La consultation
#LeJourdAprès consultation
Enseignement national et structure
Commençons par renommer correctement les choses.
- L'éducation est (sensé être) inculqué par les parents, le "savoir être" : politesse, civisme, valeurs, culture, curiosité, etc.
- L'enseignement, c'est une transmission de connaissances.
Donc, renommons "l'éducation nationale" en "enseignement national", pour que ce soit bien clair dans la tête de chacun. Car dans l'éducation (parental) comme dans l'enseignement (scolaire), le chantier est énorme, sans compter que le second dépend du premier.
Ensuite, arrêtons le gâchis de compétence, d'expérience et de savoir. Je connais des professeurs agrégés, sensés enseigner à la future élite de la nation, dans des classes préparatoires, se retrouver face à des collégiens fort peu intéressés, qui ne feront rien de ces connaissances (ou si peu).
C'est une perte de temps et de matière grise. L'éducation nationale dégoûte ses enseignants, désabusés par l'inertie de cette structure hiérarchique pyramidale d'un autre âge, incapable de se réformer. Ils ne se sentent pas soutenus, car les gouvernements successifs ont mis les parents et les élèves au centre pour préserver la paix sociale. Quelque chose dérange, c'est balayé sous le tapis !
Tant que vous considérerez que la parole des parents et de l'élève prime sur celle des enseignants, les plus à même de juger de la qualité et des capacités d'un élève, alors point de salut. Il est nécessaire de redonner de l'autorité à l'enseignant.
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