-
12/04/2020 20:52
-
09/04/2020 20:05
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour une vraie représentation de nos concitoyens
En 2017, 41% des suffrages exprimés au 1er tour de l'élection présidentielle se sont traduits par 4% des élus siégeant dans l'hémicycle. Une large partie de nos concitoyens ne sont donc pas représentés à l'assemblée nationale du fait de son système électoral. Cela ne favorise pas la concertation entre partis et donc pénalise le débat démocratique. Il est urgent de mettre une vraie dose de proportionnelle dans l'élection des députés et de ne plus élire le Président de la République avant mais après les députés pour limiter la personnalisation de l'élection et que nos concitoyens se réapproprient la politique nationale.
-
09/04/2020 19:54
-
Nouvelle proposition à La consultation
Décentraliser la prise de décisions et l'humaniser
Dans notre système actuel, la prise de décision est extrêmement centralisée et concentrée. L'exécutif au niveau central et l'assemblée nationale décident de tout, avec peu de marges de manœuvre au niveau des régions et des communes, ce qui donne l'impression aux citoyens de participer à la décision une fois de temps en temps en votant pour quelqu'un qui fera plus ou moins ce pour quoi il a été élu, surtout qu'il devra faire comme son parti lui dit de faire sous peine d'exclusion et de perte de subsides. Cela nie les particularités territoriales et le fait que les aspirations puissent être différentes selon là où on vit. Le consensus local n'est donc jamais recherché en tant que tel. Dans un système démocratique où chaque citoyen participe activement à la vie politique, il faut déconcentrer et décentraliser au maximum la décision, en donnant plus de pouvoir aux maires et aux conseils régionaux, au détriment de l'assemblée nationale et des ministères. Un maire a plus de facilité à questionner ses administrés que le pouvoir central. Et est plus sensible à l'opinion des citoyens. Il peut moins se retrancher derrière des technocrates ou des scientifiques, le politique reprend toute sa place et la liberté augmente. De plus, la décision peut être plus efficace car plus proche de la réalité des situations dans toute leur complexité. Pour décider au niveau central, il faut ou simplifier la situation pour la schématiser, ou prendre beaucoup plus de temps pour la prendre en compte. Cela se voit aujourd'hui où ce sont les conseils régionaux qui ont réussi à obtenir des masques, plus rapidement que l'Etat central.
-
09/04/2020 19:39
-
Nouvelle proposition à La consultation
Vivons vraiment notre vie
Tout d'abord, une précision : je ne suis pas contre le numérique. Il nous permet de garder le contact visuel avec nos proches, de mettre en place de nouvelles solidarités, de nous consulter. La 1ère des questions, avant de l'encadrer, est : quand est-il indispensable et quand détruit-il du lien social ou notre personnalité ? Les réseaux sociaux sont utiles à l'échange d'informations et pour donner des nouvelles. Mais bien souvent, ils remplacent les vraies réunions de famille, les soirées avec des amis, la rencontre de personnes isolées, les solidarités actives et participent à une dépréciation de soi-même par la comparaison forcenée avec la vie des autres, ou plutôt ce qu'ils veulent nous en montrer. Je ne sais si des mesures quelles qu'elles soient pourront faire changer cela. Il me semble qu'il est de notre responsabilité à chacun d'évoluer et de montrer aux jeunes générations qu'il peut être plus épanouissant de rencontrer peu de gens mais pour de vrai que de passer des heures sur les réseaux sociaux. Sans compter que c'est plus écologique et qu'on évite de laisser traîner sa vie à la porter de quelques clics. Mais cela va de pair avec une éducation à la tolérance dans les relations humaines et à accepter nos propres imperfections. L'autre n'est jamais tel qu'on le rêve, et nous ne serons jamais parfaits. La seule chose qui me vienne à l'esprit en pensant à notre classe politique est qu'elle peut déjà montrer l'exemple, notamment à l'assemblée nationale, en faisant preuve de courtoisie vis-à-vis de l'opposant politique, de respect pour sa parole dans le débat, quelques soient les désaccords. Ne pourrait-on pas également valoriser les initiatives solidaires de la vraie vie par exemple en remettant également la légion d'honneur à ceux qui aident leurs concitoyens ? Ne pourrait-on pas redonner du sens à l'accueil du public dans les administrations en y mettant les personnels nécessaires au lieu d'inciter les gens à tout faire par internet ? (c'est un peu hors sujet numérique mais où le mettre ?) Pour ce qui est de la conservation des données, même si un premier pas a été fait avec l'obligation de signaler les cookies, les données sont encore trop souvent collectées et revendues sans maîtrise de la part du citoyen qui ne sait même pas précisément qui les a et qui en fait quoi. Mais je maîtrise trop peu le sujet pour aller plus loin.
-
09/04/2020 19:08
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour une éducation humaine
A l'école, on est censé apprendre des savoirs utiles au futur citoyen et au futur salarié. Surtout au futur travailleur. Mais apprendre à se respecter est peu enseigné, ce qui aiderait d'ailleurs plus facilement le respect d'autrui. Apprendre à respecter son corps avec des exercices physiques tous les matins, simples et rapides, avec une alimentation saine et équilibrée, dont les principes ont été expliqués, avec l'enseignement et la pratique d'une hygiène corporelle (lavage des mains avant d'aller déjeuner notamment et... des toilettes propres et avec du savon pour les mains dans les établissements scolaires) Apprendre à respecter la vie avec des cours de secourisme obligatoires au collège. Apprendre à aimer l'autre quel qu'il soit avec un temps scolaire dédié au bénévolat encadré, dans une thématique choisie (soutien scolaire des plus jeunes, visite de personnes âgées, aide à des personnes à la rue), en fin de collège et au lycée.
-
09/04/2020 18:58
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour une vraie place de nos anciens
Les EPHAD et l'enfermement de personnes âgées seules dans leur chambre pour limiter la contagion a montré la solitude de nos anciens. Elles sont seules par l'absence de famille mais aussi parce que certains n'ont pas envie de s'occuper de leurs parents et préfèrent déléguer à des structures. Parfois la mésentente est telle que c'est impossible, parfois il s'agit d'égoïsme pour garder sa liberté et parfois, il s'agit tout simplement d'impossibilité faute de place dans le logement et de moyens financiers. Dans les pays sans solidarité nationale développée, les parents résident ou dans le même immeuble ou au domicile de leurs enfants, ces derniers considérant que c'est à leur tour de s'occuper de leurs parents puisque ces derniers s'étaient occuper d'eux plus jeunes. Sans supprimer la solidarité nationale avec ces personnes âgées ne pouvant rester chez elles et devant aller en établissements spécialisées, une réflexion sur leur place dans nos familles peut être menée. Je n'ai pas de solution, seulement des questions sur comment nous voyons nos parents et nos grands parents et que sommes nous prêts à faire pour eux. Un fabliau du moyen âge raconte qu'un père de famille ne supporte plus sa vieille mère croulante, bavant dans son coin et plus bonne à rien. Il décide de la mettre dans la grange et demande à son fils de lui apporter une couverture. Le fils coupe alors la couverture en deux et n'en met qu'une moitié. Réprimandé, le fils répond qu'il garde l'autre moitié pour son père, lorsqu'il sera lui-même croulant et baveux. Ce sont alors des choix très personnels et familiaux. Mais que faire pour aider ceux qui voudraient s'occuper de leurs anciens mais n'y arrivent pas ? Quelle est cette société où on est obligé de s'établir loin de ses proches pour trouver du travail, puisque tout le développement national s'est centré sur l'Ile de France et quelques métropoles ? Ne pourrait-on pas développer le système des sapeurs pompiers au bénévolat envers les plus faibles (personnes handicapées, personnes âgées, personnes malades, SDF) avec un nombre d'heures par an prises sur le temps de travail au profit de la collectivité, en entreprise comme dans le fonction publique (cf thème 1) ? Favoriser l'attribution de logements sociaux aux personnes accueillant leurs aînés à domicile ? Ne pourrait-on pas revitaliser certains villages en proposant à des personnes âgées des logements adaptés (possibilité de fauteuil roulant, pas d'escalier), dans lesquels elles pourraient recevoir du monde et se faire à manger, mais avec une offre de restauration collective, de soins mutualisés, une bibliothèque etc... un tel village pourrait attirer des actifs souhaitant s'écarter des villes mais craignant le désert français. Enfin, nos anciens ne sont pas inutiles. Ils ont des savoirs et un savoir-vivre à transmettre, à leurs enfants mais aussi à tous nos enfants. Jumeler des écoles primaires, voir des collèges et des lycées, avec des EPHAD pourrait apporter de la compagnie à nos anciens, un soutien scolaire et humain aux jeunes.
-
09/04/2020 18:49
-
Nouvelle proposition à La consultation
Développer la recherche
Nous avons de très bons chercheurs mais très peu payés par rapport aux standards internationaux et avec peu de moyens. Il y a également peu de bourses de recherche. Ne faudrait-il pas discriminer selon les types de recherche (la santé et l'agriculture en premier, la sociologie en dernier) pour mettre plus de moyens dans la réponse aux besoins vitaux de la population ? Et développer les partenariats publics-privés afin que l'Etat et donc les impôts ne soient pas la seule source de financement.
-
09/04/2020 18:38
-
09/04/2020 18:15
-
09/04/2020 18:06
-
09/04/2020 18:05
-
Nouvelle proposition à La consultation
Consommer français coûte cher quoi que...
Consommer français coûte cher mais cet impact peut être limité avec des droits de douane proportionnels au dumping social et aux km parcourus pour que le produit arrive en France. En changeant ses habitudes de consommation, on peut maintenir les prix dans une fourchette acceptable (achat en vrac, achat en AMAP, plus de légumineuses et d'œufs, moins de produits fabriqués et de viande). Pour le textile, la qualité des produits français les fait durer plus longtemps et le dernier t-shirt à paillette est rarement indispensable. Pour inciter le consommateur à changer, il faut aussi lui rappeler le coût écologique et social de ses choix (chômage et donc impôts) et sanctionner les entreprises qui achètent des produits pour lesquels des enfants ont travaillé, des salariés ont été réduits en quasi esclavage, ou qui ont pollué de manière interdite en France / aider fiscalement les entreprises ne travaillant qu'avec des produits français ou éventuellement européens.
-
09/04/2020 17:59
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour une économie relocalisée
La propagation du virus a montré les faiblesses de la mondialisation. D'accord, elle a permis de faire reculer la pauvreté au niveau mondial mais elle a aussi accru les inégalités surtout dans les pays occidentaux. Par ailleurs, lors d'une pandémie, chacun est en compétition pour assurer à sa population les biens nécessaires. Or, de devoir s'approvisionner à l'autre bout du monde pour tout et n'importe quoi non seulement propage les maladies mais fragilise notre système économique en cas de crise. Il s'agit donc de revaloriser les productions nationales : --> en intégrant le nombre de km parcourus et l'impact fiscal dans les critères d'appel d'offre des marchés publics (impact fiscal : si je produis en France, je paye des impôts et des charges sociales en France contrairement à un producteur étranger. Pour savoir quel est le mieux disant, il faut les déduire du coût du produit fourni par l'entreprise française lorsqu'elle le vend à l'Etat. En effet, il y aura un manque à gagner en termes de taxe lorsque le produit aura été fabriqué à l'étranger). --> avec un état actionnaire dans les entreprises fondamentales pour la nation (transports, énergie, santé), sans pour autant les fonctionnariser --> en revalorisant une agriculture diversifiée pouvant nourrir la population de son bassin d'activité (gel des terres agricoles dans les périphéries des zones urbaines, aide à l'installation de nouveaux producteurs, développement de la permaculture et des maraîchers)
-
09/04/2020 17:55
-
Nouvelle proposition à La consultation
Consommer français coûte cher quoi que...
Consommer français coûte cher mais cet impact peut être limité avec des droits de douane proportionnels au dumping social et aux km parcourus pour que le produit arrive en France. En changeant ses habitudes de consommation, on peut maintenir les prix dans une fourchette acceptable (achat en vrac, achat en AMAP, plus de légumineuses et d'œufs, moins de produits fabriqués et de viande). Pour le textile, la qualité des produits français les fait durer plus longtemps et le dernier t-shirt à paillette est rarement indispensable. Pour inciter le consommateur à changer, il faut aussi lui rappeler le coût écologique et social de ses choix (chômage et donc impôts) et sanctionner les entreprises qui achètent des produits pour lesquels des enfants ont travaillé, des salariés ont été réduits en quasi esclavage, ou qui ont pollué de manière interdite en France / aider fiscalement les entreprises ne travaillant qu'avec des produits français ou éventuellement européens.
-
09/04/2020 17:53
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour le télé-travail
Alors qu'il faut rester confiner, il a fallu développer le télétravail dans des entreprises et des administrations qui n'y étaient pas préparées, pour des raisons de coûts mais aussi pour des motifs idéologiques (ceux qui veulent faire du télétravail veulent en réalité travailler moins). Or télétravailler permet de moins polluer, de ne pas perdre de temps dans les trajets, et d'être plus flexible dans son organisation selon les besoins de la cellule familiale. Une incitation au télétravail devrait donc être mise en place. Par une incitation fiscale ? Je n'ai pas la solution immédiate mais gageons que certaines organisations en auront vu l'utilité avec la crise en cours.
-
09/04/2020 17:47
-
Nouvelle proposition à La consultation
Pour une économie relocalisée
La propagation du virus a montré les faiblesses de la mondialisation. D'accord, elle a permis de faire reculer la pauvreté au niveau mondial mais elle a aussi accru les inégalités surtout dans les pays occidentaux. Par ailleurs, lors d'une pandémie, chacun est en compétition pour assurer à sa population les biens nécessaires. Or, de devoir s'approvisionner à l'autre bout du monde pour tout et n'importe quoi non seulement propage les maladies mais fragilise notre système économique en cas de crise. Il s'agit donc de revaloriser les productions nationales : --> en intégrant le nombre de km parcourus et l'impact fiscal dans les critères d'appel d'offre des marchés publics (impact fiscal : si je produis en France, je paye des impôts et des charges sociales en France contrairement à un producteur étranger. Pour savoir quel est le mieux disant, il faut les déduire du coût du produit fourni par l'entreprise française lorsqu'elle le vend à l'Etat. En effet, il y aura un manque à gagner en termes de taxe lorsque le produit aura été fabriqué à l'étranger). --> avec un état actionnaire dans les entreprises fondamentales pour la nation (transports, énergie, santé), sans pour autant les fonctionnariser --> en revalorisant une agriculture diversifiée pouvant nourrir la population de son bassin d'activité (gel des terres agricoles dans les périphéries des zones urbaines, aide à l'installation de nouveaux producteurs, développement de la permaculture et des maraîchers)
-
09/04/2020 17:40
-
Nouvelle proposition à La consultation
Echelle de valeurs
Si le salaire doit représenter la valeur qu'un individu apporte à son entreprise, il faut également le replacer dans un contexte plus global : quel est sa plus-value humaine à l'échelle de la société. Plusieurs pistes pour un ré-équilibrage des salaires et une meilleure prise en compte des plus faibles : --> développer le système des personnes bénévoles au profit des sapeurs pompiers au bénévolat envers les plus faibles (personnes handicapées, personnes âgées, personnes malades, SDF) avec un nombre d'heures par an prises sur le temps de travail au profit de la collectivité, en entreprise comme dans le fonction publique (cf thème 4) --> développer de manière significative l'actionnariat salarial afin que le travail de tous soit reconnu lors du partage des bénéfices et non seulement des actionnaires qui ont mis de l'argent dans l'entreprise et donner un droit de regard sur les plus hauts salaires aux salariés.
-
09/04/2020 17:27
-
Nouvelle proposition à La consultation
Développer une bonne hygiène de vie
Le COVID 19 a montré combien certaines pathologies pouvaient affecter notre résistance au virus. Or certaines (surpoids, diabète) sont liées, sauf cas particuliers, à des modes de vie déséquilibrés. Pour ce faire, il y a la prévention et la répression. La prévention en éduquant mieux les enfants et les adolescents à l'hygiène de vie en général (alimentation, activité physique, hygiène corporel), avec la mise en pratique dans les cantines scolaires du lavage de main avant d'entrer en salle de restauration, des menus adaptés non aux goûts des enfants et des adolescents mais à leurs besoin, de l'exercice physique tous les matins. La répression en taxant la vente de certains produits notoirement de mauvaise qualité, bourrés de sucre, de gras, d'additifs en tous genres, taxe affectée au système de soins.
-
09/04/2020 17:20
-
Nouvelle proposition à La consultation
Revalorisation des salaires et réorganisation du secteur médical
Il semble que le personnel médical soit plus utile à la nation en temps de crise que beaucoup d'autres personnes bien plus payées. Une revalorisation des salaires et des embauches pour éviter les heures supplémentaires à l'hôpital public serait une bonne chose. Pour éviter que les coûts ne s'emballent trop, réfléchir sur la définition des urgences souvent saturées par des cas devant être vus par des médecins de ville. Par ailleurs, réorganiser la médecine généraliste avec le développement de centres médicaux dans les zones sous tension, où on peut rapidement être vu par un médecin et faire les examens nécessaires, un peu à l'espagnole, serait un plus.