La consultation
#LeJourdAprès consultation
Vers un retour à une consommation responsable
Passer d’une agriculture intensive et productiviste à une agriculture locale et vivrière passe d’abord par un renforcement des partenariats :
- Au niveau des établissement scolaire des écoles à l’université : des mairies, établissements (quand ce ne sont plus les mairies qui ont la charge des repas des jeunes) avec les producteurs locaux et de signer des contrats pour les repas qui ne sont plus cuisinés sur place auprès des traiteurs qui jouent ce jeu là.
- Au niveau de la restauration d’entreprise, des supermarchés, des restaurants / traiteurs… nous sommes en droit d’exiger la même chose que pour ce qui concerne l’alimentation des jeunes.
Nous avons partout en France une diversité agricole tout domaine confondu de proximité qui le permet. Les élus et les professionnels concernaient devraient connaître ce qui est existe sur leur territoire. Les grands groupent comme Auchan, Carrefour… doivent continuer à appliquer ce qu’ils font actuellement en privilégiant les produits français et européens ensuite.
Il est important : d’éduquer les enfants dès leur plus jeune âge à l’importance d’une alimentation saine, de créer des événements dans les mairies et autres avec les producteurs les plus proches pour permettre aux habitants d’avoir des échanges directs auprès du monde agricole le plus proche. Si les consommateurs se tournent vers eux pour leur consommation les hypermarchés suivront pour garder leur clientèle.
Avec cette de consommation où l’on trouve tout tout le temps, comment avoir quand nous faisons nos courses que les produits que nous achetons sont de saison.
Le réemploi et le zéro déchet passe aussi par la proposition d’événements organisés par les associations en partenariat avec les élus dans nos communes prévoyant le regroupement de ceux qui ont créés des initiatives locales que nous ne connaissons pas forcément et qui nous permettraient aussi de faciliter une façon différente de consommer.
Nous devons tous aussi à titre individuel nous demander avant d’acheter le nouveau modèle de tel produit si nous en avons vraiment besoin et aussi apprendre la valeur des choses aux plus jeunes. Je ne suis pas sûr qu’un collégien ait les mêmes besoins en matière d’équipements qu’un étudiant. La publicité si accessible pour eux crée de fait l’accentuation des inégalités sociales entres nos jeunes qui sont exclus du groupe parce qu’ils n’ont pas le téléphone dernier cri. Les enfants assimilent très tôt le : Mais Maman, Mais Papa « tu dis que c’est trop cher alors qu’il te suffit de mettre ta carte dans la machine et elle te donnera des sous ».
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