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Empreinte numérique

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Source: {"body":"Les médias ont beaucoup d'influence sur l'opinion publique et donc la démocratie. Or en matière de sciences sociales et économie, ce sont rarement des chercheurs qui sont interrogés, mais des journalistes (donc des ignorants). Et les rares fois où ce sont effectivement des chercheurs, ils sont sélectionnés, la plupart du temps, pour leur discours orthodoxe : il n'y a aucune pluralité. Les médias refusent ainsi la possibilité de diversité d'analyses qui caractérisent normalement la presse, ne servant que les intérêts des classes dominantes, rabachant sans cesse le \"moins d'état, moins de services publics, moins de fonctionnaires...\". A ce titre, les médias sont en partie responsables des difficultés de l’hôpital à tenir cette crise alors même que le pic n'est pas atteint, et des morts du covid 19.\r\nLe pire est que l’État, sur les chaînes publiques, les paient une fortune ainsi pour le détruire, attaquer frontalement son existence même. \r\n\r\nJe propose que l’État arrête de subventionner les organes de presse remettant en cause son intervention voire son existence : quand on prône le marché libre, on se débrouille pour se financer par soi même et pas par l'argent public. Dans le cas de l'audiovisuel public, qu'il licencie ces éditocrates qui lui nuisent (les Apathie, Barbier, Pujadas...) : pour eux aussi, il est trop simple et hypocrite de vivre de l'argent public à dire que l’État devrait intervenir le moins possible pour économiser.","title":"Les éditocrates médiatiques"}

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