La consultation
#LeJourdAprès consultation
Apres les droits de l’homme, les droits de la nature. Assurer la durabilite des ressources, respect sur le long terme, aide aux acteurs du changements
De la même manière que ce qui a émergée dans d’autres pays, tels que la nouvelle Zélande, la nature doit être considérée dans le droit comme un bien commun, envers lequel nous avons un devoir de respect, et dont la destruction est un crime.
Toute destruction déjà effectuée devra être recensée et rappelée au moment d’un memorial de la destruction de la nature, pour faire le deuil de ce qui a été perdu et s’engager a ne plus jamais le permettre.
Pour cela, s’assurer que l’utilisation de toute ressource utilisée soit conditionnée a un investissement dans la préservation de sa disponibilité pour qu’elle soit toujours accessible dans le futur, et de même qualité a l’avenir. Que tout impact sur une ressource donne lieu a l’obligation d’investissement dans sa preservation par l’entreprise responsable des dégâts. Ainsi si une entreprise fait du bénéfice a partir de l’exploitation d’une ressource, elle doit investir ce bénéfice dans le maintien de la disponibilité de cette ressource, a niveau égal de sa disponibilité avant son exploitation. Ainsi si une entreprise prélève de l’eau dans une nappe phréatique, elle doit permettre sa régénération, pour qu’elle soit disponible aux autres utilisateurs. Et une telle ressource ne peut être exploitée que s’il est possible de la recréer en l’état. Ainsi le prélèvement d’eau dans les nappes phréatiques ne doit pas dépasser le seuil au-delà duquel sa régénération n’est plus possible. Et la destruction d’une foret d’arbre centenaires ne sera alors pas autorisée puisque la recréation de toute cette foret, y compris l’écosystème qui s’y développait n’est pas possible. Certains projets sont d’ores et déjà inacceptables. Le projet de montagne d’or ne serait même pas proposé, l’aéroport de notre dame des Landes n’aurais jamais été envisagé, d’autant plus que la nature du sol ne s’y prêtant pas, les travaux supplémentaires nécessaires induiraient de la pollution supplémentaire. Cette décision de l’autorisation d’un projet doit être analysée après étude par des experts indépendants en prenant en compte l’avis des citoyens, sans que ceux-ci aient besoin de protester. Ainsi lors de l’autorisation de lancement de projet, celui prévoyant une faible utilisation d’une ressource, avec un meilleur rendement et un moindre déchet aura priorité sur un autre projet plus impactant. Ainsi les habitants vivant sur le village surplombant une nappe phréatique doivent donc avoir priorité sur une entreprise de bouteille d’eau en plastique exploitant a l’excès la nappe (comme c’est le cas pour vittel en surexploitation actuellement). Les constructeurs d’appareils informatiques ne seront pas autorisés a détruire des milieux pour la recherche de minéraux rare, lorsqu’une alternative est possible, telle que le fait Fairphone. Les vendeurs et les utilisateurs d’automobiles ne pourrons vendre que des modèles le moins polluant (y compris les déchets à prévoir des batteries, leur durée de vie, et de toute énergie utilisée pour les recharger) et devront investir dans des moyens d’améliorer la qualité de l’air, passant par les pratiques les moins polluantes pour se faire (comme des arbres...). Si la pollution impacte une espèce nécessaire a la préservation d’une ressource (telle que les abeilles pour les ressources végétales), cela sera aussi pris en compte dans l’investissement nécessaire pour réparer les dégâts. De la même manière, toute exploitation d’une espèce animale, ou produit de l’animal, doit être fait par des bonnes pratique assurant sa sante et sa pérennité, sous peine de devoir investir tout bénéfice récolté, dans la protection de l’espèce en question. Ainsi l’agriculture intensive dégradant le sol, sur-exploitant les ruches et empoisonnant des insectes auxiliaires serait taxée, tandis que l'agriculture respectueuse des terres et de la faune bénéficierait dune aide de l’état conséquente, afin que la deuxième soit plus rentable que la premiere.
Le changement écologique doit se faire en apportant aux acteurs les moyens nécessaires a la transition. Ainsi une aide de l’etat doit être alouee envers les organismes, entreprises, associations etc, protégeant les milieux naturels, le bien être, la sante, et l’amelioration de technologies en ce sens, amenant a des pratiques pour une réduction de la pollution de tout type, et une économie d’énergie.
Les utilisateurs doivent être informés pour faire les bons choix. Ainsi tout produit doit indiquer clairement les coûts de sa production, du début a la fin, jusqu’au traitement des déchets. L’absence d’utilisation d’un produit polluant doit être également encouragée et soutenue. Ainsi les produits non polluants bénéficieront d’une part payée par l’état, les produits polluants auxquels il existe une alternative seront interdit, et les produits faiblement polluant sans alternatives seront taxés, cette taxe sera utilise pour financer les produits non-polluants, améliorer les technologies pour produire sans polluer, et dépolluer l’environnement.
Signaler un problème
Ce contenu est-il inapproprié ?
Partager: