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21/04/2020 10:19
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21/04/2020 09:58
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21/04/2020 09:55
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Nouveau commentaire à Le travail et la réussite ne doivent pas être enviés
Quelle est donc ta proposition ?
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20/04/2020 18:14
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Nouvelle proposition à La consultation
Revenu minimum et maximum
L'objectif de cette consultation si j'ai bien compris c'est de trouver des solutions pour diminuer l'impact de l'humanité sur la planète et permettre sa survie tout en réduisant les inégalités. Et bien, je ne pense pas me tromper en disant que plus on gagne d'argent, plus on consomme et plus on consomme plus on a d'impact sur le dérèglement de notre biosphère. Je propose donc de fixer démocratiquement par référendum un montant maximum de revenu pour tous. Par exemple au delà de 4000 euros par mois, l'état prendrait tout. Qu'il s'agissent de revenu du capital, d'indemnité, de salaire ou autre. On fixerait également un maximum de patrimoine que peut décemment posséder un être humain. Par exemple, au delà de 1 000 000 d'euros, l'état prendrait tout. Et ensuite on fixerait un minimum décent. Par exemple 1000 euros par mois. Et l'état verserait ces 1000 euros à chacun de ses administrés sans conditions, même à ceux qui auraient déjà le maximum. Vous me direz que plus personne ne voudra travailler. J'en doute car l'être humain est un être actif, créatif et plein d'empathie. Et si l'on "travaille" moins et bien tant mieux car c'est notre travail qui détruit en grande partie notre biosphère. Il faudra redefinir xe qu'est le "travail". Les activités rémunérées seraient celles que nous déciderions démocratiquement comme étant essentielles. Et leur niveau de rémunération serait proportionnel à l'intérêt qu'elles présentent. Par exemple : un éboueur, une infirmière : 4000 euros, un ministre, un chef d'entreprise de produits de première nécessité : 1500 euros, un trader, un avionneur : 0, 00 euro (vous voyez l'idée). Bon, je sais, ce sera dur et ceux qui gagnent plus que le maximum que nous auront choisi ne se laisseront pas faire comme ça, vu qu'ils possèdent les médias, les agences de pub et sont infiltrés au sommet de l'état et qu'ils sont peut-être déjà en train de construire des bunkers et de recruter une armée privée pendant que nous sommes sagement confinés chez nous. Attention, je ne dis pas qu'il ne faut pas rester confinés, au contraire, ça nous protège du virus et ça fait du bien à la Terre. Mais ne confinons pas notre cerveau et préparons-nous à des temps de lutte pour notre survie. C'est maintenant ou jamais. Nos députés qui ont lancé cette consultation et que je crois sincères et honnêtes ont du pain sur la planche et je leur souhaite beaucoup de courage.
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10/04/2020 19:38
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Nouvelle proposition à La consultation
La liste de mes envies
Puisque je peux m'exprimer, et j'en remercie les députés qui ont pris cette initiative, je vais faire la liste de mes envies en ce qui concerne les secteurs d'activité. Secteurs dont je n'ai ni besoin ni envie ( l'état pourrait les taxer à la sortie du confinement s'il ne se sont pas écroulés et surtout ne pas les aider à se relever) : industrie spatiale, industrie aéronautique (sauf les avions utiles à notre sécurité), secteur de la finance, grande distribution, agriculture intensive, publicité, marketing, télévision, sport de compétitions, tourisme de masse, croisières maritimes, éducation privée, secteur du luxe, cosmétique, immobilier privé. Secteurs dont j'aurai encore besoin ou envie après le confinement mais dont je peux diminuer ma consommation (donc à soutenir avec modération ou à taxer sans les mettre en danger) : pétrole, emballage, déplacements individuels motorisés, informatique, électronique, bois, carton, papier, plastique, caoutchouc, matériel électrique, optique, auditif, métallurgie, sidérurgie, électricité, textile, chaussures, multimédia, travaux publiques, transport terrestre et ferroviaire. Secteurs dont j'ai besoin et envie (donc à soutenir après le confinement) : agriculture paysanne, maraîchage, jardinage, transports en commun, déplacements doux, commerce de proximité, habitat coopératif et participatif, distribution du courrier, livraisons groupées, éducation nationale, éducation populaire, formation continue, fonction publique, récupération, réparation, seconde main, tri, recyclage, justice, protection sociale, santé, recherche, économie sociale et solidaire, édition, imprimerie, banque et assurance (nationalisées bien sûr ), énergie propre, services à la personne, aux collectivités, aux entreprises, télécoms, traitement des déchets, traitement et distribution de l'eau, transport maritime (pourquoi pas à voile ?), transport par péniche, vie associative, vie sociale, tranquillité publique, hôtellerie, restauration, bars, musées, théâtre, cinés, musique, création artistique. Bon, ça vaut ce que ça vaut, mais au moins faire cette liste a mis un peu d'ordre dans mon cerveau.
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10/04/2020 09:55
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09/04/2020 14:16
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Nouvelle proposition à La consultation
L'important c'est la santé, oui mais...
Il est affirmé ici que le plus important c'est la santé et c'est sans doute ce que pense beaucoup de gens. Mais s'il est évident que nous avons besoin d'un système de santé performant, ce sont aussi (et surtout ?) les conditions de vie qui permettent de rester en bonne santé. Le monde d'après devrait donc permettre à chacun - de respirer un air pur, - de boire une eau potable, - de manger une nourriture saine, - d'avoir un toit sur la tête, - et d'avoir accès à la prévention et aux soins médicaux. Je ne suis pas experte sur ces sujets mais mon bon sens me dit qu'il faut - pour agir sur la pollution atmosphérique et la pollution de l'eau : diminuer drastiquement les activités polluantes (entre autre : transport, chimie, aéronautique, aérospatiale, tourisme de masse) en ne les soutenant pas à la sortie du confinement, voire en les taxant - pour avoir une nourriture saine : favoriser une agriculture réellement biologique (subventionner l'agriculture paysanne, le maraîchage, le jardinage individuel) - pour que chacun ait un toit : mettre des logements décents à la portée de tous les êtres humains (réquisitionner les logements vides, taxer les résidences secondaires, diviser les grands logements) - pour offrir un accès au soin à tous : écouter les professionnels de la santé quand ils alertent sur les besoins des patients et sur leurs conditions de travail.