Nouvelle proposition à La consultation

Consommer ou se consumer 2ème partie

Pour conclure les besoins de bases devrait être accessible en monnaie locale complémentaire hors du champ de la spéculation et quasiment très peu taxés. Le reste doit faire l'objet de taxation important en raison de la déprédation qu'elle fait subir à l'environnement et des menace quelle fait peser sur la communauté humaine. Les objets produits doivent être réaliser en low tech, à partir de technologie simple durable et facilement réparable. La qualité doit prévaloir, avec un impact minimum sur l'environnement. Il faut arrêter de transitionner, c'est à dire si tu bats ta femme, l'idée n'est pas de la battre moins ou plus doucement, mais de changer la nature de ta relation pour vivre de manière respectueuse. Ainsi, pesticide, plastique, tous ce qui détruit la vie doit être arrêter aux plus vite, INTERDIT. Donc je ne développe même pas pour les ventes d'armes. Les Bonus : Banque de dépannage linguistique - Consommer et consumer https://is.gd/GvTLyE Chrématistique — Wikipédia https://is.gd/3usdek

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Consommer ou se consumer 1er partie

Le saviez-vous : le moral des français est mesuré en lien avec leur consommation. Ainsi ne pas consommer signifierai avoir le moral en berne. Absurde n'est-ce pas ? Quand on demande au français se qui compte pour eux, rare sont ceux qui vont répondre, consommer. Les réponses seront le plus souvent en rapport avec les relations sociales, la santé, l'amour.. C'est là que l'on voit que celui qui a rédiger l'intro à cette thématique mériterai d'être reformaté quand il écrit, quand étant confiné on peut moins consommer, donc avoir moins de plaisirs ou de faire un effort pour moins consommer... Bon bref, je continue mon développement. Avoir la frénésie de la consommation, c'est plutôt se consumer comme happer par ses propres désirs insatiable et ne jamais en retirer la satisfaction espéré. Ainsi même pour l'alimentation, ce n'est pas la gourmandise qui est un péché (mauvaise traduction), mais la rapacité, l'avidité, un rapport malsain à la consommation qui se rapproche de la pathologie. Aristote différenciait deux types d'économie, l'une servant à satisfaire ses besoins et l'autre une économie pervertie qui consistait à la recherche du profit pour le profit, de l'argent pour l'argent. Cette deuxième économie; il l'a nommait chrématistique. On le voit c'est cette deuxième forme d'économie qui domine, c'est à dire celle de faire de l'argent pour l'argent, la maximisation du profit. 97% des échanges sont spéculatifs et 3% concernent l'économie réelle c.à.d. la consommation pour satisfaire ces besoins fondamentaux. si le but est le profit, peut importe la destruction de l'environnement et des ressources naturelles, tous peut-être consumer et nous y arrivons très bien. suite en partie 2

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