La consultation
#LeJourdAprès consultation
Arrêter la suprématie des maths ! Mettre en place un tronc commun et des options selon les compétences de chacun !
Au collège, si l’élève n’est pas bon en maths, c’est limite s’il n’est bon à rien ...Les maths sont sur un piédestal comme si aucun métier ne pouvait être entrepris dans la vie sans les maths ! Certes, il faut savoir calculer et intégrer les notions élémentaires et même complexes utiles dans la vie mais il y a une vie toute autre après les maths ! Une multitude de métiers n’exigent pas de connaître les maths sur le bout des doigts .... Pourquoi ne pas faire dès la 6e, un tronc commun avec les matières générales et laisser chaque enfant choisir des options selon ce qu’il aime ou ce qu’il a envie d’explorer ? Pourquoi un enfant qui aime l’histoire ne pourrait il pas approfondir cette matière et n’avoir qu’un enseignement de maths en tronc commun ? Combien d’élèves « matheux » ne sont pas à l’aise en français, ou en langue ou en SVT ? Et inversement ... Tous les élèves ne rêvent pas d’être ingénieur, tous ne rêvent pas d’être informaticien, ou écrivain, ou technicien .. chacun pourrait choisir des options vers telle ou telle matière
en ayant une pédagogie sur les bases indispensables en tronc commun. Bien sûr , avec possibilité de changer d’option au fil des années ...Cela permettrait de développer les aptitudes de chacun, d’amorcer une orientation basée sur les compétences et non sur un formatage du « tu dois être bon en maths sinon t’es nul »... cela permettrait en plus aux profs d’avoir en face d’eux des élèves motivés par leur matière choisi en option ... le rêve de tout prof d’avoir un public acquis dès le premier cours et avec qui le professeur pourra valoriser les compétences plus complexe parce que l’enfant sera motivé et non pas forcé...et renforcer ainsi l’échange... le tronc commun doit bien sûr prodiguer toutes les connaissances nécessaires pour que tous aient une base de connaissance identique ... mais tous ne feront pas le même métier plus tard alors pourquoi attendre les études supérieures pour commencer à se poser la question sur ce qu’on aime ou pas faire. Les options sont une solution pour ouvrir l’esprit de l’enfant, l’aider à savoir ce qu’il aime ou non, plus donner de la matière quand il est demandeur ... ce principe est déjà appliqué au lycée ... pourquoi pas au collège ?
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