La consultation
#LeJourdAprès consultation
Création d'une "coopérative" d'artisanat subventionné et règlementée
Aujourd’hui, le premier des gestes barrières est de se laver les mains, et ceux qui se frottent les mains sont les grands groupes de cosmétiques qui ont vu leur chiffre bondir pendant cette crise.
Par contre les petits artisans savonniers ont vu leur chiffre baisser inversement proportionnellement.
Je ne trouve pas normal qu’un produit comme le savon puisse être acheté à des milliers de km alors qu’il peut être fabriqué juste à côté de chez nous.
La plupart des produits que nous achetons en grande surface peut être fabriqué à côté de chez nous.
Si la quantité manque, il faut agrandir le cercle d’artisans le fabriquant.
Par contre pour pouvoir proposer un catalogue complet des produits que nous pouvons mettre en vente, il faut un centralisateur, d’où l’idée d’une « Coopérative » d’artisan subventionnée.
Un grand dépôt ou est stocké l’ensemble des produits que nous pouvons ensuite mettre en vente en grande distribution.
Faire passer un décret favorisant ces produits en grande distribution plutôt que ceux des grands groupes.
Cela vaut aussi pour tout ce qui est produits frais.
Il est de plus en plus inacceptable de voir des gens spéculer sur des légumes achetés à l’autre bout du monde (et pas forcement cultivé dans les bonnes conditions que nous essayons d’avoir ici), alors que nous pouvons les cultiver et les consommer ici.
Il faut aussi encadrer de manière plus significative la manière dont la grande distribution nous vend les produits.
Ils se targuent de nous proposer le moins cher, mais c’est qu’ils tirent les prix super bas, mettant à plat des agriculteurs, et du coup on se retrouve avec des agriculteurs épuisés, abandonnant leur propriété ou pire en se suicidant.
Du coup, personne ne veut être agriculteur aujourd’hui et on achète à des fermes de milles vaches ou autre aberration de notre système de consommation.
Liste des soutiens
Signaler un problème
Ce contenu est-il inapproprié ?
Partager: