La consultation
#LeJourdAprès consultation
Adapter la ville au changement climatique - intégrer la nature en ville
• Tout projet urbain doit inclure suffisamment de végétation afin de limiter au maximum les îlots de chaleur urbains
• Végétaliser les rues, planter impérativement des arbres à l’instar de la ville de Milan, déminéraliser les rues. Développer la biodiversité en ville (planter des arbres, créer des parcs, nichoirs…). Que ce soit réalisé par la ville et les habitants. Imposer la plantation de haies (de plantes mellifères de préférence) pour la délimitation des propriétés à la place de murets. Cela permettrait de favoriser la biodiversité ainsi que de gérer en grande partie les eaux pluviales.
• Interdiction d’abattre les arbres en centre urbain
• Elaguer correctement les arbres, ne pas créer de moignons
• Récupérer les eaux pluviales pour l’arrosage des espaces verts
• Débitumer les villes partout où cela est possible afin de permettre aux eaux pluviales de s’infiltrer et alimenter la nappe phréatique,
• Revitalisation des écosystèmes permettant de séquestrer du carbone et de favoriser la biodiversité
• Plantation de haies bocagères le long des routes et entre les parcelles et les champs.
• Développement de l’agroforesterie (en Aquitaine et sur tout le territoire)
• Réduire la pollution lumineuse (afin de favoriser la biodiversité en ville et faire des économies d’énergie)
• Planter un arbre pour chaque naissance (un arbre c’est la vie, prise de conscience des mentalités)
Avantages de la biodiversité en milieu urbain :
• Créer des îlots de fraîcheur visant à rafraîchir la ville dans son ensemble
• Eviter le ruissellement excessif des eaux de pluie qui finissent dans les égouts au lieu de rejoindre les nappes phréatiques grâce à la perméabilisation des sols
• Créer des lieux de convivialité favorisant le lien social : ils pourraient être en partie dotés d’aires de jeux
• En faire des lieux éco responsables et/ou restaurer la biodiversité en implantant :
- des points de compostage dans chaque quartier
- des arbres fruitiers, des espèces locales faciles à cultiver et demandant peu d’irrigation et d’entretien
- des ruches (en quantité raisonnée car il semblerait que l’abondance d’abeilles domestiques nuise aux pollinisateurs sauvages et donc à la biodiversité)
- des hôtels à insectes (pour multiplier les types de pollinisateurs)
- des abris à coccinelles (pour lutter contre les ravageurs, en particulier contre les pucerons)
- des nichoirs à oiseaux, à chauve-souris et à faucons (pour favoriser la biodiversité via la nidification des oiseaux qui se substituent aux produits phytosanitaires (désormais interdits dans les espaces publics) afin de venir à bout des chenilles, insectes et autres larves indésirables).
- des récupérateurs d’eau de pluie à disposition des résidents ou des agents municipaux
Liste des soutiens
Signaler un problème
Ce contenu est-il inapproprié ?
Partager: