La consultation
#LeJourdAprès consultation
Dégradation des masses d'eau et des milieux aquatiques ; raréfaction des boisements secondaires, puits à carbone et à biodiversité, pertes des sols par l'érosion ; la structure des territoires ruraux doit être mis en conformité avec la loi éponyme. Les cours doivent être protégés conformément aux textes et leur boisement d'accompagnement, les ripisylves, également. La structure de l'espace rural doit être revue afin de donner l'opportunité de redonner de la diversité de production donc sociale, le voeux pieux de la loi sur les territoires ruraux. Les exploitants doivent justifier de leur capacité à préserver les différents patrimoines du fond qu'ils cultivent, préservation de la fertilité des sols, préservation de la qualité de la masse d'eau, préservation de la biodiversité. En, les exploitants doivent être en mesure de montrer qu'ils mènent leurs fond en toute quiétude et dans le respect de population riveraines. L'un des faits marquant est l'impossibilité de la récolte sans le recourt à ds mains d'oeuvre lointaines. C'est incompatible avec une gestion sereine de son fond et le respect de la diversité sociale locale. Les entreprises agricoles doivent reprendre des tailles humaines, être intégrée à l'écologie et à l'économie locale. Le recourt a des opérations de "remembrements environnementaux" devient nécessaire nous pas au bénéfice des grands propriétaires foncier mais au bénéfice d'une écologie et un écologie recentrée sur le territoire, gage d'une autonomie alimentaire, de création d'emplois, de valorisation des compétences locale dans un principe de restauration du grand cycle de l'eau et de préservation de la biodiversité.
Démembrement des grandes exploitations et installation d'agriculteurs raisonnables et respectueux.
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