partiel du marché de l'alimentation, le budget alimentaire moyen par français étant de 300€/mois. Il resterait donc de l'argent pour les dépenses hors marché conventionné. Ce projet a été élaboré par les Ingénieurs Sans Frontières - Agrista, on trouve facilement en ligne plus de détails.
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12/04/2020 07:50
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11/04/2020 13:41